Univers de poésie d'un auteur

Poème:Le Tailleur De Pierre : Chapitre 8 : Le Chevalier De Feu

Le Poème

Irmin reprit connaissance grâce au jet d’eau qu’il reçu en plein visage. Une autre fée se trouvait devant lui. « Bonjour, je suis la fée de l’eau » lui dit-elle, et il reperdit connaissance. Les cinq fées et le cheval quand à eux, partirent dans un fou rire sans fin. « Laissons-lui un peu de temps pour qu’il comprenne de lui-même ». Il se réveilla de nouveau et en ouvrant les yeux, il vit les cinq fées qui le fixaient. Il les regarda pendant un long moment en les détaillants. Il connaissait la fée de l’air et avait aperçu celle de l’eau. Elle portait la robe verte de l’eau imprégnée de reflets qui abreuve la nature et de longs cheveux châtains. Se regard se porta sur les trois autres. L’une d’elle se leva et le salua d’une petite courbette. « Je suis la fée de la terre », lui dit-elle. Sa longue robe marron était assortie à ces cheveux auburn. Ce joignant à elle, la fée qui portait une robe bleue et des cheveux blonds se présenta. « Je suis la fée du ciel », « et moi la fée du feu », dit la dernière en rejoignant ses sœurs. Elle portait quand à elle une robe rouge et sa chevelure était d’un magnifique roux cuivrée. « Et moi je suis Podagyre, ta fidèle monture » dit le cheval en se baissant en pliant une patte en guise de salutation et en le regardant avec un large sourire qui lui faisait apparaitre toutes ses dents « mais je crois que nous nous connaissons depuis fort longtemps ». « Bien, maintenant que les présentations sont faites, passons au vif du sujet » dit la fée de l’eau. « Je vous rappelle que la princesse est en les mains du sorcier et de la reine noire et qu’il est plus que temps d’agir ». En un rein de temps, le tailleur de pierre se retrouve sur ses jambes et prêt à repartir à l’assaut du château de la reine noire. « Doucement », lui dirent les fées. « Les choses ont beaucoup évoluées depuis peu. Cela fait deux jours que vous êtes au pays des songes et depuis, la guerre fait rage entre les deux royaumes. Le sorcier de la reine noire a mis au point sa potion et l’armée de la reine noire marchait sur en direction du château du roi et de la reine. Mais le plus grave, c’est que cette armée est soutenue par les trolles et le dragon, gardiens des terres interdites ». « Et la princesse, qu’est devenue la princesse Rose ? » demanda Irmin. « Elle va bien, elle est soumise à un sortilège qui la plongé dans le sommeil mais elle va bien. Le sorcier a besoin d’elle et de quelques goutes de son sang pour entretenir son armée ». Les fées lui expliquèrent en détail le sortilège du sorcier et pourquoi il avait besoin de la princesse. En comprenant que la princesse était amoureuse et que son amour pour lui était sans faille, il supplia les fées de lui expliquer ce qu’il était nécessaire de faire pour libérer la princesse et, de part la même, libérer le royaume de l’armée de la reine noire. « Afin que les effets du sorcier n’aient aucun effet sur toi, nous devons te protéger de ses attaques ». Elles confectionnèrent alors une armure, un bouclier et une épée pouvant résister aux attaques du sorcier mais aussi des trolles et du dragon. Ceci fait, elles posèrent toutes les cinq le bout de leurs baguettes sur le front du tailleur de pierre et lui enseignèrent par le biais de la magie l’art de la manipulation de l’épée. « L’une de nous t’accompagnera, les autres aideront à la défense du château. La fée du feu se porta volontaire pour accompagner Irmin. » Le château de la reine noire est gardée par le dragon, et qui mieux que moi peut l’aider à combattre le feu du dragon. Plus il crachera le feu et plus je connaitrais ses points faibles, mais je pourrais porter les coups à la place du chevalier qui partira prendre de force le château «. Ce chevalier, qui n’était autre qu’un vulgaire tailleur de pierre, enfourcha sa monture. Son armure rouge et or brillait sous le soleil qui était à son zénith. » Vous qui êtes les gardiennes de ce royaume, je vous jure de me battre par amour pour la princesse aussi longtemps qu’il me restera un seul souffle de vie. Je ferais tout se qui est en mon pouvoir pour vous la ramener saine et sauve «. Une larme, une larme d’espoir, coulait sur sa joue, et alla se poser sur le pommeau de son épée. » Rendez-moi un dernier service «, demanda t’il. » Que pouvons faire pour toi ? «, répondirent les fées. » Pouvez-vous changer ses quelques branches en ciseaux pour tailler les pierres ? ". Il eu à peine fini ses mots, et sans même poser de questions, les baguettes magiques avaient fait ouvrage. Il rangea les ciseaux à sa ceinture comme l’on place des couteaux ou des poignards.
Partage du Poème avec vos contacts

PostScriptum

voici la suite en espérant qu’elle vous plaira.
j’en profite pour remercier celles et ceux qui prennent le temps de suivre et de lire cet écrit.

