Poeme : Si Dur De Vider Son Sac
Poème Déclaration
Publié le 28/11/2018 21:47
L'écrit contient 629 mots qui sont répartis dans 18 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.
Poete : Dylan.goureman
Lire profile de Dylan.gouremanSi Dur De Vider Son Sac
Il fut un temps où je riotais à la vie,
Temps dont j’admirai le diffus et joli jour,
De mon déférent âge, ô j’ai beaucoup souri,
En expérimentant d’oublier les toujours.
Aujourd’hui, à chaque fois que je me sens triste,
La plume se vide peu à peu de cette encre
Et s’enivre de mes lettres si bien sinistres,
Avec la soif de ne pas vivre ainsi un cancre.
Je ne suis en rien un homme protubérant,
J’ai vécu des choses ô combien douloureuses,
Tenter d’arrêter de songer aux vies d’antan,
Naturellement qui auraient dû être heureuses.
Je me recourbe, je laisse ainsi mon cerveau
Voguer lui-même par sa créativité,
Pour qu’un jour, mon corps, au fond de ce caniveau
Rappelle mon œuvre et parle d’éternité.
Je suis candide, à l’air morose, avec mes airs,
Je lis, j’écris, je pense ainsi pour m’évader,
Mais maintes fois la vie me fait des appels d’air,
Puis d’un œil narquois je m’incline vers le vrai.
Quand il faut acquiescer le réel comme la vie,
On s’estime sinistre en songeant à hier,
D’un coup l’on se voit le visage cramoisi,
Car on songe aux « amis » si bêtes ils restèrent.
Et les faux poètes bourgeois qui parlent des gens,
Qui croient avoir vécu ce qu’on dit un « passé ».
Parbleu ! Notre France ! Le chant des mécréants !
Ô sacrés poètes ! Débris d’humanité !
Moi je viens d’un milieu où la vie était dure,
Endroit où mon écrit n’était le bienvenu !
Je flânais isolé non avec les Arthur,
Je ne séduisais pas la Cunégonde nue.
Il a aussi fallu que je croîs avec elle !
Une femme qu’on se doit appeler maman,
Et jamais je n’ai pu me chopiner de miel
Avec cette femme demeurant mon Satan.
Aujourd’hui madame j’ai fortement grandi,
Et je m’oppose si fort à ton existence,
Car jamais ! Onques ! tu ne m’as bien embelli
Ni moi ni ma vie sans plus aucune espérance.
Mais ce n’est pas grave ! Je ne t’en voudrai pas !
Tu as su créer un fou ainsi que Hitler.
J’avance toujours et loin de mes anciens pas
Continue de penser que tu fus une mère.
L’écrivain que je suis, le poète français,
Je ferai tout le temps de toi un grand opprobre,
Puis notre peuple te salira bien enchanté,
Folcoche demeurant mon immense microbe !
Puis s’il n’y avait que toi dans mes problèmes,
Alors ma vie serait forcément plus facile.
Ma peau est devenue à maintes fois plus blême,
Qu’à force je voulais partir loin sur une île.
J’ai rencontré ce qui devait être ma femme,
Elle et puis moi nous nous aimions, enfin, je pense,
Je l’ai vue qu’elle avait en sa main une lame,
Essayant d’être ouïe sans aucune espérance.
Je m’étais dit qu’avant tout j’étais son homme,
Qu’il est en mon devoir de la considérer,
On se cru le couple mangeur de cette pomme,
Celle que Dieu nous a gentiment refusée.
Elle m’avait fait bien des promesses de son cœur,
Et moi candide, je lui ai fait confiance,
Elle a contribué à mes hautes douleurs,
Ah ! Sacrées filles qui constituent notre France.
Qu’en est-il aujourd’hui de mes larmes tombées ?
Quel sens peut-on donner à ma grande tristesse ?
Quelle est la vertu de ce chagrin justifiait
Et celle d’un garçon épris de la déesse ?
