Poeme : Viol (62) Âmes Sensibles D’abstenir…
Viol (62) Âmes Sensibles D’abstenir…
Lorsqu’elle se baladait,
Elle rentrait du lycée.
Vous l’avez suivit
A trois cette nuit.
Dans cette ruelle,
Juste derrière chez elle,
Vous l’avez arrêter
Et vous l’avez baiser.
A chacun votre tour,
Vous lui avez fait l’amour.
Elle avait 16ans
Et attendait le bon moment.
Vous lui avez volé
Sa virginité.
Elle hurlait la mort,
Vous lui avez fait un sort.
Vous l’avez couché
Sur le béton glacé.
Vous l’avez tenu
Elle s’est débattue.
Son pantalon vous avez ouvert,
Et sa culotte déchirée.
A tour de rôle vous l’avez pénétré,
Elle vous supliait d’arrêter.
Hélas ça vous exitait,
Encore plus et vous n’avez pas arrêté.
Elle souffrait le martyre
Mais vous vous en fichiez de la voir souffir.
Vous preniez vôtre pied
A tour de rôle vous l’avez déchiré.
Après vos éjaculations,
Vous vous sentiez bien, bons.
Vous l’avez abondonné
Sur le béton glacé.
Elle se noyait dans ses larmes,
Cherchait comment le dire à ses proches.
Comment allaient-ils prendre cette nouvelles,
Aussi atroce soit-elle.
Elle prit sont courage à deux mains,
Refoulat son chagrin.
Rentra chez elle,
Les larmes aux yeux,
Un peu de sang lui coulait le long des jambes.
Sa mère s’est inquiétée,
Elle lui a tout avouée.
Au post elles sont allées
Et ces salauds ils ont capés !
Elle rentrait du lycée.
Vous l’avez suivit
A trois cette nuit.
Dans cette ruelle,
Juste derrière chez elle,
Vous l’avez arrêter
Et vous l’avez baiser.
A chacun votre tour,
Vous lui avez fait l’amour.
Elle avait 16ans
Et attendait le bon moment.
Vous lui avez volé
Sa virginité.
Elle hurlait la mort,
Vous lui avez fait un sort.
Vous l’avez couché
Sur le béton glacé.
Vous l’avez tenu
Elle s’est débattue.
Son pantalon vous avez ouvert,
Et sa culotte déchirée.
A tour de rôle vous l’avez pénétré,
Elle vous supliait d’arrêter.
Hélas ça vous exitait,
Encore plus et vous n’avez pas arrêté.
Elle souffrait le martyre
Mais vous vous en fichiez de la voir souffir.
Vous preniez vôtre pied
A tour de rôle vous l’avez déchiré.
Après vos éjaculations,
Vous vous sentiez bien, bons.
Vous l’avez abondonné
Sur le béton glacé.
Elle se noyait dans ses larmes,
Cherchait comment le dire à ses proches.
Comment allaient-ils prendre cette nouvelles,
Aussi atroce soit-elle.
Elle prit sont courage à deux mains,
Refoulat son chagrin.
Rentra chez elle,
Les larmes aux yeux,
Un peu de sang lui coulait le long des jambes.
Sa mère s’est inquiétée,
Elle lui a tout avouée.
Au post elles sont allées
Et ces salauds ils ont capés !
Héloïse
PostScriptum
Poème fait par pure inspiration, je n’ai pas vécu un tel drame et je rends hommage aux personnes qui l’ont hélas vécu.
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Poème en Phonétique
lɔʁskεllə sə baladε,
εllə ʁɑ̃tʁε dy lise.
vu lave sɥivi
a tʁwa sεtə nɥi.
dɑ̃ sεtə ʁyεllə,
ʒystə dəʁjεʁə ʃez- εllə,
vu lavez- aʁεte
e vu lave bεze.
a ʃakœ̃ vɔtʁə tuʁ,
vu lɥi ave fε lamuʁ.
εllə avε sεzə ɑ̃
e atɑ̃dε lə bɔ̃ mɔmɑ̃.
vu lɥi ave vɔle
sa viʁʒinite.
