Poème:Le Poème Du Travailleur Décousu
Le Poème
C’était un de ces jours là
Tranquille, trop Tranquille
Journée paisible à la fois nuisible
Pour les esprits éveillés quand ils s’ennuient
D’écouter.
Ressasser.
Une journée de pluie
Sombre, pas vraiment magique
Pas vraiment…
D’quoi avoir la trique.
Un jour bien mal fagotté
Mal réveillé
Les nuages grandes cernes du ciel
Somme nous cernés ?
La grisaille, les allées silencieuses…
Et !
La fadeur d’un jour paraissant éternel.
Derrière ma vitrine, j’imagine :
Le bruit des pas le claquement des talons
Sur l’goudron d’la rue Jeanne D’ A’
J’imagine meme des passants,
Passants rien q’une fois par là
M’faisant par politesse,
Un petit signe du bras.
Bienfaisant, pas trop…
Médisant Quoi que !
Dans notre vie, vous savez bien…
L’hypocrisie est un Charme !
Quasi.
Iné.
Entre
Arnaqués.
Bouchers.
Quoi qu’il en soit je rêve aussi
D’voir un jour glisser sur la pente
Une de ces ombres squelettiques
(Qu’elle se pète enfin le fémur) chuchotant
Qu’elle comprenne que diététique
N’e reflète rien d’anorexique
Visage blaffard.
Vampirique.
Dans ma tête en ébullition
Non sans raison,
Raisonnent mes fantasmes
Ou je suis un wagon.
Arnaché à d’autres wagons
A califourchon sur des chevaux de plomb
Moi et d’autres camarades coulons…
Comme des encres à la mer !
De l’ennui des fonds
Monétaires.
Vers les abysses de
L’imaginaire.
De temps en temps ils se détachent
Ces wagons dont je fais l’éloge
Cause du fracas d’un poing sale
C’est le visage d’une vieille chose.
Elle, elle arnache des perruques
Dissimulant son crane chauve
Et…
Tout le monde applaudit dans la salle !
Déja trente ans de ménopause…
On fait sauter les bouchons,
Comme si c’était un peu Noel
On attend tous la succession,
Vivement l’enterrement de la vieille.
Enfin pouvoir remplacer la bagnole !
Tu me dis c’n’est qu’un tas de taules…
Mais ! tu sais pour moi ma bagnole !
C’est ma fierté !
Mon auréole.
Toi spectateur tu écoutes,
Le compte gouttes des paroles
A chaque seconde qu’elle s’affole
Retombe, s’écrase, Toi !
Tu rigoles…
Voyant la perfusion de colère
Qui alimente Hontes et Doutes
Chez les couples dont l’atmosphère
Forme une croute de mystères
Qui se dévoilent
Au compte gouttes.
M’fait bien rire !
J’ai meme envi de boire un verre.
EN ROUTE !
Tranquille, trop Tranquille
Journée paisible à la fois nuisible
Pour les esprits éveillés quand ils s’ennuient
D’écouter.
Ressasser.
Une journée de pluie
Sombre, pas vraiment magique
Pas vraiment…
D’quoi avoir la trique.
Un jour bien mal fagotté
Mal réveillé
Les nuages grandes cernes du ciel
Somme nous cernés ?
La grisaille, les allées silencieuses…
Et !
La fadeur d’un jour paraissant éternel.
Derrière ma vitrine, j’imagine :
Le bruit des pas le claquement des talons
Sur l’goudron d’la rue Jeanne D’ A’
J’imagine meme des passants,
Passants rien q’une fois par là
M’faisant par politesse,
Un petit signe du bras.
Bienfaisant, pas trop…
Médisant Quoi que !
Dans notre vie, vous savez bien…
L’hypocrisie est un Charme !
Quasi.
Iné.
Entre
Arnaqués.
Bouchers.
Quoi qu’il en soit je rêve aussi
D’voir un jour glisser sur la pente
Une de ces ombres squelettiques
(Qu’elle se pète enfin le fémur) chuchotant
Qu’elle comprenne que diététique
N’e reflète rien d’anorexique
Visage blaffard.
Vampirique.
Dans ma tête en ébullition
Non sans raison,
Raisonnent mes fantasmes
Ou je suis un wagon.
Arnaché à d’autres wagons
A califourchon sur des chevaux de plomb
Moi et d’autres camarades coulons…
Comme des encres à la mer !
De l’ennui des fonds
Monétaires.
Vers les abysses de
L’imaginaire.