Poeme de Jandot Poésie

Poète Jandot Poésie

Jandot Poésie a publié sur le site 31 écrits. Jandot Poésie est membre du site depuis l'année 2012.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Le Tailleur De Pierre : Chapitre 8 : Le Chevalier De Feuir=min=re=prit=con=nais=san=ce=grâ=ce=au=jet=deau=quil=re=çu=en=plein=vi=sage=une=au=tre=fée=se=trou=vait=de=vant=lui=bon=jour=je=suis=la=fée=de=leau=lui=dit=tel=le=et=il=re=per=dit=con=nais=sance=les=cinq=fées=et=le=che=val=quand=à=eux=par=ti=rent=dans=un=fou=ri=re=sans=fin=lais=sons=lui=un=peu=de=temps=pour=quil=com=pren=ne=de=lui=mê=me=il=se=ré=veilla=de=nou=veau=et=en=ou=vrant=les=y=eux=il=vit=les=cinq=fées=qui=le=fixaient=il=les=re=gar=da=pen=dant=un=long=mo=ment=en=les=dé=taillants=il=con=nais=sait=la=fée=de=lair=et=a=vait=a=per=çu=cel=le=de=leau=el=le=por=tait=la=ro=be=ver=te=de=leau=im=pré=gnée=de=re=flets=qui=a=breu=ve=la=na=tu=re=et=de=longs=che=veux=châ=tains=se=re=gard=se=por=ta=sur=les=trois=autres=lu=ne=del=le=se=le=va=et=le=sa=lua=du=ne=pe=ti=te=cour=bette=je=suis=la=fée=de=la=ter=re=lui=dit=telle=sa=lon=gue=ro=be=mar=ron=é=tait=as=sor=tie=à=ces=che=veux=au=burn=ce=joi=gnant=à=el=le=la=fée=qui=por=tait=u=ne=ro=be=bleue=et=des=che=veux=blonds=se=pré=sen=ta=je=suis=la=fée=du=ciel=et=moi=la=fée=du=feu=dit=la=der=niè=re=en=re=joi=gnant=ses=sœurs=el=le=por=tait=quand=à=el=le=u=ne=ro=be=rou=ge=et=sa=che=ve=lu=re=é=tait=dun=ma=gni=fi=que=roux=cui=vrée=et=moi=je=suis=po=da=gy=re=ta=fi=dè=le=mon=tu=re=dit=le=che=val=en=se=bais=sant=en=pliant=u=ne=pat=te=en=gui=se=de=sa=lu=ta=ti=on=et=en=le=re=gar=dant=a=vec=un=lar=ge=sou=ri=re=qui=lui=fai=sait=ap=pa=rai=tre=tou=tes=ses=dents=mais=je=crois=que=nous=nous=con=nais=sons=de=puis=fort=long=temps=bien=main=te=nant=que=les=pré=sen=ta=tions=sont=fai=tes=pas=sons=au=vif=du=su=jet=dit=la=fée=de=leau=je=vous=rap=pel=le=que=la=prin=ces=se=est=en=les=mains=du=sor=cier=et=de=la=rei=ne=noi=re=et=quil=est=plus=que=temps=da=gir=en=un=rein=de=temps=le=tail=leur=de=pier=re=se=re=trou=ve=sur=ses=jam=bes=et