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Poeme : Chroniques Urbaines



A Propos

Au cœur de la métropole, là où les lumières éclatent et les bruits s'entremêlent, se déroule un spectacle quotidien captivant. Ce poème plonge dans les rues animées de la capitale, où l'effervescence et la frénésie se mêlent à la tranquillité cachée. Il explore les contrastes entre le mouvement perpétuel de la vie citadine et les moments de calme retrouvés dans les coins les plus insoupçonnés. Dans cette jungle urbaine, où les destins se croisent et se séparent, se dessine le portrait d'une ville en perpétuelle mutation, façonnée par le rythme effréné de ses habitants.

Chroniques Urbaines

Sous les néons de la vie citadine,
Dans la capitale où l’effervescence s’achemine.
Au rythme effréné du métro en sursis,
La vie trépidante bat son plein, sans répit.

Dans l’air saturé, la pollution danse,
S’élevant des voitures, une triste romance.
Les klaxons résonnent comme un cri,
Au cœur d’une ville où tout se défie.

Les rues bondées, un ballet de fourmis,
Stationnement éphémère, espace pris.
Bouchons étreignent l’horizon urbain,
Entre béton et verre, le quotidien.

Les magasins clignotent, tentations virevoltent,
Pickpockets rusent, les âmes révoltent.
Vélos zigzaguant entre les dédales,
Boulot-métro-dodo, le triptyque sans escale.

La vie s’écoule entre les buildings altiers,
Dans cette jungle urbaine aux mille enjeux entremêlés.
Mais malgré l’agitation, l’âme trouve son refuge,
Dans les recoins secrets où l’on s’évade en silence.

Capitale, tu es un tourbillon d’émotions,
Où se croisent destins, rêves et illusions.
Entre le stress et la beauté dissimulée,
C’est dans ton tumulte que la vie est sculptée.
Albertb

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Poème en Phonétique

su lε neɔ̃ də la vi sitadinə,
dɑ̃ la kapitalə u lefεʁvesɑ̃sə saʃəminə.
o ʁitmə efʁene dy metʁo ɑ̃ syʁsi,
la vi tʁepidɑ̃tə ba sɔ̃ plɛ̃, sɑ̃ ʁepi.

dɑ̃ lεʁ satyʁe, la pɔlysjɔ̃ dɑ̃sə,
seləvɑ̃ dε vwatyʁə, ynə tʁistə ʁɔmɑ̃sə.
lε klaksɔ̃ ʁezɔne kɔmə œ̃ kʁi,
o kœʁ dynə vilə u tu sə defi.

lε ʁy bɔ̃de, œ̃ balε də fuʁmi,
stasjɔnəmɑ̃ efemεʁə, εspasə pʁi.
buʃɔ̃z- etʁεɲe lɔʁizɔ̃ yʁbɛ̃,
ɑ̃tʁə betɔ̃ e veʁə, lə kɔtidjɛ̃.

lε maɡazɛ̃ kliɲɔte, tɑ̃tasjɔ̃ viʁəvɔlte,
pikpɔkε ʁyze, lεz- amə ʁevɔlte.
velo ziɡzaɡɑ̃ ɑ̃tʁə lε dedalə,
bulo metʁo dɔdo, lə tʁiptikə sɑ̃z- εskalə.

la vi sekulə ɑ̃tʁə lε bɥildiŋz- altje,
dɑ̃ sεtə ʒœ̃ɡlə yʁbεnə o milə ɑ̃ʒøz- ɑ̃tʁəmεle.
mε malɡʁe laʒitasjɔ̃, lamə tʁuvə sɔ̃ ʁəfyʒə,
dɑ̃ lε ʁəkwɛ̃ sεkʁεz- u lɔ̃ sevadə ɑ̃ silɑ̃sə.

kapitalə, ty ε œ̃ tuʁbijɔ̃ demɔsjɔ̃,
u sə kʁwaze dεstɛ̃, ʁεvəz- e ilyzjɔ̃.
ɑ̃tʁə lə stʁεsz- e la bote disimyle,
sε dɑ̃ tɔ̃ tymyltə kə la vi ε skylpte.