De temps en temps ils se détachent
Ces wagons dont je fais l’éloge
Cause du fracas d’un poing sale
C’est le visage d’une vieille chose.
Elle, elle arnache des perruques
Dissimulant son crane chauve
Et…
Tout le monde applaudit dans la salle !
Déja trente ans de ménopause…
On fait sauter les bouchons,
Comme si c’était un peu Noel
On attend tous la succession,
Vivement l’enterrement de la vieille.
Enfin pouvoir remplacer la bagnole !
Tu me dis c’n’est qu’un tas de taules…
Mais ! tu sais pour moi ma bagnole !
C’est ma fierté !
Mon auréole.
Toi spectateur tu écoutes,
Le compte gouttes des paroles
A chaque seconde qu’elle s’affole
Retombe, s’écrase, Toi !
Tu rigoles…
Voyant la perfusion de colère
Qui alimente Hontes et Doutes
Chez les couples dont l’atmosphère
Forme une croute de mystères
Qui se dévoilent
Au compte gouttes.
M’fait bien rire !
J’ai meme envi de boire un verre.
EN ROUTE !
Poète Olivier B
Olivier B a publié sur le site 2 écrits. Olivier B est membre du site depuis l'année 2011.Lire le profil du poète Olivier BSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Le Poème Du Travailleur Décousu
cé=tait=un=de=ces=jours=là 7tran=qui=lle=trop=tran=qui=lle 7
jour=née=pai=sibleà=la=fois=nui=sible 8
pour=les=es=prits=é=veillés=quand=ils=sen=nuient 10
dé=cou=ter 3
res=sas=ser 3
u=ne=jour=née=de=pluie 6
som=bre=pas=vrai=ment=ma=gique 7
pas=vrai=ment 3
dquoi=a=voir=la=trique 5
un=jour=bien=mal=fa=got=té 7
mal=ré=veil=lé 4
les=nu=ages=gran=des=cer=nes=du=ciel 9
som=me=nous=cer=nés 5
la=gri=saille=les=al=lées=silen=cieuses 8
et 1
la=fa=deur=dun=jour=pa=rais=sant=é=ter=nel 11
der=rière=ma=vi=tri=ne=ji=ma=gine 9
le=bruit=des=pas=le=cla=que=ment=des=ta=lons 11
sur=l=gou=dron=d=la=rue=jeanne=da 9
ji=ma=gine=me=me=des=pas=sants 8
pas=sants=rien=qu=ne=fois=par=là 8
mfai=sant=par=po=li=tes=se 7
un=pe=tit=si=gne=du=bras 7
bien=fai=sant=pas=trop 5
mé=di=sant=quoi=que 5
dans=no=tre=vie=vous=sa=vez=bien 8
lhy=po=cri=sie=est=un=char=me 8
qua=si 2
in=é 2
en=tre 2
ar=na=qués 3
bou=chers 2
quoi=quil=en=soit=je=rêve=aus=si 8
dvoir=un=jour=glis=ser=sur=la=pente 8
une=de=ces=om=bres=s=que=let=tiques 9
quel=le=se=pèteen=fin=le=fé=mur=chu=cho=tant 12
quel=le=compren=ne=que=dié=té=tique 8
ne=re=flè=te=rien=da=no=rexique 8
vi=sa=ge=blaf=fard 5
vam=pi=rique 3
dans=ma=tête=en=é=bul=li=tion 8
non=sans=rai=son 4
rai=son=nent=mes=fan=tas=mes 7
ou=je=suis=un=wa=gon 6
ar=na=ché=à=dau=tres=wa=gons 8
a=ca=li=four=chon=sur=des=che=vaux=de=plomb 11