« Aimer », peu de personne en est si bien capable,
Excepté le fait qu’il se prénomme Jésus !
Cette fille est bien loin d’être si respectable ;
Je m’enivrais de ses paroles que j’ai bues.
Temps dont j’admirai le diffus et joli jour,
De mon déférent âge, ô j’ai beaucoup souri,
En expérimentant d’oublier les toujours.
Aujourd’hui, à chaque fois que je me sens triste,
La plume se vide peu à peu de cette encre
Et s’enivre de mes lettres si bien sinistres,
Avec la soif de ne pas vivre ainsi un cancre.
Je ne suis en rien un homme protubérant,
J’ai vécu des choses ô combien douloureuses,
Tenter d’arrêter de songer aux vies d’antan,
Naturellement qui auraient dû être heureuses.
Je me recourbe, je laisse ainsi mon cerveau
Voguer lui-même par sa créativité,
Pour qu’un jour, mon corps, au fond de ce caniveau
Rappelle mon œuvre et parle d’éternité.
Je suis candide, à l’air morose, avec mes airs,
Je lis, j’écris, je pense ainsi pour m’évader,
Mais maintes fois la vie me fait des appels d’air,
Puis d’un œil narquois je m’incline vers le vrai.
Quand il faut acquiescer le réel comme la vie,
On s’estime sinistre en songeant à hier,
D’un coup l’on se voit le visage cramoisi,
Car on songe aux « amis » si bêtes ils restèrent.
Et les faux poètes bourgeois qui parlent des gens,
Qui croient avoir vécu ce qu’on dit un « passé ».
Parbleu ! Notre France ! Le chant des mécréants !
Ô sacrés poètes ! Débris d’humanité !
Moi je viens d’un milieu où la vie était dure,
Endroit où mon écrit n’était le bienvenu !
Je flânais isolé non avec les Arthur,
Je ne séduisais pas la Cunégonde nue.
Il a aussi fallu que je croîs avec elle !
Une femme qu’on se doit appeler maman,
Et jamais je n’ai pu me chopiner de miel
Avec cette femme demeurant mon Satan.
Aujourd’hui madame j’ai fortement grandi,
Et je m’oppose si fort à ton existence,
Car jamais ! Onques ! tu ne m’as bien embelli
Ni moi ni ma vie sans plus aucune espérance.
Mais ce n’est pas grave ! Je ne t’en voudrai pas !
Tu as su créer un fou ainsi que Hitler.
J’avance toujours et loin de mes anciens pas
Continue de penser que tu fus une mère.
L’écrivain que je suis, le poète français,
Je ferai tout le temps de toi un grand opprobre,
Puis notre peuple te salira bien enchanté,
Folcoche demeurant mon immense microbe !
Puis s’il n’y avait que toi dans mes problèmes,
Alors ma vie serait forcément plus facile.
Ma peau est devenue à maintes fois plus blême,
Qu’à force je voulais partir loin sur une île.
J’ai rencontré ce qui devait être ma femme,
Elle et puis moi nous nous aimions, enfin, je pense,
Je l’ai vue qu’elle avait en sa main une lame,
Essayant d’être ouïe sans aucune espérance.
Je m’étais dit qu’avant tout j’étais son homme,
Qu’il est en mon devoir de la considérer,
On se cru le couple mangeur de cette pomme,
Celle que Dieu nous a gentiment refusée.
Elle m’avait fait bien des promesses de son cœur,
Et moi candide, je lui ai fait confiance,
Elle a contribué à mes hautes douleurs,
Ah ! Sacrées filles qui constituent notre France.
Qu’en est-il aujourd’hui de mes larmes tombées ?
Quel sens peut-on donner à ma grande tristesse ?
Quelle est la vertu de ce chagrin justifiait
Et celle d’un garçon épris de la déesse ?
« Aimer », peu de personne en est si bien capable,
Excepté le fait qu’il se prénomme Jésus !