=prêt=à=re=par=tir=à=las=saut=du=châ=teau=de=la=rei=ne=noire=dou=ce=ment=lui=di=rent=les=fées=les=cho=ses=ont=beau=coup=é=vo=luées=de=puis=peu=ce=la=fait=deux=jours=que=vous=ê=tes=au=pa=ys=des=son=ges=et=de=puis=la=guer=re=fait=ra=ge=en=tre=les=deux=ro=yau=mes=le=sor=cier=de=la=rei=ne=noi=re=a=mis=au=point=sa=po=ti=on=et=lar=mée=de=la=rei=ne=noi=re=mar=chait=sur=en=di=rec=ti=on=du=châ=teau=du=roi=et=de=la=reine=mais=le=plus=gra=ve=cest=que=cet=te=ar=mée=est=sou=te=nue=par=les=trol=les=et=le=dra=gon=gar=diens=des=ter=res=in=ter=di=tes=et=la=prin=ces=se=quest=de=ve=nue=la=prin=ces=se=ro=se=de=man=da=ir=min=el=le=va=bien=el=le=est=sou=mi=se=à=un=sor=ti=lè=ge=qui=la=plon=gé=dans=le=som=meil=mais=el=le=va=bien=le=sor=cier=a=be=soin=del=le=et=de=quel=ques=gou=tes=de=son=sang=pour=en=tre=te=nir=son=ar=mée=les=fées=lui=ex=pli=què=rent=en=dé=tail=le=sor=ti=lè=ge=du=sor=cier=et=pour=quoi=il=a=vait=be=soin=de=la=prin=cesse=en=com=pre=nant=que=la=prin=ces=se=é=tait=a=mou=reu=se=et=que=son=a=mour=pour=lui=é=tait=sans=fail=le=il=sup=plia=les=fées=de=lui=ex=pli=quer=ce=quil=é=tait=né=ces=sai=re=de=fai=re=pour=li=bé=rer=la=prin=ces=se=et=de=part=la=mê=me=li=bé=rer=le=ro=yau=me=de=lar=mée=de=la=rei=ne=noire=a=fin=que=les=ef=fets=du=sor=cier=naient=au=cun=ef=fet=sur=toi=nous=de=vons=te=pro=té=ger=de=ses=at=ta=ques=el=les=con=fec=ti=on=nè=rent=a=lors=u=ne=ar=mu=re=un=bou=clier=et=u=ne=é=pée=pou=vant=ré=sis=ter=aux=at=ta=ques=du=sor=cier=mais=aus=si=des=trol=les=et=du=dra=gon=ce=ci=fait=el=les=po=sè=rent=tou=tes=les=cinq=le=bout=de=leurs=ba=guet=tes=sur=le=front=du=tail=leur=de=pier=re=et=lui=en=sei=gnè=rent=par=le=biais=de=la=ma=gie=lart=de=la=ma=ni=pu=la=ti=on=de=lé=pée=lu=ne=de=nous=tac=com=pa=gne=ra=les=au=tres=ai=de=ront=à=la=dé=fen=se=du=châ=teau=la=fée=du=feu=se=por=ta=vo=lon=tai=re=pour=ac=com=pa=gner=ir=min=le=châ=teau=de=la=rei=ne=noi=re=est=gar=dée=par=le=dra=gon=et=qui=mieux=que=moi=peut=lai=der=à=com=bat=tre=le=feu=du=dra=gon=plus=il=cra=che=ra=le=feu=et=plus=je=con=nai=trais=ses=points=fai=bles