moi=et=dautres=ca=ma=ra=des=cou=lons 9
com=me=des=en=cres=à=la=mer 8
de=len=nui=des=fonds 5
mo=né=tai=res 4
vers=les=a=bys=ses=de 6
li=ma=gi=nai=re 5
de=temps=en=temps=ils=se=dé=tachent 8
ces=wa=gons=dont=je=fais=lé=loge 8
cau=se=du=fra=cas=dun=poing=sale 8
cest=le=vi=sage=du=ne=viei=lle=chose 9
elle=el=le=ar=nache=des=per=ruques 8
dis=si=mu=lant=son=cra=ne=chauve 8
et 1
tout=le=mondeap=plau=dit=dans=la=sal=le 9
dé=ja=trente=ans=de=mé=no=pause 8
on=fait=sau=ter=les=bou=chons 7
com=me=si=cé=tait=un=peu=noel 8
on=at=tend=tous=la=suc=ces=sion 8
vive=ment=len=ter=re=ment=de=la=vieille 9
en=fin=pou=voir=rem=pla=cer=la=ba=gnole 10
tu=me=dis=c=nest=quun=tas=de=taules 9
mais=tu=sais=pour=moi=ma=ba=gnole 8
cest=ma=fi=er=té 5
mon=au=ré=o=le 5
toi=s=pec=ta=teur=tu=é=coutes 8
le=comp=te=gout=tes=des=pa=roles 8
a=cha=que=se=conde=quel=le=saf=fole 9
re=tom=be=sé=cra=se=toi 7
tu=ri=go=les 4
voyant=la=per=fu=sion=de=co=lère 8
qui=a=li=mente=hon=tes=et=doutes 8
chez=les=cou=ples=dont=lat=mo=sphère 8
forme=u=ne=crou=te=de=mys=tères 8
qui=se=dé=voilent 4
au=comp=te=gou=ttes 5
mfait=bien=ri=re 4
jai=me=meen=vi=de=boire=un=verre 8
en=rou=te 3
Phonétique : Le Poème Du Travailleur Décousu
setε œ̃ də sε ʒuʁ latʁɑ̃kjə, tʁo tʁɑ̃kjə
ʒuʁne pεziblə a la fwa nɥiziblə
puʁ lεz- εspʁiz- evεje kɑ̃t- il sɑ̃nɥje
dekute.
ʁesase.
ynə ʒuʁne də plɥi
sɔ̃bʁə, pa vʁεmɑ̃ maʒikə
pa vʁεmɑ̃…
dkwa avwaʁ la tʁikə.
œ̃ ʒuʁ bjɛ̃ mal faɡɔte
mal ʁevεje
lε nɥaʒə ɡʁɑ̃də sεʁnə- dy sjεl
sɔmə nu sεʁne ?
la ɡʁizajə, lεz- ale silɑ̃sjøzə…
e !
la fadœʁ dœ̃ ʒuʁ paʁεsɑ̃ etεʁnεl.
dəʁjεʁə ma vitʁinə, ʒimaʒinə :
lə bʁɥi dε pa lə klakəmɑ̃ dε talɔ̃
syʁ lɡudʁɔ̃ dla ʁy ʒanə da
ʒimaʒinə məmə dε pasɑ̃,
pasɑ̃ ʁjɛ̃ kynə fwa paʁ la
mfəzɑ̃ paʁ pɔlitεsə,
œ̃ pəti siɲə dy bʁa.
bjɛ̃fəzɑ̃, pa tʁo…
medizɑ̃ kwa kə !
dɑ̃ nɔtʁə vi, vu save bjɛ̃…
lipɔkʁizi εt- œ̃ ʃaʁmə !
kazi.
ine.
ɑ̃tʁə
aʁnake.
buʃe.
kwa kil ɑ̃ swa ʒə ʁεvə osi
dvwaʁ œ̃ ʒuʁ ɡlise syʁ la pɑ̃tə
ynə də sεz- ɔ̃bʁə- skəlεtik
(kεllə sə pεtə ɑ̃fɛ̃ lə femyʁ) ʃyʃɔtɑ̃
kεllə kɔ̃pʁεnə kə djetetikə
nə ʁəflεtə ʁjɛ̃ danɔʁεksikə
vizaʒə blafaʁ.
vɑ̃piʁikə.
dɑ̃ ma tεtə ɑ̃n- ebylisjɔ̃
nɔ̃ sɑ̃ ʁεzɔ̃,
ʁεzɔne mε fɑ̃tasmə
u ʒə sɥiz- œ̃ waɡɔ̃.
aʁnaʃe a dotʁə- waɡɔ̃
a kalifuʁʃɔ̃ syʁ dε ʃəvo də plɔ̃
mwa e dotʁə- kamaʁadə kulɔ̃…
kɔmə dεz- ɑ̃kʁəz- a la mεʁ !
də lɑ̃nɥi dε fɔ̃
mɔnetεʁə.
vεʁ lεz- abisə də
limaʒinεʁə.
də tɑ̃z- ɑ̃ tɑ̃z- il sə detaʃe
sε waɡɔ̃ dɔ̃ ʒə fε lelɔʒə
kozə dy fʁaka dœ̃ puiŋ salə
sε lə vizaʒə dynə vjεjə ʃozə.