Cette fille est bien loin d’être si respectable ;
Je m’enivrais de ses paroles que j’ai bues.
Pieds Hyphénique: Si Dur De Vider Son Sac
il=fut=un=temps=où=je=ri=o=tais=à=la=vie 12
temps=dont=jad=mi=rai=le=dif=fus=et=jo=li=jour 12
de=mon=dé=férent=â=ge=ô=jai=beau=coup=sou=ri 12
en=ex=pé=ri=men=tant=dou=bli=er=les=tou=jours 12
au=jourd=hui=à=cha=que=fois=que=je=me=sens=triste 12
la=plume=se=vi=de=peu=à=peu=de=cet=te=encre 12
et=sen=i=vre=de=mes=let=tres=si=bien=si=nistres 12
a=vec=la=soif=de=ne=pas=vivre=ain=si=un=cancre 12
je=ne=suis=en=rien=un=hom=me=pro=tu=bé=rant 12
jai=vé=cu=des=cho=ses=ô=com=bien=dou=lou=reuses 12
ten=ter=dar=rê=ter=de=son=ger=aux=vies=dan=tan 12
na=tu=rel=le=ment=qui=au=raient=dû=être=heu=reuses 12
je=me=re=courbe=je=lais=se=ain=si=mon=cer=veau 12
vo=guer=lui=mê=me=par=sa=cré=a=ti=vi=té 12
pour=quun=jour=mon=corps=au=fond=de=ce=ca=ni=veau 12
rap=pel=le=mon=œuvre=et=par=le=dé=ter=ni=té 12
je=suis=can=dide=à=lair=mo=rose=a=vec=mes=airs 12
je=lis=jé=cris=je=pense=ain=si=pour=mé=va=der 12
mais=main=tes=fois=la=vie=me=fait=des=ap=pels=dair 12
puis=dun=œil=nar=quois=je=min=cli=ne=vers=le=vrai 12
quand=il=faut=ac=quies=cer=le=réel=com=me=la=vie 12
on=ses=ti=me=si=nis=tre=en=son=geant=à=hier 12
dun=coup=lon=se=voit=le=vi=sa=ge=cra=moi=si 12
car=on=songe=aux=a=mis=si=bê=tes=ils=res=tèrent 12
et=les=faux=po=ètes=bour=geois=qui=par=lent=des=gens 12
qui=croient=a=voir=vé=cu=ce=quon=dit=un=pas=sé 12
par=bleu=no=tre=fran=ce=le=chant=des=mé=cré=ants 12
ô=sa=crés=po=ètes=dé=bris=d=hu=ma=ni=té 12
moi=je=viens=dun=mi=lieu=où=la=vie=é=tait=dure 12
en=droit=où=mon=é=crit=né=tait=le=bien=ve=nu 12
je=flâ=nais=i=so=lé=non=a=vec=les=ar=thur 12
je=ne=sé=dui=sais=pas=la=cu=né=gon=de=nue 12
il=a=aus=si=fal=lu=que=je=croîs=a=vec=elle 12
u=ne=fem=me=quon=se=doit=ap=pe=ler=ma=man 12
et=ja=mais=je=nai=pu=me=cho=pi=ner=de=miel 12
a=vec=cet=te=fem=me=de=meu=rant=mon=sa=tan 12
au=jourd=hui=ma=da=me=jai=for=te=ment=gran=di 12
et=je=mop=po=se=si=fort=à=ton=exis=ten=ce 12
car=ja=mais=on=ques=tu=ne=mas=bien=em=bel=li 12
ni=moi=ni=ma=vie=sans=plus=au=cune=es=pé=rance 12