=mais=je=pour=rais=por=ter=les=coups=à=la=pla=ce=du=che=va=lier=qui=par=ti=ra=pren=dre=de=for=ce=le=châ=teau=ce=che=va=lier=qui=né=tait=au=tre=quun=vul=gai=re=tail=leur=de=pier=re=en=four=cha=sa=mon=tu=re=son=ar=mu=re=rou=ge=et=or=brillait=sous=le=so=leil=qui=é=tait=à=son=zé=nith=vous=qui=ê=tes=les=gar=dien=nes=de=ce=ro=yau=me=je=vous=ju=re=de=me=bat=tre=par=a=mour=pour=la=prin=ces=se=aus=si=long=temps=quil=me=res=te=ra=un=seul=souf=fle=de=vie=je=fe=rais=tout=se=qui=est=en=mon=pou=voir=pour=vous=la=ra=me=ner=sai=ne=et=sau=ve=une=lar=me=u=ne=lar=me=des=poir=cou=lait=sur=sa=joue=et=al=la=se=po=ser=sur=le=pom=meau=de=son=é=pée=ren=dez=moi=un=der=nier=ser=vi=ce=de=man=da=til=que=pou=vons=fai=re=pour=toi=ré=pon=di=rent=les=fées=pou=vez=vous=chan=ger=ses=quel=ques=bran=ches=en=ci=seaux=pour=tail=ler=les=pier=res=guille=met=il=eu=à=pei=ne=fi=ni=ses=mots=et=sans=mê=me=po=ser=de=ques=tions=les=ba=guet=tes=ma=gi=ques=a=vaient=fait=ou=vrage=il=ran=gea=les=ci=seaux=à=sa=cein=tu=re=com=me=lon=pla=ce=des=cou=teaux=ou=des=poi=gnards 1270
Phonétique : Le Tailleur De Pierre : Chapitre 8 : Le Chevalier De Feuiʁmɛ̃ ʁəpʁi kɔnεsɑ̃sə ɡʁasə o ʒεt do kil ʁəsy ɑ̃ plɛ̃ vizaʒə. ynə otʁə fe sə tʁuvε dəvɑ̃ lɥi. « bɔ̃ʒuʁ, ʒə sɥi la fe də lo » lɥi di tεllə, e il ʁəpεʁdi kɔnεsɑ̃sə. lε sɛ̃k fez- e lə ʃəval kɑ̃t- a ø, paʁtiʁe dɑ̃z- œ̃ fu ʁiʁə sɑ̃ fɛ̃. « lεsɔ̃ lɥi œ̃ pø də tɑ̃ puʁ kil kɔ̃pʁεnə də lɥi mεmə ». il sə ʁevεja də nuvo e ɑ̃n- uvʁɑ̃ lεz- iø, il vit lε sɛ̃k fe ki lə fiksε. il lε ʁəɡaʁda pɑ̃dɑ̃ œ̃ lɔ̃ mɔmɑ̃ ɑ̃ lε detajɑ̃. il kɔnεsε la fe də lεʁ e avε apεʁsy sεllə də lo. εllə pɔʁtε la ʁɔbə vεʁtə də lo ɛ̃pʁeɲe də ʁəflε ki abʁəvə la natyʁə e də lɔ̃ɡ ʃəvø ʃatɛ̃. sə ʁəɡaʁ sə pɔʁta syʁ lε tʁwaz- otʁə. lynə dεllə sə ləva e lə salɥa dynə pətitə kuʁbεtə. « ʒə sɥi la fe də la teʁə », lɥi di tεllə. sa lɔ̃ɡ ʁɔbə maʁɔ̃ etε asɔʁti a sε ʃəvøz- obyʁn. sə ʒwaɲɑ̃ a εllə, la fe ki pɔʁtε ynə ʁɔbə blø e dε ʃəvø blɔ̃ sə pʁezɑ̃ta. « ʒə sɥi la fe dy sjəl », « εt mwa la fe dy fø », di la dεʁnjεʁə ɑ̃ ʁəʒwaɲɑ̃ sε sœʁ. εllə pɔʁtε kɑ̃t- a εllə