εllə, εllə aʁnaʃə dε peʁyk
disimylɑ̃ sɔ̃ kʁanə ʃovə
e…
tu lə mɔ̃də aplodi dɑ̃ la salə !
deʒa tʁɑ̃tə ɑ̃ də menɔpozə…
ɔ̃ fε sote lε buʃɔ̃,
kɔmə si setε œ̃ pø noεl
ɔ̃n- atɑ̃ tus la syksesjɔ̃,
vivəmɑ̃ lɑ̃tεʁəmɑ̃ də la vjεjə.
ɑ̃fɛ̃ puvwaʁ ʁɑ̃plase la baɲɔlə !
ty mə di snε kœ̃ tas də tolə…
mε ! ty sε puʁ mwa ma baɲɔlə !
sε ma fjεʁte !
mɔ̃n- oʁeɔlə.
twa spεktatœʁ ty ekutə,
lə kɔ̃tə ɡutə dε paʁɔlə
a ʃakə səɡɔ̃də kεllə safɔlə
ʁətɔ̃bə, sekʁazə, twa !
ty ʁiɡɔlə…
vwajɑ̃ la pεʁfyzjɔ̃ də kɔlεʁə
ki alimɑ̃tə ɔ̃təz- e dutə
ʃe lε kuplə dɔ̃ latmɔsfεʁə
fɔʁmə ynə kʁutə də mistεʁə
ki sə devwale
o kɔ̃tə ɡutə.
mfε bjɛ̃ ʁiʁə !
ʒε məmə ɑ̃vi də bwaʁə œ̃ veʁə.
ɑ̃ ʁutə !
Syllabes Phonétique : Le Poème Du Travailleur Décousu
se=tε=œ̃=də=sε=ʒuʁ=la 7tʁɑ̃=kj=ə=tʁo=tʁɑ̃=kj=ə 7
ʒuʁ=ne=pε=zi=blə=a=la=fwa=nɥi=ziblə 10
puʁ=lε=zεs=pʁi=ze=vε=je=kɑ̃=til=sɑ̃n=ɥje 11
de=ku=te 3
ʁe=sa=se 3
y=nə=ʒuʁ=ne=də=plɥi 6
sɔ̃=bʁə=pa=vʁε=mɑ̃=ma=ʒi=kə 8
pa=vʁε=mɑ̃ 3
dkwa=a=vwaʁ=la=tʁi=kə 6
œ̃=ʒuʁ=bj=ɛ̃=mal=fa=ɡɔ=te 8
mal=ʁe=vε=j=e 5
lε=nɥ=a=ʒə=ɡʁɑ̃=də=sεʁ=nə=dy=sjεl 10
sɔ=mə=nu=sεʁ=ne 5
la=ɡʁi=za=jə=lε=za=le=si=lɑ̃=sjøzə 10
e 1
la=fa=dœʁ=dœ̃=ʒuʁ=pa=ʁε=sɑ̃=e=tεʁ=nεl 11
də=ʁjε=ʁə=ma=vi=tʁi=nə=ʒi=ma=ʒinə 10
lə=bʁɥi=dε=palə=kla=kə=mɑ̃=dε=ta=lɔ̃ 10
syʁ=lɡu=dʁɔ̃=dla=ʁy=ʒa=nə=da 8
ʒi=ma=ʒi=nə=mə=mə=dε=pa=sɑ̃ 9
pa=sɑ̃=ʁj=ɛ̃=ky=nə=fwa=paʁ=la 9
mfə=zɑ̃=paʁ=pɔ=li=tε=sə 7
œ̃=pə=ti=si=ɲə=dy=bʁa 7
bj=ɛ̃=fə=zɑ̃=pa=tʁo 6
me=di=zɑ̃=kwa=kə 5
dɑ̃=nɔ=tʁə=vi=vu=sa=ve=bj=ɛ̃ 9
li=pɔ=kʁi=zi=ε=tœ̃=ʃaʁ=mə 8
ka=zi 2
i=ne 2
ɑ̃=tʁə 2
aʁ=na=ke 3
bu=ʃe 2
kwa=kil=ɑ̃=swa=ʒə=ʁε=və=o=si 9
dvwaʁ=œ̃=ʒuʁ=ɡli=se=syʁ=la=pɑ̃=tə 9
y=nə=də=sε=zɔ̃=bʁəs=kə=lε=tik 9
kεl=lə=sə=pεtəɑ̃=fɛ̃=lə=fe=myʁ=ʃy=ʃɔ=tɑ̃ 12
kεl=lə=kɔ̃=pʁε=nə=kə=dje=te=ti=kə 10
nə=ʁə=flε=tə=ʁjɛ̃=da=nɔ=ʁεk=si=kə 10
vi=za=ʒə=bla=faʁ 5
vɑ̃=pi=ʁi=kə 4
