Poeme : Le Dragon

Ses yeux pleuraient en silence
Ils étaient empli de souffrance
Son feu c’est sa vengence.

Il était a terre,
Sa queue fouettant l’air,
Ses ailes telle la vie,
Le portait ou il en a envie.

Il donnerait tout pour être aimé,
Même sa liberté,
Mais vous lui avez déjà volé.

Rien ne sert de fuir,
Il vous tuerait s’il en avait envie.
Ses cornes sont sa défence
Ses griffes, sa puissance.

Ses mâchoires contiennent les Ténèbres et la Mort
Mais cela n’est pas un tort,
Car c’est pour en protéger le Monde…

Ce dragon était si beau,
Mais ils rêvaient tous d’une épée dans son dos
Ils y sont arrivés finallement :
Un chevalier soit disant vaillant,

L’a pris par derrière.
Il s’est couché par terre
Avec un dernier souffle d’air,
Depuis ce jour il n’y a que des guerres.

Tu l’as achevé lâchement
Et tu devras survivre maintenant.

Je n’oublierais jamais son regard,
Il évoquait la tristesse.
Et les hommes à son égard,
Ne sont que vipères.

Comment peuvent-il le traiter ainsi
Lui le Prince des Airs ?
Mais cela est pourtant clair
Ils ont peur et n’en font qu’a leur tête
Les hommes sont des vipères.

sεz- iø pləʁε ɑ̃ silɑ̃sə
ilz- etε ɑ̃pli də sufʁɑ̃sə
sɔ̃ fø sε sa vɑ̃ʒɑ̃sə.

il etε a teʁə,
sa kø fuεtɑ̃ lεʁ,
sεz- εlə tεllə la vi,
lə pɔʁtε u il ɑ̃n- a ɑ̃vi.

il dɔnəʁε tu puʁ εtʁə εme,
mεmə sa libεʁte,
mε vu lɥi ave deʒa vɔle.

ʁjɛ̃ nə sεʁ də fɥiʁ,
il vu tɥəʁε sil ɑ̃n- avε ɑ̃vi.
sε kɔʁnə- sɔ̃ sa defɑ̃sə
sε ɡʁifə, sa pɥisɑ̃sə.

sε maʃwaʁə kɔ̃tjεne lε tenεbʁəz- e la mɔʁ
mε səla nε pa œ̃ tɔʁ,
kaʁ sε puʁ ɑ̃ pʁɔteʒe lə mɔ̃də…

sə dʁaɡɔ̃ etε si bo,
mεz- il ʁεvε tus dynə epe dɑ̃ sɔ̃ do
ilz- i sɔ̃t- aʁive finalmɑ̃ :
œ̃ ʃəvalje swa dizɑ̃ vajɑ̃,

la pʁi paʁ dəʁjεʁə.
il sε kuʃe paʁ teʁə
avεk œ̃ dεʁnje suflə dεʁ,
dəpɥi sə ʒuʁ il ni a kə dε ɡeʁə.

ty la aʃəve laʃəmɑ̃
e ty dəvʁa syʁvivʁə mɛ̃tənɑ̃.

ʒə nubljəʁε ʒamε sɔ̃ ʁəɡaʁ,
il evɔkε la tʁistεsə.
e lεz- ɔməz- a sɔ̃n- eɡaʁ,
nə sɔ̃ kə vipεʁə.

kɔmɑ̃ pəve til lə tʁεte ɛ̃si
lɥi lə pʁɛ̃sə dεz- εʁ ?
mε səla ε puʁtɑ̃ klεʁ
ilz- ɔ̃ pœʁ e nɑ̃ fɔ̃ ka lœʁ tεtə
lεz- ɔmə sɔ̃ dε vipεʁə.