Poeme : Les Murmures Du Nocturne
A Propos
Dans ce poème, je vous convie à une exploration onirique, un voyage au cœur des rêves. Laissez-vous emporter par l’éclat des étoiles dans le firmament de l’imagination, où chaque vers tisse un fil entre la réalité et l’illusoire. Ensemble, plongeons dans l’univers des rêves, là où l’esprit danse librement et où chaque mot devient une note mélodieuse dans la symphonie nocturne de notre esprit.
Les Murmures Du Nocturne
Sous le voile éthéré des songes dorés,
Les rêves tissent des histoires émerveillées.
Dans l’antre du sommeil, le monde se transforme,
Chaque nuit, une aventure où l’imagination foisonne.
Les étoiles deviennent des portes célestes,
Ouvertes sur des horizons mystiques et modestes.
Les rêves, doux artisans d’un monde parallèle,
Peignent des fresques oniriques où l’esprit s’interpelle.
Les montagnes se courbent sous le poids des souhaits,
Les rivières murmurent des secrets, des contes par milliers.
Les éclats de lune s’entrelacent aux pensées,
Créant des tableaux magiques dans l’obscurité.
Les rêves, ces compagnons du silence,
Ouvrent des fenêtres vers une réalité immense.
Chaque nuit, une symphonie de sensations,
Une danse où l’âme explore ses fondations.
Dans l’intimité du sommeil profond,
Laissons-nous guider par ces envols féconds.
Dans l’obscurité naissante, sous ce ciel ardent,
Les étoiles s’éveillent, tissant un rêve étincelant.
Les rêves tissent des histoires émerveillées.
Dans l’antre du sommeil, le monde se transforme,
Chaque nuit, une aventure où l’imagination foisonne.
Les étoiles deviennent des portes célestes,
Ouvertes sur des horizons mystiques et modestes.
Les rêves, doux artisans d’un monde parallèle,
Peignent des fresques oniriques où l’esprit s’interpelle.
Les montagnes se courbent sous le poids des souhaits,
Les rivières murmurent des secrets, des contes par milliers.
Les éclats de lune s’entrelacent aux pensées,
Créant des tableaux magiques dans l’obscurité.
Les rêves, ces compagnons du silence,
Ouvrent des fenêtres vers une réalité immense.
Chaque nuit, une symphonie de sensations,
Une danse où l’âme explore ses fondations.
Dans l’intimité du sommeil profond,
Laissons-nous guider par ces envols féconds.
Dans l’obscurité naissante, sous ce ciel ardent,
Les étoiles s’éveillent, tissant un rêve étincelant.
Albertb
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Poème en Phonétique
su lə vwalə eteʁe dε sɔ̃ʒə dɔʁe,
lε ʁεvə tise dεz- istwaʁəz- emεʁvεje.
dɑ̃ lɑ̃tʁə dy sɔmεj, lə mɔ̃də sə tʁɑ̃sfɔʁmə,
ʃakə nɥi, ynə avɑ̃tyʁə u limaʒinasjɔ̃ fwazɔnə.
lεz- etwalə dəvjεne dε pɔʁtə- selεstə,
uvεʁtə- syʁ dεz- ɔʁizɔ̃ mistikz- e mɔdεstə.
lε ʁεvə, duz- aʁtizɑ̃ dœ̃ mɔ̃də paʁalεlə,
pεɲe dε fʁεskz- ɔniʁikz- u lεspʁi sɛ̃tεʁpεllə.
lε mɔ̃taɲə sə kuʁbe su lə pwa dε suε,
lε ʁivjεʁə myʁmyʁe dε sεkʁε, dε kɔ̃tə paʁ milje.
lεz- ekla də lynə sɑ̃tʁəlase o pɑ̃se,
kʁeɑ̃ dε tablo maʒik dɑ̃ lɔpskyʁite.
lε ʁεvə, sε kɔ̃paɲɔ̃ dy silɑ̃sə,
uvʁe dε fənεtʁə- vεʁz- ynə ʁealite imɑ̃sə.
ʃakə nɥi, ynə sɛ̃fɔni də sɑ̃sasjɔ̃,
ynə dɑ̃sə u lamə εksplɔʁə sε fɔ̃dasjɔ̃.
dɑ̃ lɛ̃timite dy sɔmεj pʁɔfɔ̃,
lεsɔ̃ nu ɡide paʁ sεz- ɑ̃vɔl fekɔ̃.
dɑ̃ lɔpskyʁite nεsɑ̃tə, su sə sjεl aʁde,
lεz- etwalə sevεje, tisɑ̃ œ̃ ʁεvə etɛ̃səlɑ̃.
lε ʁεvə tise dεz- istwaʁəz- emεʁvεje.
dɑ̃ lɑ̃tʁə dy sɔmεj, lə mɔ̃də sə tʁɑ̃sfɔʁmə,
ʃakə nɥi, ynə avɑ̃tyʁə u limaʒinasjɔ̃ fwazɔnə.
lεz- etwalə dəvjεne dε pɔʁtə- selεstə,
uvεʁtə- syʁ dεz- ɔʁizɔ̃ mistikz- e mɔdεstə.
lε ʁεvə, duz- aʁtizɑ̃ dœ̃ mɔ̃də paʁalεlə,
pεɲe dε fʁεskz- ɔniʁikz- u lεspʁi sɛ̃tεʁpεllə.
lε mɔ̃taɲə sə kuʁbe su lə pwa dε suε,
lε ʁivjεʁə myʁmyʁe dε sεkʁε, dε kɔ̃tə paʁ milje.
lεz- ekla də lynə sɑ̃tʁəlase o pɑ̃se,
kʁeɑ̃ dε tablo maʒik dɑ̃ lɔpskyʁite.
lε ʁεvə, sε kɔ̃paɲɔ̃ dy silɑ̃sə,
uvʁe dε fənεtʁə- vεʁz- ynə ʁealite imɑ̃sə.
ʃakə nɥi, ynə sɛ̃fɔni də sɑ̃sasjɔ̃,
ynə dɑ̃sə u lamə εksplɔʁə sε fɔ̃dasjɔ̃.
dɑ̃ lɛ̃timite dy sɔmεj pʁɔfɔ̃,
lεsɔ̃ nu ɡide paʁ sεz- ɑ̃vɔl fekɔ̃.
dɑ̃ lɔpskyʁite nεsɑ̃tə, su sə sjεl aʁde,
lεz- etwalə sevεje, tisɑ̃ œ̃ ʁεvə etɛ̃səlɑ̃.