mais=ce=nest=pas=gra=ve=je=ne=ten=vou=drai=pas 12
tu=as=su=créer=un=fou=ain=si=que=hit=ler 11
ja=vance=tou=jours=et=loin=de=mes=an=ci=ens=pas 12
conti=nue=de=pen=ser=que=tu=fus=u=ne=mè=re 12
lé=cri=vain=que=je=suis=le=po=è=te=fran=çais 12
je=fe=rai=tout=le=temps=de=toi=un=grand=op=probre 12
puis=notre=peu=ple=te=sa=li=ra=bien=en=chan=té 12
fol=co=che=de=meu=rant=mon=im=men=se=mi=crobe 12
puis=sil=ny=a=vait=que=toi=dans=mes=pro=blè=mes 12
a=lors=ma=vie=se=rait=for=cé=ment=plus=fa=cile 12
ma=peau=est=de=ve=nue=à=main=tes=fois=plus=blême 12
quà=force=je=vou=lais=par=tir=loin=sur=u=ne=île 12
jai=ren=con=tré=ce=qui=de=vait=être=ma=fem=me 12
elle=et=puis=moi=nous=nous=ai=mions=en=fin=je=pense 12
je=lai=vue=quel=le=a=vait=en=sa=main=une=lame 12
es=say=ant=dêtre=ouïe=sans=au=cu=ne=es=pé=rance 12
je=mé=tais=dit=qua=vant=tout=jé=tais=son=hom=me 12
quil=est=en=mon=de=voir=de=la=con=si=dé=rer 12
on=se=cru=le=cou=ple=man=geur=de=cet=te=pomme 12
cel=le=que=dieu=nous=a=gen=ti=ment=re=fu=sée 12
el=le=ma=vait=fait=bien=des=promes=ses=de=son=cœur 12
et=moi=can=di=de=je=lui=ai=fait=con=fian=ce 12
el=le=a=con=tri=bué=à=mes=hau=tes=dou=leurs 12
ah=sa=crées=filles=qui=cons=ti=tuent=no=tre=fran=ce 12
quen=est=il=au=jourd=hui=de=mes=lar=mes=tom=bées 12
quel=sens=peut=ton=don=ner=à=ma=grande=tris=tes=se 12
quel=leest=la=ver=tu=de=ce=cha=grin=jus=ti=fiait 12
et=cel=le=dun=gar=çon=é=pris=de=la=dées=se 12
ai=mer=peu=de=per=sonneen=est=si=bien=ca=pable 12
ex=cep=té=le=fait=quil=se=pré=nom=me=jé=sus 12
cet=te=fille=est=bien=loin=dê=tre=si=res=pec=table 12
je=men=ivrais=de=ses=pa=ro=les=que=jai=bues 11Phonétique : Si Dur De Vider Son Sac
il fy œ̃ tɑ̃z- u ʒə ʁjɔtεz- a la vi,
tɑ̃ dɔ̃ ʒadmiʁε lə difyz- e ʒɔli ʒuʁ,
də mɔ̃ defeʁɑ̃ aʒə, o ʒε boku suʁi,
ɑ̃n- εkspeʁimɑ̃tɑ̃ dublje lε tuʒuʁ.
oʒuʁdɥi, a ʃakə fwa kə ʒə mə sɑ̃s tʁistə,
la plymə sə vidə pø a pø də sεtə ɑ̃kʁə
e sɑ̃nivʁə də mε lεtʁə- si bjɛ̃ sinistʁə,
avεk la swaf də nə pa vivʁə ɛ̃si œ̃ kɑ̃kʁə.
ʒə nə sɥiz- ɑ̃ ʁjɛ̃ œ̃n- ɔmə pʁɔtybeʁɑ̃,
ʒε veky dε ʃozəz- o kɔ̃bjɛ̃ duluʁøzə,
tɑ̃te daʁεte də sɔ̃ʒe o vi dɑ̃tɑ̃,
natyʁεllmɑ̃ ki oʁε dy εtʁə œʁøzə.
