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Poeme : Corona Et Cetera



Corona Et Cetera

Ils en ont vraiment souffert
De ce virus planétaire
Le temps s’était arrêté
Les laissant nus, désarmés

Pensaient il à leurs grands pères
Embarqués pendant les guerres
Peur était leur quotidien,
Terrés dans les souterrains.

Il ne faut sous estimer
Les ravages du corona
Certains ne s’en remettent pas
Un milllion de morts déjà.

En Janvier en Février
Les nantis auraient troqué
Leur Rolex, leurs sacs Vuitton
Pour des rouleaux de papier.

Chacun au même diapason.
Depuis nous sommes mieux armés
Contre virus et bacilles
Uu remède des plus faciles

Si la guerre est déclarée
C’est sûr que l on va gagner
Nous avons une fière épée
Nommée Solidarité
Anya

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Poème en Phonétique

ilz- ɑ̃n- ɔ̃ vʁεmɑ̃ sufεʁ
də sə viʁys planetεʁə
lə tɑ̃ setε aʁεte
lε lεsɑ̃ nys, dezaʁme

pɑ̃sε il a lœʁ ɡʁɑ̃ pεʁə
ɑ̃baʁke pɑ̃dɑ̃ lε ɡeʁə
pœʁ etε lœʁ kɔtidjɛ̃,
teʁe dɑ̃ lε suteʁɛ̃.

il nə fo suz- εstime
lε ʁavaʒə dy kɔʁɔna
sεʁtɛ̃ nə sɑ̃ ʁəmεte pa
œ̃ mi εl εl εl jɔ̃ də mɔʁ deʒa.

ɑ̃ ʒɑ̃vje ɑ̃ fevʁje
lε nɑ̃tiz- oʁε tʁɔke
lœʁ ʁɔlεks, lœʁ sak vɥitɔ̃
puʁ dε ʁulo də papje.

ʃakœ̃ o mεmə djapazɔ̃.
dəpɥi nu sɔmə mjøz- aʁme
kɔ̃tʁə viʁysz- e basijə
yy ʁəmεdə dε plys fasilə

si la ɡeʁə ε deklaʁe
sε syʁ kə εl ɔ̃ va ɡaɲe
nuz- avɔ̃z- ynə fjεʁə epe
nɔme sɔlidaʁite