Slam : Les Maths De Ma Vie
Les Maths De Ma Vie
J’ crois que ma vie semble être comme une leçon de math,
Tant des peines tant des joies, je crois que je veux prendre des pattes,
Mais lorsque je n’y arrive pas à les résoudre je prends ma nattes,
J’suis sur que la vie est dur comme une leçon de math.
Le cour commence toujours avec le prof d’arithmétique,
L’allure dont le cours débute, bah moi je trouve ça trop pathétique,
C’est mieux puisqu ’ à la fin il y a comme un aimant qui possède un fort champ magnétique,
Pour les autres, c’est franchement de la critique.
Durant les premières heures de ma vie, j’apprends l’addition, je me suis dit ’’bah’’ c’est trop nase c’est aussi du pur friction, car c’est le degré qui possède peu position dans ma mission.
Durant les deux premières heures j’apprends la division, c’est mieux pour moi, puisque tant des peines tant des souffrances, j’ suis habitué ! Et moi je n’ai plus de visions,
Disons, malgré ces peines et souffrances je ne veux pas changer d’horizons.
Durant les trois premières heures, c’est les plus pénible, car la soustraction est la plus terrible dans ma vie. Des choses atroces, des rêves inachevés, les plus horribles. Mais les résultats sont les plus tangibles.
Durant les 4 premières heures, " bah’’ moi je dirais que c’est la plus mauvaise car je n’ai que des problèmes, des multitudes des barrières, j’ suis griller et je suis sûr que je risque de plier. mais je ne cherche pas mon billet pour aller bailler, et Je supporte même si je suis ruiné. Vous savez quoi ?
C’est la multiplication.
Après leçon d’arithmétique j’attaque le prof d’analyse,
Je croyais que ma vie ; j’ aurais la chance de l’analyser, Mais franchement je ma vie, je suis entrain de la banaliser. par des choses inutiles, auxquels je penses quelques fois utiles, par contre ces choses me mutile.
J’ai su que l’amour est l’hyperbole de sentiment dont les deux sommets réels est la confiance et la fidélité.
Mais moi j’ai toujours vécu dans l’amour où j’ai toujours crédité.
Mais Cette fois-ci j’essayerais toujours d’éditer.
J’ai su grâce ce cours que l’amour est l’asymptotes de plaisirs, mais nécessairement pour ceux qui les désirs.
J’ai su que l’amour dérive des problèmes, quelques soit les emblèmes que tu amènes, tu resteras toujours le même.
J’ai su aussi que l’amour est l’intégrale des soucis, meme si j’ai le cerveau farcis des bombes, mais je fais toujours l’effort pour m’a adoucir.
Plus tard avec mon prof j’ai eu le cours de géométrie.
Franchement, je me suis senti bien. Je crois que je me suis guérit.
Le cours où j’ai beaucoup souris plus qu’un fous rire.
J’apprends que le cercle c’est le boucle de ma vie.
Tu me diras que tu n’es pas ravis, mais je m’en fiche franchement de ton avis.
Et que son diamètre est la ceinture de la détresse,
son rayon qui est sa moitié, c’est la tendresse.
Il est vrai que je le suis moins et je vis dans la tristesse, et pas moyen que je progresse.
Sa surface est la sérénité, sa circonférence est la lucidité, je sais que tout est vanité.
Un peu plus tard, j’apprends la trigonométrie
Et je confirme une pensée que ce qui me tue pas me rends plus puissant.
Je l’ai compris en unissant mes idées sur elle.
Elle me blesse sans le savoir et je ne vois pas mon sang.
J’ai toujours pas mal eu du mal dans ce cour car je l’effectue toujours avec montions.
Elle est le théorème qui amène la résolution, qui m’apporte aussi la punition, le mieux elle m’apporte la passion.
Plus loin dans le cours j’apprends la statistique,
J’ai essayé de dire que c’était pathétique, mais j’ai compris comme dans le cours d’arithmétique, ça m’apporte le fort champ magnétique.
Des révélations dévoilent qu’elle occupe le 98 pour-cent de mon cœur, mais elle me fait des choses dont j’en meurs.
J’ai eu à étudier plusieurs chapitres, j’ai eu pleins des filtres, j’ai su que c’est une question de choix ou
Question de poids, je suis au bout de mes surprise
Mais je ne lâche pas prise et
Je crois réellement que ma vie semble comme une leçon de math ;
Tant des peines tant des joies ; je crois que je veux prendre des pattes ;
Mais si je n’arrive pas à les résoudre là ma vie, je la rate ;
Je suis vraiment certain que ma vie est une leçon de math.
Tant des peines tant des joies, je crois que je veux prendre des pattes,
Mais lorsque je n’y arrive pas à les résoudre je prends ma nattes,
J’suis sur que la vie est dur comme une leçon de math.
Le cour commence toujours avec le prof d’arithmétique,
L’allure dont le cours débute, bah moi je trouve ça trop pathétique,
C’est mieux puisqu ’ à la fin il y a comme un aimant qui possède un fort champ magnétique,
Pour les autres, c’est franchement de la critique.
