Poème:Souffrance

La nuit était toujours claire autour de moi
La solitude était accroupie à mes cotés
Un silence de mort, de haine et de désespoir
Mon cœur se serrait d’avantage
Lorsque tout le monde se taisait
Dans ce silence j’était seule
Assise à genoux devant ma souffrance

Autour de moi tout était vide
Tout était égal, et évolu
J’était solitaire comme un cerceuil
Plein de méchance é de grimace angelique d’ la vie
Comme si j’était une veilleuse, une gradieuse de tombe

Hier à l’heure la plus silencieuse
La terre m’as manqué et le reve a commencé
L’aiguille avançait, l’horloge de ma vie respirait
Jamais je n’ai entendu un si pesant silence autour de moi
J’était nue comme le vent, comme l’eau
J’était folie et corde à linge
Mais j’était un pont, pas un but
Je cherchais toujours la raison de périr
Afin de connaitre d’ou vien cette souffrance