dɑ̃=ma=tε=tə=ɑ̃=ne=by=li=sj=ɔ̃ 10
nɔ̃=sɑ̃=ʁε=zɔ̃ 4
ʁε=zɔ=ne=mε=fɑ̃=tas=mə 7
u=ʒə=sɥi=zœ̃=wa=ɡɔ̃ 6
aʁ=na=ʃe=a=do=tʁə=wa=ɡɔ̃ 8
a=ka=li=fuʁ=ʃɔ̃=syʁ=dεʃə=vo=də=plɔ̃ 10
mwa=e=do=tʁə=ka=ma=ʁa=də=ku=lɔ̃ 10
kɔ=mə=dε=zɑ̃=kʁə=za=la=mεʁ 8
də=lɑ̃n=ɥi=dε=fɔ̃ 5
mɔ=ne=tε=ʁə 4
vεʁ=lε=za=bi=sə=də 6
li=ma=ʒi=nε=ʁə 5
də=tɑ̃=zɑ̃=tɑ̃=zil=sə=de=ta=ʃe 9
sε=wa=ɡɔ̃=dɔ̃=ʒə=fε=le=lɔ=ʒə 9
ko=zə=dy=fʁa=ka=dœ̃=pu=iŋ=sa=lə 10
sε=lə=vi=za=ʒə=dy=nə=vjε=jə=ʃozə 10
εl=lə=εl=lə=aʁ=na=ʃə=dε=pe=ʁyk 10
di=si=my=lɑ̃=sɔ̃=kʁa=nə=ʃo=və 9
e 1
tu=lə=mɔ̃=də=a=plo=di=dɑ̃=la=salə 10
de=ʒa=tʁɑ̃=tə=ɑ̃=də=me=nɔ=po=zə 10
ɔ̃=fε=so=te=lε=bu=ʃɔ̃ 7
kɔ=mə=si=se=tε=œ̃=pø=no=εl 9
ɔ̃=na=tɑ̃=tus=la=syk=se=sj=ɔ̃ 9
vi=və=mɑ̃=lɑ̃=tε=ʁə=mɑ̃=də=la=vjεjə 10
ɑ̃=fɛ̃=pu=vwaʁ=ʁɑ̃=pla=se=la=ba=ɲɔlə 10
ty=mə=di=snε=kœ̃=tas=də=to=lə 9
mε=ty=sε=puʁ=mwa=ma=ba=ɲɔ=lə 9
sε=ma=fjεʁ=te 4
mɔ̃=no=ʁe=ɔ=lə 5
twa=spεk=ta=tœ=ʁə=ty=e=ku=tə 9
lə=kɔ̃=tə=ɡu=tə=dε=pa=ʁɔ=lə 9
a=ʃa=kə=sə=ɡɔ̃=də=kεl=lə=sa=fɔlə 10
ʁə=tɔ̃=bə=se=kʁa=zə=twa 7
ty=ʁi=ɡɔ=lə 4
vwa=jɑ̃=la=pεʁ=fy=zjɔ̃=də=kɔ=lε=ʁə 10
ki=a=li=mɑ̃=tə=ɔ̃=tə=ze=du=tə 10
ʃe=lε=ku=plə=dɔ̃=lat=mɔs=fεʁ=ə 9
fɔʁ=mə=y=nə=kʁu=tə=də=mis=tε=ʁə 10
ki=sə=de=vwa=le 5
o=kɔ̃=tə=ɡu=tə 5
mfε=bj=ɛ̃=ʁi=ʁə 5
ʒε=mə=mə=ɑ̃=vidə=bwa=ʁə=œ̃=ve=ʁə 10
ɑ̃=ʁu=tə 3
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
10/01/2011 20:46Mikie95
SUPERBE J AIME BIEN TON STYLE D ECRITURE MERCI DE CETTE BELLE LECTURE AU PLAISIR DE TE LIRE OU RELIRE
11/01/2011 08:51Marcel42
Je me retrouve à écrire à vos cotés, j’avais trente ans et cette impatience désespérée de vivre qui se heurtait, qui se heurte toujours à la misère du monde. Beau poème.
16/02/2011 17:16Nicckki
wow quelle defoulement
nicckki
Poème Travail
Du 10/01/2011 18:27
L'écrit contient 397 mots qui sont répartis dans 28 strophes.