ʒə mə ʁəkuʁbə, ʒə lεsə ɛ̃si mɔ̃ sεʁvo
vɔɡe lɥi mεmə paʁ sa kʁeativite,
puʁ kœ̃ ʒuʁ, mɔ̃ kɔʁ, o fɔ̃ də sə kanivo
ʁapεllə mɔ̃n- œvʁə e paʁlə detεʁnite.
ʒə sɥi kɑ̃didə, a lεʁ mɔʁozə, avεk mεz- εʁ,
ʒə li, ʒekʁi, ʒə pɑ̃sə ɛ̃si puʁ mevade,
mε mɛ̃tə fwa la vi mə fε dεz- apεl dεʁ,
pɥi dœ̃n- œj naʁkwa ʒə mɛ̃klinə vεʁ lə vʁε.
kɑ̃t- il fo akjεse lə ʁeεl kɔmə la vi,
ɔ̃ sεstimə sinistʁə ɑ̃ sɔ̃ʒɑ̃ a jεʁ,
dœ̃ ku lɔ̃ sə vwa lə vizaʒə kʁamwazi,
kaʁ ɔ̃ sɔ̃ʒə oks « amis » si bεtəz- il ʁεstεʁe.
e lε fo pɔεtə buʁʒwa ki paʁle dε ʒɑ̃,
ki kʁwae avwaʁ veky sə kɔ̃ di yn « pase ».
paʁblø ! nɔtʁə fʁɑ̃sə ! lə ʃɑ̃ dε mekʁeɑ̃ !
o sakʁe pɔεtə ! debʁi dymanite !
mwa ʒə vjɛ̃ dœ̃ miljø u la vi etε dyʁə,
ɑ̃dʁwa u mɔ̃n- ekʁi netε lə bjɛ̃vəny !
ʒə flanεz- izɔle nɔ̃ avεk lεz- aʁtyʁ,
ʒə nə sedɥizε pa la kyneɡɔ̃də nɥ.
il a osi faly kə ʒə kʁwaz- avεk εllə !
ynə famə kɔ̃ sə dwa apəle mamɑ̃,
e ʒamε ʒə nε py mə ʃɔpine də mjεl
avεk sεtə famə dəməʁɑ̃ mɔ̃ satɑ̃.
oʒuʁdɥi madamə ʒε fɔʁtəmɑ̃ ɡʁɑ̃di,
e ʒə mɔpozə si fɔʁ a tɔ̃n- εɡzistɑ̃sə,
kaʁ ʒamε ! ɔ̃k ! ty nə ma bjɛ̃ ɑ̃bεlli
ni mwa ni ma vi sɑ̃ plysz- okynə εspeʁɑ̃sə.
mε sə nε pa ɡʁavə ! ʒə nə tɑ̃ vudʁε pa !
ty a sy kʁee œ̃ fu ɛ̃si kə itle.
ʒavɑ̃sə tuʒuʁz- e lwɛ̃ də mεz- ɑ̃sjɛ̃ pa
kɔ̃tinɥ də pɑ̃se kə ty fy ynə mεʁə.
lekʁivɛ̃ kə ʒə sɥi, lə pɔεtə fʁɑ̃sε,
ʒə fəʁε tu lə tɑ̃ də twa œ̃ ɡʁɑ̃t- ɔpʁɔbʁə,
pɥi nɔtʁə pəplə tə saliʁa bjɛ̃ ɑ̃ʃɑ̃te,
fɔlkoʃə dəməʁɑ̃ mɔ̃n- imɑ̃sə mikʁɔbə !
pɥi sil ni avε kə twa dɑ̃ mε pʁɔblεmə,
alɔʁ ma vi səʁε fɔʁsemɑ̃ plys fasilə.
ma po ε dəvənɥ a mɛ̃tə fwa plys blεmə,
ka fɔʁsə ʒə vulε paʁtiʁ lwɛ̃ syʁ ynə ilə.