εllə yʁlε la mɔʁ,
vu lɥi ave fε œ̃ sɔʁ.
vu lave kuʃe
syʁ lə betɔ̃ ɡlase.
vu lave təny
εllə sε debatɥ.
sɔ̃ pɑ̃talɔ̃ vuz- avez- uvεʁ,
e sa kylɔtə deʃiʁe.
a tuʁ də ʁolə vu lave penetʁe,
εllə vu sypljε daʁεte.
ela sa vuz- εɡzitε,
ɑ̃kɔʁə plysz- e vu nave pa aʁεte.
εllə sufʁε lə maʁtiʁə
mε vu vuz- ɑ̃ fiʃje də la vwaʁ sufiʁ.
vu pʁənje votʁə pje
a tuʁ də ʁolə vu lave deʃiʁe.
apʁε voz- eʒakylasjɔ̃,
vu vu sɑ̃tje bjɛ̃, bɔ̃.
vu lavez- abɔ̃dɔne
syʁ lə betɔ̃ ɡlase.
εllə sə nwajε dɑ̃ sε laʁmə,
ʃεʁʃε kɔmɑ̃ lə diʁə a sε pʁoʃə.
kɔmɑ̃ alε til pʁɑ̃dʁə sεtə nuvεllə,
osi atʁɔsə swa tεllə.
εllə pʁi sɔ̃ kuʁaʒə a dø mɛ̃,
ʁəfula sɔ̃ ʃaɡʁɛ̃.
ʁɑ̃tʁa ʃez- εllə,
lε laʁməz- oz- iø,
œ̃ pø də sɑ̃ lɥi kulε lə lɔ̃ dε ʒɑ̃bə.
sa mεʁə sεt- ɛ̃kjete,
εllə lɥi a tut- avue.
o pɔst εllə sɔ̃t- ale
e sε saloz- ilz- ɔ̃ kape !
εllə ʁɑ̃tʁε dy lise.
vu lave sɥivi
a tʁwa sεtə nɥi.
dɑ̃ sεtə ʁyεllə,
ʒystə dəʁjεʁə ʃez- εllə,
vu lavez- aʁεte
e vu lave bεze.
a ʃakœ̃ vɔtʁə tuʁ,
vu lɥi ave fε lamuʁ.
εllə avε sεzə ɑ̃
e atɑ̃dε lə bɔ̃ mɔmɑ̃.
vu lɥi ave vɔle
sa viʁʒinite.
εllə yʁlε la mɔʁ,
vu lɥi ave fε œ̃ sɔʁ.
vu lave kuʃe
syʁ lə betɔ̃ ɡlase.
vu lave təny
εllə sε debatɥ.
sɔ̃ pɑ̃talɔ̃ vuz- avez- uvεʁ,
e sa kylɔtə deʃiʁe.
a tuʁ də ʁolə vu lave penetʁe,
εllə vu sypljε daʁεte.
ela sa vuz- εɡzitε,
ɑ̃kɔʁə plysz- e vu nave pa aʁεte.
εllə sufʁε lə maʁtiʁə
mε vu vuz- ɑ̃ fiʃje də la vwaʁ sufiʁ.
vu pʁənje votʁə pje
a tuʁ də ʁolə vu lave deʃiʁe.
apʁε voz- eʒakylasjɔ̃,
vu vu sɑ̃tje bjɛ̃, bɔ̃.
vu lavez- abɔ̃dɔne
syʁ lə betɔ̃ ɡlase.
εllə sə nwajε dɑ̃ sε laʁmə,
ʃεʁʃε kɔmɑ̃ lə diʁə a sε pʁoʃə.
kɔmɑ̃ alε til pʁɑ̃dʁə sεtə nuvεllə,
osi atʁɔsə swa tεllə.
εllə pʁi sɔ̃ kuʁaʒə a dø mɛ̃,
ʁəfula sɔ̃ ʃaɡʁɛ̃.
ʁɑ̃tʁa ʃez- εllə,
lε laʁməz- oz- iø,
œ̃ pø də sɑ̃ lɥi kulε lə lɔ̃ dε ʒɑ̃bə.
sa mεʁə sεt- ɛ̃kjete,
εllə lɥi a tut- avue.
o pɔst εllə sɔ̃t- ale
e sε saloz- ilz- ɔ̃ kape !