ynə ʁɔbə ʁuʒə e sa ʃəvəlyʁə etε dœ̃ maɲifikə ʁu kɥivʁe. « εt mwa ʒə sɥi pɔdaʒiʁə, ta fidεlə mɔ̃tyʁə » dit lə ʃəval ɑ̃ sə bεsɑ̃ ɑ̃ pljɑ̃ ynə patə ɑ̃ ɡizə də salytasjɔ̃ e ɑ̃ lə ʁəɡaʁdɑ̃ avεk œ̃ laʁʒə suʁiʁə ki lɥi fəzε apaʁεtʁə tutə sε dɑ̃ts « mε ʒə kʁwa kə nu nu kɔnεsɔ̃ dəpɥi fɔʁ lɔ̃tɑ̃ps ». « bjɛ̃, mɛ̃tənɑ̃ kə lε pʁezɑ̃tasjɔ̃ sɔ̃ fεtə, pasɔ̃z- o vif dy syʒət » dit la fe də lo. « ʒə vu ʁapεllə kə la pʁɛ̃sεsə εt- ɑ̃ lε mɛ̃ dy sɔʁsje e də la ʁεnə nwaʁə e kil ε plys kə tɑ̃ daʒiʁ ». ɑ̃n- œ̃ ʁɛ̃ də tɑ̃, lə tajœʁ də pjeʁə sə ʁətʁuvə syʁ sε ʒɑ̃bəz- e pʁε a ʁəpaʁtiʁ a laso dy ʃato də la ʁεnə nwaʁə. « dusəmεnt », lɥi diʁe lε fe. « ləs ʃozəz- ɔ̃ boku evɔlye dəpɥi pø. səla fε dø ʒuʁ kə vuz- εtəz- o pεi dε sɔ̃ʒəz- e dəpɥi, la ɡeʁə fε ʁaʒə ɑ̃tʁə lε dø ʁwajomə. lə sɔʁsje də la ʁεnə nwaʁə a miz- o pwɛ̃ sa pɔsjɔ̃ e laʁme də la ʁεnə nwaʁə maʁʃε syʁ ɑ̃ diʁεksjɔ̃ dy ʃato dy ʁwa e də la ʁεnə. mε lə plys ɡʁavə, sε kə sεtə aʁme ε sutənɥ paʁ lε tʁɔləz- e lə dʁaɡɔ̃, ɡaʁdjɛ̃ dε teʁəz- ɛ̃tεʁditəs ». « εt la pʁɛ̃sεsə, kε dəvənɥ la pʁɛ̃sεsə ʁozə ? » dəmɑ̃da iʁmɛ̃. « εllə va bjɛ̃, εllə ε sumizə a œ̃ sɔʁtilεʒə ki la plɔ̃ʒe dɑ̃ lə sɔmεj mεz- εllə va bjɛ̃. lə sɔʁsje a bəzwɛ̃ dεllə e də kεlk ɡutə də sɔ̃ sɑ̃ puʁ ɑ̃tʁətəniʁ sɔ̃n- aʁmeə ». lε fe lɥi εksplikεʁe ɑ̃ detaj lə sɔʁtilεʒə dy sɔʁsje e puʁkwa il avε bəzwɛ̃ də la pʁɛ̃sεsə. ɑ̃ kɔ̃pʁənɑ̃ kə la pʁɛ̃sεsə etε amuʁøzə e kə sɔ̃n- amuʁ puʁ lɥi etε sɑ̃ fajə, il syplja lε fe də lɥi εksplike sə kil etε nesesεʁə də fεʁə puʁ libeʁe la pʁɛ̃sεsə e, də paʁ la mεmə, libeʁe lə ʁwajomə də laʁme də la ʁεnə nwaʁə. « afɛ̃ kə lεz- efε dy sɔʁsje nε okœ̃ efε syʁ twa, nu dəvɔ̃ tə pʁɔteʒe də sεz- atakəs ». εllə kɔ̃fεksjɔnεʁe alɔʁz- ynə aʁmyʁə, œ̃ buklje e ynə epe puvɑ̃ ʁeziste oz- atak dy sɔʁsje mεz- osi dε tʁɔləz- e dy dʁaɡɔ̃. səsi fε, εllə pozεʁe tutə lε sɛ̃k lə bu də lœʁ baɡεtə syʁ lə fʁɔ̃ dy tajœʁ də pjeʁə e lɥi ɑ̃sεɲεʁe paʁ lə bjε də la maʒi laʁ də la manipylasjɔ̃ də lepe. « lynə də nu takɔ̃paɲəʁa, lεz- otʁəz- εdəʁɔ̃ a la defɑ̃sə dy ʃato. la fe dy fø sə pɔʁta vɔlɔ̃tεʁə puʁ akɔ̃paɲe