ʒε ʁɑ̃kɔ̃tʁe sə ki dəvε εtʁə ma famə,
εllə e pɥi mwa nu nuz- εmjɔ̃, ɑ̃fɛ̃, ʒə pɑ̃sə,
ʒə lε vɥ kεllə avε ɑ̃ sa mɛ̃ ynə lamə,
esεjɑ̃ dεtʁə ui sɑ̃z- okynə εspeʁɑ̃sə.
ʒə metε di kavɑ̃ tu ʒetε sɔ̃n- ɔmə,
kil εt- ɑ̃ mɔ̃ dəvwaʁ də la kɔ̃sideʁe,
ɔ̃ sə kʁy lə kuplə mɑ̃ʒœʁ də sεtə pɔmə,
sεllə kə djø nuz- a ʒɑ̃time ʁəfyze.
εllə mavε fε bjɛ̃ dε pʁɔmesə də sɔ̃ kœʁ,
e mwa kɑ̃didə, ʒə lɥi ε fε kɔ̃fjɑ̃sə,
εllə a kɔ̃tʁibye a mεz- otə dulœʁ,
a ! sakʁe fijə ki kɔ̃stitɥe nɔtʁə fʁɑ̃sə.
kɑ̃n- εt- il oʒuʁdɥi də mε laʁmə- tɔ̃be ?
kεl sɑ̃s pø tɔ̃ dɔne a ma ɡʁɑ̃də tʁistεsə ?
kεllə ε la vεʁty də sə ʃaɡʁɛ̃ ʒystifjε
e sεllə dœ̃ ɡaʁsɔ̃ epʁi də la deεsə ?
« εməʁ », pø də pεʁsɔnə ɑ̃n- ε si bjɛ̃ kapablə,
εksεpte lə fε kil sə pʁenɔmə ʒezys !
sεtə fijə ε bjɛ̃ lwɛ̃ dεtʁə si ʁεspεktablə,
ʒə mɑ̃nivʁε də sε paʁɔlə kə ʒε bɥ.Pieds Phonétique : Si Dur De Vider Son Sac
il=fy=œ̃=tɑ̃=zu=ʒə=ʁj=ɔ=tε=za=la=vi 12
tɑ̃=dɔ̃=ʒad=mi=ʁε=lə=di=fy=ze=ʒɔ=li=ʒuʁ 12
də=mɔ̃=de=fe=ʁɑ̃=aʒə=o=ʒε=bo=ku=su=ʁi 12
ɑ̃=nεk=spe=ʁi=mɑ̃=tɑ̃=du=blj=e=lε=tu=ʒuʁ 12
o=ʒuʁ=dɥi=a=ʃa=kə=fwa=kə=ʒə=mə=sɑ̃s=tʁistə 12
la=plymə=sə=vi=də=pø=a=pø=də=sε=tə=ɑ̃kʁə 12
e=sɑ̃=ni=vʁə=də=mε=lε=tʁə=si=bjɛ̃=si=nistʁə 12
a=vεk=la=swaf=də=nə=pa=vivʁə=ɛ̃=si=œ̃=kɑ̃kʁə 12
ʒə=nə=sɥi=zɑ̃=ʁjɛ̃=œ̃=nɔ=mə=pʁɔ=ty=be=ʁɑ̃ 12
ʒε=ve=ky=dε=ʃo=zə=zo=kɔ̃=bjɛ̃=du=lu=ʁøzə 12
tɑ̃=te=da=ʁε=te=də=sɔ̃=ʒe=o=vi=dɑ̃=tɑ̃ 12
na=ty=ʁεl=lmɑ̃=ki=o=ʁε=dy=ε=tʁə=œ=ʁøzə 12
ʒə=mə=ʁə=kuʁbə=ʒə=lε=sə=ɛ̃=si=mɔ̃=sεʁ=vo 12
vɔ=ɡe=lɥi=mε=mə=paʁ=sa=kʁe=a=ti=vi=te 12
puʁ=kœ̃=ʒuʁ=mɔ̃=kɔʁ=o=fɔ̃=də=sə=ka=ni=vo 12
ʁa=pεl=lə=mɔ̃=nœ=vʁə=e=paʁlə=de=tεʁ=ni=te 12
ʒə=sɥi=kɑ̃didə=a=lεʁ=mɔ=ʁo=zə=a=vεk=mε=zεʁ 12
ʒə=li=ʒe=kʁi=ʒə=pɑ̃sə=ɛ̃=si=puʁ=me=va=de 12
mε=mɛ̃=tə=fwa=la=vi=mə=fε=dε=za=pεl=dεʁ 12
pɥi=dœ̃=nœj=naʁ=kwa=ʒə=mɛ̃=kli=nə=vεʁ=lə=vʁε 12
kɑ̃=til=fo=a=kjεse=lə=ʁe=εl=kɔ=mə=la=vi 12
ɔ̃=sεs=ti=mə=si=nis=tʁə=ɑ̃=sɔ̃=ʒɑ̃=a=jεʁ 12
dœ̃=ku=lɔ̃=sə=vwa=lə=vi=za=ʒə=kʁa=mwa=zi 12
kaʁ=ɔ̃=sɔ̃ʒəoks=a=mis=si=bε=tə=zil=ʁεs=tε=ʁe 12
e=lε=fo=pɔ=εtə=buʁ=ʒwa=ki=paʁ=le=dε=ʒɑ̃ 12
ki=kʁwa=a=vwaʁ=ve=ky=sə=kɔ̃=di=yn=pa=se 12
paʁ=blø=nɔ=tʁə=fʁɑ̃=sə=lə=ʃɑ̃=dε=me=kʁe=ɑ̃ 12
o=sa=kʁe=pɔ=ε=tə=de=bʁi=dy=ma=ni=te 12
mwa=ʒə=vjɛ̃=dœ̃=mi=ljø=u=la=vi=e=tε=dyʁə 12
ɑ̃=dʁwa=u=mɔ̃=ne=kʁi=ne=tε=lə=bjɛ̃=və=ny 12
ʒə=fla=nε=zi=zɔ=le=nɔ̃=a=vεk=lε=zaʁ=tyʁ 12
ʒə=nə=sed=ɥi=zε=pa=la=ky=ne=ɡɔ̃=də=nɥ 12
il=a=o=si=fa=lykə=ʒə=kʁwa=za=vεk=εl=lə 12
y=nə=fa=mə=kɔ̃=sə=dwa=a=pə=le=ma=mɑ̃ 12
e=ʒa=mε=ʒə=nε=py=mə=ʃɔ=pi=ne=də=mjεl 12
a=vεk=sε=tə=fa=mə=də=mə=ʁɑ̃=mɔ̃=sa=tɑ̃ 12
o=ʒuʁ=dɥi=ma=da=mə=ʒε=fɔʁ=tə=mɑ̃=ɡʁɑ̃=di 12
e=ʒə=mɔ=po=zə=si=fɔʁ=a=tɔ̃=nεɡ=zis=tɑ̃sə 12
kaʁ=ʒa=mε=ɔ̃k=ty=nə=ma=bj=ɛ̃=ɑ̃=bεl=li 12
ni=mwa=ni=ma=vi=sɑ̃=plys=zo=kynə=εs=pe=ʁɑ̃sə 12
mε=sə=nε=pa=ɡʁa=və=ʒə=nə=tɑ̃=vu=dʁε=pa 12
ty=a=sy=kʁe=e=œ̃=fu=ɛ̃=si=kə=i=tle 12
ʒa=vɑ̃sə=tu=ʒuʁ=ze=lwɛ̃=də=mε=zɑ̃=sj=ɛ̃=pa 12
kɔ̃=tinɥ=də=pɑ̃=se=kə=ty=fy=y=nə=mε=ʁə 12
le=kʁi=vɛ̃=kə=ʒə=sɥi=lə=pɔ=ε=tə=fʁɑ̃=sε 12
ʒə=fə=ʁε=tu=lə=tɑ̃=də=twa=œ̃=ɡʁɑ̃=tɔ=pʁɔbʁə 12
pɥi=nɔtʁə=pə=plə=tə=sa=li=ʁa=bjɛ̃=ɑ̃=ʃɑ̃=te 12
