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Poeme : Homme



Homme

Homme ;
Tu te crois fort et te rebelles
Contre cette terre qui « t’appartient »
Mais tu es bien irrationnel,
Et ton cœur dur ne contient rien.

Homme ;
Ne rêvant plus que de fortunes,
Ton esprit sombre dans le néant.
Et puis tu souffres d’infortune,
Même en étant au meilleur rang.

Homme ;
À quoi sert-il de soupirer ?
Rien ne changera le passé !
Mieux vaut se battre et avancer !
Mais tu ne cesses de ressasser…

Homme !
Tu maltraites l’arbre et l’animal,
Et tu en fais toujours bien trop.
Et puis tu penses que c’est normal,
Que de ce jeu tu es un pro.

Mais Homme !
Un coup de vent peut t’ébranler !
Un simple éclair, te faire trembler ;
Un peu de froid peut te geler,
Et quelques flammes, te consumer.

Malgré tout cela, tu te crois invincible, sensé, bienfaisant et attentionné ?
Ayumi-Chan

PostScriptum

Voilà un petit poème que j’ai fait il y a un an.
La troisième strophe est moyenne, je trouve, mais en revanche, je crois avoir éliminé presque toutes le fautes.

Pour ce qui est du contenu, je veux être claire : je parle des grands défauts de l’homme, mais je ne mets pas tout le monde dans le même sac. Comme on dit, il y a des imbéciles dans tous les coins du monde (c’est pas faute d’être de forme plus ou moins sphérique, pourtant… ) .

Donc voilà, merci d’avoir lu, et en espérant que vous l’ayez apprécié !


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Poème en Phonétique

ɔmə,
ty tə kʁwa fɔʁ e tə ʁəbεllə
kɔ̃tʁə sεtə teʁə ki « tapaʁtjɛ̃t »
mε ty ε bjɛ̃ iʁasjɔnεl,
e tɔ̃ kœʁ dyʁ nə kɔ̃tjɛ̃ ʁjɛ̃.

ɔmə,
nə ʁεvɑ̃ plys kə də fɔʁtynə,
tɔ̃n- εspʁi sɔ̃bʁə dɑ̃ lə neɑ̃.
e pɥi ty sufʁə- dɛ̃fɔʁtynə,
mεmə ɑ̃n- etɑ̃ o mεjœʁ ʁɑ̃.

ɔmə,
a kwa sεʁ il də supiʁe ?
ʁjɛ̃ nə ʃɑ̃ʒəʁa lə pase !
mjø vo sə batʁə e avɑ̃se !
mε ty nə sesə də ʁesase…

ɔmə !
ty maltʁεtə laʁbʁə e lanimal,
e ty ɑ̃ fε tuʒuʁ bjɛ̃ tʁo.
e pɥi ty pɑ̃sə kə sε nɔʁmal,
kə də sə ʒø ty ε œ̃ pʁo.

mεz- ɔmə !
œ̃ ku də vɑ̃ pø tebʁɑ̃le !
œ̃ sɛ̃plə eklεʁ, tə fεʁə tʁɑ̃ble,
œ̃ pø də fʁwa pø tə ʒəle,
e kεlk flamə, tə kɔ̃syme.

malɡʁe tu səla, ty tə kʁwaz- ɛ̃vɛ̃siblə, sɑ̃se, bjɛ̃fəzɑ̃ e atɑ̃sjɔne ?