Poeme : « Un Jour Mon Prince Viendra… »
« Un Jour Mon Prince Viendra… »
Sally, une jeune femme rêvant,
D’un beau prince charmant,
Qui arriverait fièrement,
Chevauchant son étalon blanc.
Une princesse, le cœur battant,
Parcouru le monde, cherchant,
Quelque part, son chevalier servant,
Qu’elle aimait tant.
En son royaume, elle était,
La plus seule, la plus âgée,
Et sans doute la plus désespérer,
Dans cet univers si imparfait.
Mais un jour, bouche bée,
Elle vit un homme approché,
Il n’était pas vraiment charmant,
Ni arrivant sur son cheval blanc.
Un homme touché par le fil du temps,
Affalé sur son fauteuil roulant,
Vieillard n’ayant plus aucune dent,
Lèvres tendues, dernier espoir d’un enfant.
Sally, pleurant,
Le fuyant,
Les yeux dans un mouchoir,
Eclairé par la lune du soir.
Cette histoire est un conte,
Elle finit toujours bien en fin de compte.
Les rayons lunaires,
Le transformèrent.
Apparut, un prince, jeune et charmant,
Une monture argentée chevauchant,
Donna un baiser à sa princesse,
Et partirent dans un dernier moment de tendresse.
D’un beau prince charmant,
Qui arriverait fièrement,
Chevauchant son étalon blanc.
Une princesse, le cœur battant,
Parcouru le monde, cherchant,
Quelque part, son chevalier servant,
Qu’elle aimait tant.
En son royaume, elle était,
La plus seule, la plus âgée,
Et sans doute la plus désespérer,
Dans cet univers si imparfait.
Mais un jour, bouche bée,
Elle vit un homme approché,
Il n’était pas vraiment charmant,
Ni arrivant sur son cheval blanc.
Un homme touché par le fil du temps,
Affalé sur son fauteuil roulant,
Vieillard n’ayant plus aucune dent,
Lèvres tendues, dernier espoir d’un enfant.
Sally, pleurant,
Le fuyant,
Les yeux dans un mouchoir,
Eclairé par la lune du soir.
Cette histoire est un conte,
Elle finit toujours bien en fin de compte.
Les rayons lunaires,
Le transformèrent.
Apparut, un prince, jeune et charmant,
Une monture argentée chevauchant,
Donna un baiser à sa princesse,
Et partirent dans un dernier moment de tendresse.
6O¤P~Sérenity~L¤O90
PostScriptum
Les apparences sont parfois trompeuses, non ?
Dommage que je ne me rappelle plus de toutes les bêtises au sujet de ton prince,
Mais tes conneries mêlés au miennes font un peu près ça.
Un petit quelque chose, pour te remercier, tu m’as donnée goût à la perfection.
C’est contagieux, tu as réussi à améliorer ma façon d’écrire et je ne te remercierais jamais assez pour cela.
Je te fais des énormes bisoux ma tite moman. Sache que je serais toujours là, surtout si il faut dire des conneries ^^
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Poème en Phonétique
sali, ynə ʒənə famə ʁεvɑ̃,
dœ̃ bo pʁɛ̃sə ʃaʁmɑ̃,
ki aʁivəʁε fjεʁəmɑ̃,
ʃəvoʃɑ̃ sɔ̃n- etalɔ̃ blɑ̃.
ynə pʁɛ̃sεsə, lə kœʁ batɑ̃,
paʁkuʁy lə mɔ̃də, ʃεʁʃɑ̃,
kεlkə paʁ, sɔ̃ ʃəvalje sεʁvɑ̃,
kεllə εmε tɑ̃.