fɔl=ko=ʃə=də=mə=ʁɑ̃=mɔ̃=ni=mɑ̃=sə=mi=kʁɔbə 12
pɥi=sil=ni=a=vε=kə=twa=dɑ̃=mε=pʁɔ=blε=mə 12
a=lɔʁ=ma=vi=sə=ʁε=fɔʁ=se=mɑ̃=plys=fa=silə 12
ma=po=ε=də=vənɥ=a=mɛ̃=tə=fwa=plys=blε=mə 12
ka=fɔʁsə=ʒə=vu=lε=paʁ=tiʁ=lwɛ̃=syʁ=y=nə=ilə 12
ʒε=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁe=sə=ki=də=vε=ε=tʁə=ma=famə 12
εllə=e=pɥi=mwa=nu=nu=zε=mjɔ̃=ɑ̃=fɛ̃=ʒə=pɑ̃sə 12
ʒə=lε=vɥ=kεl=lə=a=vε=ɑ̃=sa=mɛ̃=ynə=lamə 12
e=sε=jɑ̃=dεtʁəu=i=sɑ̃=zo=ky=nə=εs=pe=ʁɑ̃sə 12
ʒə=me=tε=di=ka=vɑ̃=tu=ʒe=tε=sɔ̃=nɔ=mə 12
kil=ε=tɑ̃=mɔ̃=də=vwaʁ=də=la=kɔ̃=si=de=ʁe 12
ɔ̃=sə=kʁy=lə=ku=plə=mɑ̃=ʒœʁ=də=sε=tə=pɔmə 12
sεl=lə=kə=djø=nu=za=ʒɑ̃=ti=me=ʁə=fy=ze 12
εllə=ma=vε=fε=bjɛ̃=dε=pʁɔ=me=sə=də=sɔ̃=kœʁ 12
e=mwa=kɑ̃=di=də=ʒə=lɥi=ε=fε=kɔ̃=fjɑ̃=sə 12
εl=lə=a=kɔ̃=tʁi=by=e=a=mε=zotə=du=lœʁ 12
a=sa=kʁe=fi=jə=ki=kɔ̃s=tit=ɥe=nɔ=tʁə=fʁɑ̃sə 12
kɑ̃=nε=til=o=ʒuʁ=dɥi=də=mε=laʁ=mə=tɔ̃=be 12
kεl=sɑ̃s=pø=tɔ̃=dɔ=ne=a=ma=ɡʁɑ̃=də=tʁis=tεsə 12
kεl=lə=ε=la=vεʁ=tydə=sə=ʃa=ɡʁɛ̃=ʒys=ti=fjε 12
e=sεl=lə=dœ̃=ɡaʁ=sɔ̃=e=pʁi=də=la=de=εsə 12
ε=məʁ=pødə=pεʁ=sɔ=nəɑ̃=nε=si=bjɛ̃=ka=pablə 12
εk=sεp=te=lə=fε=kil=sə=pʁe=nɔ=mə=ʒe=zys 12
sεtə=fi=jə=ε=bjɛ̃=lwɛ̃=dε=tʁə=si=ʁεs=pεk=tablə 12
ʒə=mɑ̃=ni=vʁε=də=sε=pa=ʁɔ=lə=kə=ʒε=bɥ 12
PostScriptum
Un adolescent n’ayant vécu une belle vie. Déçu matriarcalement et amoureusement
Historique des Modifications
07/05/2019 18:36
13/02/2019 17:47
28/11/2018 21:58
Récompense
Poesie sans commentaire

16/12/2019Poeme-France
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