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Poeme : Felis Silvestris Catus



Felis Silvestris Catus

Sous son air ébahi,
Il sévit sans empathie.
Regardant sciemment le monde
Sans envie profonde.

Il se croit sans égal
Est-ce là bien trivial ?
Ou est-ce prémédité,
En mémoire d’une des sept vies passées ?

Peu importe la prose,
Sa vie n’est pas morose
Car il est de loin,
Le plus fervent des épicuriens.
Teo

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Poème en Phonétique

su sɔ̃n- εʁ ebai,
il sevi sɑ̃z- ɑ̃pati.
ʁəɡaʁdɑ̃ sjamɑ̃ lə mɔ̃də
sɑ̃z- ɑ̃vi pʁɔfɔ̃də.

il sə kʁwa sɑ̃z- eɡal
ε sə la bjɛ̃ tʁivjal ?
u ε sə pʁemedite,
ɑ̃ memwaʁə dynə dε sεt vi pase ?

pø ɛ̃pɔʁtə la pʁozə,
sa vi nε pa mɔʁozə
kaʁ il ε də lwɛ̃,
lə plys fεʁve dεz- epikyʁjɛ̃.