Poeme : Les Abeilles De La Nuit
A Propos
Dans le poème, j’ai utilisé « abeilles » comme une image symbolique. Ça veut dire que ces
drogues sont comme des petites créatures invisibles, qui peuvent piquer soudainement, faire
mal ou causer du danger sans qu’on s’en rende compte. Les abeilles, en général, peuvent
sembler douces, mais leur piqûre fait mal. C’est une façon de dire que ces drogues
paraissent parfois attirantes, mais elles cachent des risques.
Les Abeilles De La Nuit
Dans la nuit des villes, des ombres dansent,
Des poudres colorées, douces apparences.
La rose qui charme, parfum sucré,
Cache des dangers, mal insoupçonné.
Un souffle puissant, au nom de Nitazène,
Quarante fois fort, une arme pleine.
Des vies s’envolent, silencieuses douleurs,
Dans ce monde d’illusions, aux faux bonheurs.
La 3-MMC, au prix léger,
Fête bruyante, corps fatigués.
Un mirage festif, aux risques cachés,
Que beaucoup ignorent, que peu veulent voir.
Au loin en Afrique, le Kadhafi rôde,
Tramadol et alcool, un mélange qui démode.
Chansons et réseaux, font vibrer la mode,
Mais le piège guette, derrière l’épisode.
Ombres furtives, dans l’air s’infiltrent,
Dans nos rues, nos vies, elles s’invitent.
Gardons les yeux ouverts, cœur en veille,
Pour ne pas sombrer dans ces funestes abeilles.
Des poudres colorées, douces apparences.
La rose qui charme, parfum sucré,
Cache des dangers, mal insoupçonné.
Un souffle puissant, au nom de Nitazène,
Quarante fois fort, une arme pleine.
Des vies s’envolent, silencieuses douleurs,
Dans ce monde d’illusions, aux faux bonheurs.
La 3-MMC, au prix léger,
Fête bruyante, corps fatigués.
Un mirage festif, aux risques cachés,
Que beaucoup ignorent, que peu veulent voir.
Au loin en Afrique, le Kadhafi rôde,
Tramadol et alcool, un mélange qui démode.
Chansons et réseaux, font vibrer la mode,
Mais le piège guette, derrière l’épisode.
Ombres furtives, dans l’air s’infiltrent,
Dans nos rues, nos vies, elles s’invitent.
Gardons les yeux ouverts, cœur en veille,
Pour ne pas sombrer dans ces funestes abeilles.
Albertb
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Poème en Phonétique
dɑ̃ la nɥi dε vilə, dεz- ɔ̃bʁə- dɑ̃se,
dε pudʁə- kɔlɔʁe, dusəz- apaʁɑ̃sə.
la ʁozə ki ʃaʁmə, paʁfœ̃ sykʁe,
kaʃə dε dɑ̃ʒe, mal ɛ̃supsɔne.
œ̃ suflə pɥisɑ̃, o nɔ̃ də nitazεnə,
kaʁɑ̃tə fwa fɔʁ, ynə aʁmə plεnə.
dε vi sɑ̃vɔle, silɑ̃sjøzə dulœʁ,
dɑ̃ sə mɔ̃də dilyzjɔ̃, o fo bɔnœʁ.
la tʁwa εm εm se, o pʁi leʒe,
fεtə bʁyiɑ̃tə, kɔʁ fatiɡe.
œ̃ miʁaʒə fεstif, o ʁisk kaʃe,
kə boku iɲɔʁe, kə pø vəle vwaʁ.
o lwɛ̃ ɑ̃n- afʁikə, lə kadafi ʁodə,
tʁamadɔl e alkɔl, œ̃ melɑ̃ʒə ki demɔdə.
ʃɑ̃sɔ̃z- e ʁezo, fɔ̃ vibʁe la mɔdə,
mε lə pjεʒə ɡεtə, dəʁjεʁə lepizɔdə.
ɔ̃bʁə- fyʁtivə, dɑ̃ lεʁ sɛ̃filtʁe,
dɑ̃ no ʁy, no vi, εllə sɛ̃vite.
ɡaʁdɔ̃ lεz- iøz- uvεʁ, kœʁ ɑ̃ vεjə,
puʁ nə pa sɔ̃bʁe dɑ̃ sε fynεstəz- abεjə.
dε pudʁə- kɔlɔʁe, dusəz- apaʁɑ̃sə.
la ʁozə ki ʃaʁmə, paʁfœ̃ sykʁe,
kaʃə dε dɑ̃ʒe, mal ɛ̃supsɔne.
œ̃ suflə pɥisɑ̃, o nɔ̃ də nitazεnə,
kaʁɑ̃tə fwa fɔʁ, ynə aʁmə plεnə.
dε vi sɑ̃vɔle, silɑ̃sjøzə dulœʁ,
dɑ̃ sə mɔ̃də dilyzjɔ̃, o fo bɔnœʁ.
la tʁwa εm εm se, o pʁi leʒe,
fεtə bʁyiɑ̃tə, kɔʁ fatiɡe.
œ̃ miʁaʒə fεstif, o ʁisk kaʃe,
kə boku iɲɔʁe, kə pø vəle vwaʁ.
o lwɛ̃ ɑ̃n- afʁikə, lə kadafi ʁodə,
tʁamadɔl e alkɔl, œ̃ melɑ̃ʒə ki demɔdə.
ʃɑ̃sɔ̃z- e ʁezo, fɔ̃ vibʁe la mɔdə,
mε lə pjεʒə ɡεtə, dəʁjεʁə lepizɔdə.
ɔ̃bʁə- fyʁtivə, dɑ̃ lεʁ sɛ̃filtʁe,
dɑ̃ no ʁy, no vi, εllə sɛ̃vite.
ɡaʁdɔ̃ lεz- iøz- uvεʁ, kœʁ ɑ̃ vεjə,
puʁ nə pa sɔ̃bʁe dɑ̃ sε fynεstəz- abεjə.