iʁmɛ̃. » lə ʃato də la ʁεnə nwaʁə ε ɡaʁde paʁ lə dʁaɡɔ̃, e ki mjø kə mwa pø lεde a kɔ̃batʁə lə fø dy dʁaɡɔ̃. plysz- il kʁaʃəʁa lə fø e plys ʒə kɔnεtʁε sε pwɛ̃ fεblə, mε ʒə puʁʁε pɔʁte lε kuz- a la plasə dy ʃəvalje ki paʁtiʁa pʁɑ̃dʁə də fɔʁsə lə ʃato «. sə ʃəvalje, ki netε otʁə kœ̃ vylɡεʁə tajœʁ də pjeʁə, ɑ̃fuʁʃa sa mɔ̃tyʁə. sɔ̃n- aʁmyʁə ʁuʒə e ɔʁ bʁijε su lə sɔlεj ki etε a sɔ̃ zenit. » vus ki εtə lε ɡaʁdjεnə də sə ʁwajomə, ʒə vu ʒyʁə də mə batʁə paʁ amuʁ puʁ la pʁɛ̃sεsə osi lɔ̃tɑ̃ kil mə ʁεstəʁa œ̃ səl suflə də vi. ʒə fəʁε tu sə ki εt- ɑ̃ mɔ̃ puvwaʁ puʁ vu la ʁaməne sεnə e sovə «. ynə laʁmə, ynə laʁmə dεspwaʁ, kulε syʁ sa ʒu, e ala sə poze syʁ lə pɔmo də sɔ̃n- epe. » ʁɑ̃de mwa œ̃ dεʁnje sεʁvisə «, dəmɑ̃da til. » kə puvɔ̃ fεʁə puʁ twa ? «, ʁepɔ̃diʁe lε fe. » puve vu ʃɑ̃ʒe sε kεlk bʁɑ̃ʃəz- ɑ̃ sizo puʁ taje lε pjeʁə ? ɡjmε. il y a pεnə fini sε mo, e sɑ̃ mεmə poze də kεstjɔ̃, lε baɡεtə maʒikz- avε fε uvʁaʒə. il ʁɑ̃ʒa lε sizoz- a sa sɛ̃tyʁə kɔmə lɔ̃ plasə dε kutoz- u dε pwaɲaʁd.
Syllabes Phonétique : Le Tailleur De Pierre : Chapitre 8 : Le Chevalier De Feuiʁ=mɛ̃=ʁə=pʁi=kɔ=nε=sɑ̃=sə=ɡʁa=sə=o=ʒεt=do=kil=ʁə=sy=ɑ̃=plɛ̃=vi=za=ʒə=y=nə=o=tʁə=fe=sə=tʁu=vε=də=vɑ̃=lɥi=bɔ̃=ʒuʁ=ʒə=sɥi=la=fe=də=lo=lɥi=di=tεl=lə=e=il=ʁə=pεʁ=di=kɔ=nε=sɑ̃=sə=lε=sɛ̃k=fe=ze=lə=ʃə=val=kɑ̃=ta=ø=paʁ=ti=ʁe=dɑ̃=zœ̃=fu=ʁi=ʁə=sɑ̃=fɛ̃=lε=sɔ̃=lɥi=œ̃=pø=də=tɑ̃=puʁ=kil=kɔ̃=pʁε=nə=də=lɥi=mε=mə=il=sə=ʁe=vε=ja=də=nu=vo=e=ɑ̃=nu=vʁɑ̃=lε=zi=ø=il=vit=lε=sɛ̃k=fe=ki=lə=fik=sε=il=lε=ʁə=ɡaʁ=da=pɑ̃=dɑ̃=œ̃=lɔ̃=mɔ=mɑ̃=ɑ̃=lε=de=ta=jɑ̃=il=kɔ=nε=sε=la=fe=də=lεʁ=e=a=vε=a=pεʁ=sy=sεl=lə=də=lo=εl=lə=pɔʁ=tε=la=ʁɔ=bə=vεʁ=tə=də=lo=ɛ̃=pʁe=ɲe=də=ʁə=flε=ki=a=bʁə=və=la=na=ty=ʁə=e=də=lɔ̃ɡ=ʃə=vø=ʃa=tɛ̃=sə=ʁə=ɡaʁ=sə=pɔʁ=ta=syʁ=lε=tʁwa=zo=tʁə=ly=nə=dεl=lə=sə=lə=va=e=lə=sal=ɥa=dy=nə=pə=ti=tə=kuʁ=bε=tə=ʒə=sɥi=la=fe=də=la=te=ʁə=lɥi=di=tεl=lə=sa=lɔ̃ɡ=ʁɔ=bə=ma=ʁɔ̃=e=tε=a=sɔʁ=ti=a=sε=ʃə=vø=zo=byʁn=sə=ʒwa=ɲɑ̃=a=εl=lə=la=fe=ki=pɔʁ=tε=y=nə=ʁɔ=bə=blø=e=dε=ʃə=vø=blɔ̃=sə=pʁe=zɑ̃=ta=ʒə=sɥi=la=fe=dy=sjəl=εt=mwa=la=fe=dy=fø=di=la=dεʁ=njε=ʁə=ɑ̃=ʁə=ʒwa=ɲɑ̃=sε=sœʁ=εl=lə=pɔʁ=tε=kɑ̃=ta=εl=lə=y=nə=ʁɔ=bə=ʁu=ʒə=e=sa=ʃə=və=ly=ʁə=e=tε=dœ̃=ma=ɲi=fi=kə=ʁu=kɥi=vʁe=εt=mwa=ʒə=sɥi=pɔ=da=ʒi=ʁə=ta=fi=dε=lə=mɔ̃=ty=ʁə=dit=lə=ʃə=val=ɑ̃=sə=bε=sɑ̃=ɑ̃=pljɑ̃=y=nə=pa=tə=ɑ̃=ɡi=zə=də=sa=ly=ta=sjɔ̃=e=ɑ̃=lə=ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=a=vεk=œ̃=laʁ=ʒə=su=ʁi=ʁə=ki=lɥi=fə=zε=a=pa=ʁε=tʁə=tu=tə=sε=dɑ̃ts=mε=ʒə=kʁwa=kə=nu=nu=kɔ=nε=sɔ̃=dəp=ɥi=fɔʁ=lɔ̃=tɑ̃ps=bjɛ̃=mɛ̃=tə=nɑ̃=kə=lε=pʁe=zɑ̃=ta=sjɔ̃=sɔ̃=fε=tə=pa=sɔ̃=zo=vif=dy=sy=ʒət=dit=la=fe=də=lo=ʒə=vu=ʁa=pεl=lə=kə=la=pʁɛ̃=sε=sə=ε=tɑ̃=lε=mɛ̃=dy=sɔʁ=sje=e=də=la=ʁε=nə=nwa=ʁə=e=kil=ε=plys=kə=tɑ̃=da=ʒiʁ=ɑ̃=nœ̃=ʁɛ̃=də=tɑ̃=lə=ta=jœʁ=də=pje=ʁə=sə=ʁə=tʁu=və=syʁ=sε=ʒɑ̃=bə=ze=pʁε=a=ʁə=paʁ=tiʁ=a=la=so=dy=ʃa=to=də=la=ʁε=nə=nwa=ʁə=du=sə=mεnt=lɥi=di=ʁe=lε=fe=ləs=ʃo=zə=zɔ̃=bo=ku=e=vɔ=ly=e=dəp=ɥi=pø=sə=la=fε=dø=ʒuʁ=kə=vu=zε=tə=zo=pε=i=dε=sɔ̃=ʒə=ze=dəp=ɥi=la=ɡe=ʁə=fε=ʁa=ʒə=ɑ̃=tʁə=lε=dø=ʁwa=jo=mə=lə=sɔʁ=sje=də=la=ʁε=nə=nwa=ʁə=a=mi=zo=pwɛ̃=sa=pɔ=sjɔ̃=e=laʁ=me=də=la=ʁε=nə=nwa=ʁə=maʁ=ʃε=syʁ=ɑ̃=di=ʁεk=sjɔ̃=dy=ʃa=to=dy=ʁwa=e=də=la=ʁε=nə=mε=lə=plys=ɡʁa=və=sε=kə=sε=tə=aʁ=me=ε=su=tənɥ=paʁ=lε=tʁɔ=lə=ze=lə=dʁa=ɡɔ̃=ɡaʁ=djɛ̃=dε=te=ʁə=zɛ̃=tεʁ=di=təs=εt=la=pʁɛ̃=sε=sə=kε=də=vənɥ=la=pʁɛ̃=sε=sə=ʁo=zə=də=mɑ̃=da=iʁ=mɛ̃=εl=lə=va=bjɛ̃=εl=lə=ε=su=mi=zə=a=œ̃=sɔʁ=ti=lε=ʒə=ki=la=plɔ̃=ʒe=dɑ̃=lə=sɔ=mεj=mε=zεl=lə=va=bjɛ̃=lə=sɔʁ=sje=a=bə=zwɛ̃=dεl=lə=e=də=kεl=kə=ɡu=tə=də=sɔ̃=sɑ̃=puʁ=ɑ̃=tʁə=tə=niʁ=sɔ̃=naʁ=me=ə=lε=fe=lɥi=εk=spli=kε=ʁe=ɑ̃=de=taj=lə=sɔʁ=ti=lε=ʒə=dy=sɔʁ=sje=e=puʁ=kwa=il=a=vε=bə=zwɛ̃=də=la=pʁɛ̃=sε=sə=ɑ̃=kɔ̃=pʁə=nɑ̃=kə=la=pʁɛ̃=sε=sə=e=tε=a=mu=ʁø=zə=e=kə=sɔ̃=na=muʁ=puʁ=lɥi=e=tε=sɑ̃=fa=jə=il=sy=plja=lε=fe=də=lɥi=εk=spli=ke=sə=kil=e=tε=ne=se=sε=ʁə=də=fε=ʁə=puʁ=li=be=ʁe=la=pʁɛ̃=sε=sə=e=də=paʁ=la=mε=mə=li=be=ʁe=lə=ʁwa=jo=mə=də=laʁ=me=də=la=ʁε=nə=nwa=ʁə=a=fɛ̃=kə=lε=ze=fε=dy=sɔʁ=sje=nε=o=kœ̃=e=fε=syʁ=twa=nu=də=vɔ̃=tə=pʁɔ=te=ʒe=də=sε=za=ta=kəs=εl=lə=kɔ̃=fεk=sjɔ=nε=ʁe=a=lɔʁ=zy=nə=aʁ=my=ʁə=œ̃=bu=klje=e=y=nə=e=pe=pu=vɑ̃=ʁe=zis=te=o=za=tak=dy=sɔʁ=sje=mε=zo=si=dε=tʁɔ=lə=ze=dy=dʁa=ɡɔ̃=sə=si=fε=εl=lə=po=zε=ʁe=tu=tə=lε=sɛ̃k=lə=bu=də=lœʁ=ba=ɡε=tə=syʁ=lə=fʁɔ̃=dy=ta=jœʁ=də=pje=ʁə=e=lɥi=ɑ̃=sε=ɲε=