ɑ̃ sɔ̃ ʁwajomə, εllə etε,
la plys sələ, la plysz- aʒe,
e sɑ̃ dutə la plys dezεspeʁe,
dɑ̃ sεt ynive si ɛ̃paʁfε.
mεz- œ̃ ʒuʁ, buʃə be,
εllə vit œ̃n- ɔmə apʁoʃe,
il netε pa vʁεmɑ̃ ʃaʁmɑ̃,
ni aʁivɑ̃ syʁ sɔ̃ ʃəval blɑ̃.
œ̃n- ɔmə tuʃe paʁ lə fil dy tɑ̃,
afale syʁ sɔ̃ fotəj ʁulɑ̃,
vjεjaʁ nεjɑ̃ plysz- okynə dɑ̃,
lεvʁə- tɑ̃dɥ, dεʁnje εspwaʁ dœ̃n- ɑ̃fɑ̃.
sali, pləʁɑ̃,
lə fyiɑ̃,
lεz- iø dɑ̃z- œ̃ muʃwaʁ,
εklεʁe paʁ la lynə dy swaʁ.
sεtə istwaʁə εt- œ̃ kɔ̃tə,
εllə fini tuʒuʁ bjɛ̃ ɑ̃ fɛ̃ də kɔ̃tə.
lε ʁεjɔ̃ lynεʁə,
lə tʁɑ̃sfɔʁmεʁe.
apaʁy, œ̃ pʁɛ̃sə, ʒənə e ʃaʁmɑ̃,
ynə mɔ̃tyʁə aʁʒɑ̃te ʃəvoʃɑ̃,
dɔna œ̃ bεze a sa pʁɛ̃sεsə,
e paʁtiʁe dɑ̃z- œ̃ dεʁnje mɔmɑ̃ də tɑ̃dʁεsə.
dœ̃ bo pʁɛ̃sə ʃaʁmɑ̃,
ki aʁivəʁε fjεʁəmɑ̃,
ʃəvoʃɑ̃ sɔ̃n- etalɔ̃ blɑ̃.
ynə pʁɛ̃sεsə, lə kœʁ batɑ̃,
paʁkuʁy lə mɔ̃də, ʃεʁʃɑ̃,
kεlkə paʁ, sɔ̃ ʃəvalje sεʁvɑ̃,
kεllə εmε tɑ̃.
ɑ̃ sɔ̃ ʁwajomə, εllə etε,
la plys sələ, la plysz- aʒe,
e sɑ̃ dutə la plys dezεspeʁe,
dɑ̃ sεt ynive si ɛ̃paʁfε.
mεz- œ̃ ʒuʁ, buʃə be,
εllə vit œ̃n- ɔmə apʁoʃe,
il netε pa vʁεmɑ̃ ʃaʁmɑ̃,
ni aʁivɑ̃ syʁ sɔ̃ ʃəval blɑ̃.
œ̃n- ɔmə tuʃe paʁ lə fil dy tɑ̃,
afale syʁ sɔ̃ fotəj ʁulɑ̃,
vjεjaʁ nεjɑ̃ plysz- okynə dɑ̃,
lεvʁə- tɑ̃dɥ, dεʁnje εspwaʁ dœ̃n- ɑ̃fɑ̃.
sali, pləʁɑ̃,
lə fyiɑ̃,
lεz- iø dɑ̃z- œ̃ muʃwaʁ,
εklεʁe paʁ la lynə dy swaʁ.
sεtə istwaʁə εt- œ̃ kɔ̃tə,
εllə fini tuʒuʁ bjɛ̃ ɑ̃ fɛ̃ də kɔ̃tə.
lε ʁεjɔ̃ lynεʁə,
lə tʁɑ̃sfɔʁmεʁe.
apaʁy, œ̃ pʁɛ̃sə, ʒənə e ʃaʁmɑ̃,
ynə mɔ̃tyʁə aʁʒɑ̃te ʃəvoʃɑ̃,
dɔna œ̃ bεze a sa pʁɛ̃sεsə,
e paʁtiʁe dɑ̃z- œ̃ dεʁnje mɔmɑ̃ də tɑ̃dʁεsə.