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Poeme : Récits Du Crépuscule Et Secrets Nocturnes



A Propos

Sous le ciel étoilé de temps anciens, ce poème s’aventure dans les ruelles pavées. Une époque où les robes de soie dansaient au gré du vent, où les pensées s’élevaient comme des étincelles dans des salons feutrés.

Que ces vers soient une invitation à voyager dans le passé, à ressentir l’élégance d’une époque disparue et à méditer sur la continuité de la vie, tissée entre les fils du mystère et de la grâce.

Albert B.

Récits Du Crépuscule Et Secrets Nocturnes

Sous le ciel étoilé, en ces temps anciens,
Où l’aube lente éclairait les lendemains,
La vie s’étirait, un ballet de jours mesurés,
Entre les ruelles pavées, d’histoires ciselées.

Les robes de soie dansaient, légères et fines,
Les hommes, galants, déclamaient des vers cristallines.
Dans les salons feutrés, où les bougies dansaient,
Les idées, étincelles, aux esprits se livraient.

La raison, flambeau, éclairait les débats,
Sous la lueur des lustres, les pensées s’élevaient.
Les quais des rivières, les places animées,
Portaient le poids des rêves et des amours partagées.

Les carrosses dorés, les rires dans l’air,
Témoignaient de vies tissées, d’un quotidien à façonner.
Mais parmi ces tableaux d’une époque révolue,
Les ombres du travail, de la peine, se dissimulaient.

Car derrière la splendeur des palais et des nuits,
La vie quotidienne portait son fardeau, ses soucis.
Les saisons changeaient, les feuilles tombaient,
Tandis que les horloges, implacables, s’écoulaient.

Les aspirations, les luttes, façonnaient l’existence,
Dans le riche tissu d’une ère en résilience.
Ainsi, la vie à l’époque, entre ombre et lumière,
Était une toile tissée, pleine de mystères.

Sous le joug inexorable du temps qui passe,
Elle résiste, un héritage qui demeure en grâce.
Les âmes se rencontraient dans la quiétude du soir,
Continuant ainsi le ballet éternel de l’histoire.
Albertb

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Poème en Phonétique

su lə sjεl etwale, ɑ̃ sε tɑ̃z- ɑ̃sjɛ̃,
u lobə lɑ̃tə eklεʁε lε lɑ̃dəmɛ̃,
la vi setiʁε, œ̃ balε də ʒuʁ məzyʁe,
ɑ̃tʁə lε ʁyεllə pave, distwaʁə sizəle.

lε ʁɔbə də swa dɑ̃sε, leʒεʁəz- e finə,
lεz- ɔmə, ɡalɑ̃, deklamε dε vεʁ kʁistalinə.
dɑ̃ lε salɔ̃ føtʁe, u lε buʒi dɑ̃sε,
lεz- ide, etɛ̃sεllə, oz- εspʁi sə livʁε.

la ʁεzɔ̃, flɑ̃bo, eklεʁε lε deba,
su la lɥœʁ dε lystʁə, lε pɑ̃se seləvε.
lε kε dε ʁivjεʁə, lε plasəz- anime,
pɔʁtε lə pwa dε ʁεvəz- e dεz- amuʁ paʁtaʒe.

lε kaʁɔsə dɔʁe, lε ʁiʁə dɑ̃ lεʁ,
temwaɲε də vi tise, dœ̃ kɔtidjɛ̃ a fasɔne.
mε paʁmi sε tablo dynə epɔkə ʁevɔlɥ,
lεz- ɔ̃bʁə- dy tʁavaj, də la pεnə, sə disimylε.

kaʁ dəʁjεʁə la splɑ̃dœʁ dε palεz- e dε nɥi,
la vi kɔtidjεnə pɔʁtε sɔ̃ faʁdo, sε susi.
lε sεzɔ̃ ʃɑ̃ʒε, lε fœjə tɔ̃bε,
tɑ̃di kə lεz- ɔʁlɔʒə, ɛ̃plakablə, sekulε.

lεz- aspiʁasjɔ̃, lε lytə, fasɔnε lεɡzistɑ̃sə,
dɑ̃ lə ʁiʃə tisy dynə εʁə ɑ̃ ʁeziljɑ̃sə.
ɛ̃si, la vi a lepɔkə, ɑ̃tʁə ɔ̃bʁə e lymjεʁə,
etε ynə twalə tise, plεnə də mistεʁə.

su lə ʒuɡ inεksɔʁablə dy tɑ̃ ki pasə,
εllə ʁezistə, œ̃n- eʁitaʒə ki dəməʁə ɑ̃ ɡʁasə.
lεz- amə sə ʁɑ̃kɔ̃tʁε dɑ̃ la kjetydə dy swaʁ,
kɔ̃tinɥɑ̃ ɛ̃si lə balε etεʁnεl də listwaʁə.