ʁe=paʁ=lə=bjε=də=la=ma=ʒi=laʁ=də=la=ma=ni=py=la=sjɔ̃=də=le=pe=ly=nə=də=nu=ta=kɔ̃=pa=ɲə=ʁa=lε=zo=tʁə=zε=də=ʁɔ̃=a=la=de=fɑ̃=sə=dy=ʃa=to=la=fe=dy=fø=sə=pɔʁ=ta=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=puʁ=a=kɔ̃=pa=ɲe=iʁ=mɛ̃=lə=ʃa=to=də=la=ʁε=nə=nwa=ʁə=ε=ɡaʁ=de=paʁ=lə=dʁa=ɡɔ̃=e=ki=mjø=kə=mwa=pø=lε=de=a=kɔ̃=ba=tʁə=lə=fø=dy=dʁa=ɡɔ̃=plys=zil=kʁa=ʃə=ʁa=lə=fø=e=plys=ʒə=kɔ=nε=tʁε=sε=pwɛ̃=fε=blə=mε=ʒə=puʁ=ʁε=pɔʁ=te=lε=ku=za=la=pla=sə=dy=ʃə=va=lje=ki=paʁ=ti=ʁa=pʁɑ̃=dʁə=də=fɔʁ=sə=lə=ʃa=to=sə=ʃə=va=lje=ki=ne=tε=o=tʁə=kœ̃=vyl=ɡε=ʁə=ta=jœʁ=də=pje=ʁə=ɑ̃=fuʁ=ʃa=sa=mɔ̃=ty=ʁə=sɔ̃=naʁ=my=ʁə=ʁu=ʒə=e=ɔʁ=bʁi=jε=su=lə=sɔ=lεj=ki=e=tε=a=sɔ̃=ze=nit=vus=ki=ε=tə=lε=ɡaʁ=djε=nə=də=sə=ʁwa=jo=mə=ʒə=vu=ʒy=ʁə=də=mə=ba=tʁə=paʁ=a=muʁ=puʁ=la=pʁɛ̃=sε=sə=o=si=lɔ̃=tɑ̃=kil=mə=ʁεs=tə=ʁa=œ̃=səl=su=flə=də=vi=ʒə=fə=ʁε=tu=sə=ki=ε=tɑ̃=mɔ̃=pu=vwaʁ=puʁ=vu=la=ʁa=mə=ne=sε=nə=e=so=və=y=nə=laʁ=mə=y=nə=laʁ=mə=dεs=pwaʁ=ku=lε=syʁ=sa=ʒu=e=a=la=sə=po=ze=syʁ=lə=pɔ=mo=də=sɔ̃=ne=pe=ʁɑ̃=de=mwa=œ̃=dεʁ=nje=sεʁ=vi=sə=də=mɑ̃=da=til=kə=pu=vɔ̃=fε=ʁə=puʁ=twa=ʁe=pɔ̃=di=ʁe=lε=fe=pu=ve=vu=ʃɑ̃=ʒe=sε=kεl=kə=bʁɑ̃=ʃə=zɑ̃=si=zo=puʁ=ta=je=lε=pje=ʁə=ɡjmε=il=y=a=pε=nə=fi=ni=sε=mo=e=sɑ̃=mε=mə=po=ze=də=kεs=tjɔ̃=lε=ba=ɡε=tə=ma=ʒik=za=vε=fε=u=vʁa=ʒə=il=ʁɑ̃=ʒa=lε=si=zo=za=sa=sɛ̃=ty=ʁə=kɔ=mə=lɔ̃=pla=sə=dε=ku=to=zu=dε=pwa=ɲaʁd 1277

Récompense

Coup de coeur: 1
J’aime: 1
J’aime pas: 0

Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
10/11/2012 13:03Eden33

🙂, bien, oui la fée de feu est la plus à même à l’accompagner pour combattre le dragon !!
😛 , merci et j’ai toujours huit ans et je m’évade en te lisant
bravo Jandot Poèsie

Auteur de Poésie
10/11/2012 13:11Jandot Poésie

merci Gmlavie pour tes commentaires toujours aussi sympatiques
PS: je viens de retrouver ton doudou

MDR
amitiés

Auteur de Poésie
10/11/2012 16:18Eden33

je le veux , je le veux !!!! MON DOUDOU 😮
mdr 😃

Auteur de Poésie
10/11/2012 23:19Jandot Poésie

alors je te l’enverrais, promis..... 😉

Poème Fantastique
Du 10/11/2012 12:51

L'écrit contient 853 mots qui sont répartis dans 1 strophes.