Durant les premières heures de ma vie, j’apprends l’addition, je me suis dit ’’bah’’ c’est trop nase c’est aussi du pur friction, car c’est le degré qui possède peu position dans ma mission.
Durant les deux premières heures j’apprends la division, c’est mieux pour moi, puisque tant des peines tant des souffrances, j’ suis habitué ! Et moi je n’ai plus de visions,
Disons, malgré ces peines et souffrances je ne veux pas changer d’horizons.
Durant les trois premières heures, c’est les plus pénible, car la soustraction est la plus terrible dans ma vie. Des choses atroces, des rêves inachevés, les plus horribles. Mais les résultats sont les plus tangibles.
Durant les 4 premières heures, " bah’’ moi je dirais que c’est la plus mauvaise car je n’ai que des problèmes, des multitudes des barrières, j’ suis griller et je suis sûr que je risque de plier. mais je ne cherche pas mon billet pour aller bailler, et Je supporte même si je suis ruiné. Vous savez quoi ?
C’est la multiplication.
Après leçon d’arithmétique j’attaque le prof d’analyse,
Je croyais que ma vie ; j’ aurais la chance de l’analyser, Mais franchement je ma vie, je suis entrain de la banaliser. par des choses inutiles, auxquels je penses quelques fois utiles, par contre ces choses me mutile.
J’ai su que l’amour est l’hyperbole de sentiment dont les deux sommets réels est la confiance et la fidélité.
Mais moi j’ai toujours vécu dans l’amour où j’ai toujours crédité.
Mais Cette fois-ci j’essayerais toujours d’éditer.
J’ai su grâce ce cours que l’amour est l’asymptotes de plaisirs, mais nécessairement pour ceux qui les désirs.
J’ai su que l’amour dérive des problèmes, quelques soit les emblèmes que tu amènes, tu resteras toujours le même.
J’ai su aussi que l’amour est l’intégrale des soucis, meme si j’ai le cerveau farcis des bombes, mais je fais toujours l’effort pour m’a adoucir.
Plus tard avec mon prof j’ai eu le cours de géométrie.
Franchement, je me suis senti bien. Je crois que je me suis guérit.
Le cours où j’ai beaucoup souris plus qu’un fous rire.
J’apprends que le cercle c’est le boucle de ma vie.
Tu me diras que tu n’es pas ravis, mais je m’en fiche franchement de ton avis.
Et que son diamètre est la ceinture de la détresse,
son rayon qui est sa moitié, c’est la tendresse.
Il est vrai que je le suis moins et je vis dans la tristesse, et pas moyen que je progresse.
Sa surface est la sérénité, sa circonférence est la lucidité, je sais que tout est vanité.
Un peu plus tard, j’apprends la trigonométrie
Et je confirme une pensée que ce qui me tue pas me rends plus puissant.
Je l’ai compris en unissant mes idées sur elle.
Elle me blesse sans le savoir et je ne vois pas mon sang.
J’ai toujours pas mal eu du mal dans ce cour car je l’effectue toujours avec montions.
Elle est le théorème qui amène la résolution, qui m’apporte aussi la punition, le mieux elle m’apporte la passion.
Plus loin dans le cours j’apprends la statistique,
J’ai essayé de dire que c’était pathétique, mais j’ai compris comme dans le cours d’arithmétique, ça m’apporte le fort champ magnétique.
Des révélations dévoilent qu’elle occupe le 98 pour-cent de mon cœur, mais elle me fait des choses dont j’en meurs.
J’ai eu à étudier plusieurs chapitres, j’ai eu pleins des filtres, j’ai su que c’est une question de choix ou
Question de poids, je suis au bout de mes surprise
Mais je ne lâche pas prise et
Je crois réellement que ma vie semble comme une leçon de math ;
Tant des peines tant des joies ; je crois que je veux prendre des pattes ;
Mais si je n’arrive pas à les résoudre là ma vie, je la rate ;
Je suis vraiment certain que ma vie est une leçon de math.
Coeur De Boeuf
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Poème en Phonétique
ʒkʁwa kə ma vi sɑ̃blə εtʁə kɔmə ynə ləsɔ̃ də mat,
tɑ̃ dε pεnə tɑ̃ dε ʒwa, ʒə kʁwa kə ʒə vø pʁɑ̃dʁə dε patə,
mε lɔʁskə ʒə ni aʁivə pa a lε ʁezudʁə ʒə pʁɑ̃ ma natə,
ʒsɥi syʁ kə la vi ε dyʁ kɔmə ynə ləsɔ̃ də mat.
lə kuʁ kɔmɑ̃sə tuʒuʁz- avεk lə pʁɔf daʁitmetikə,
lalyʁə dɔ̃ lə kuʁ debytə, ba mwa ʒə tʁuvə sa tʁo patetikə,
sε mjø pɥiska la fɛ̃ il i a kɔmə œ̃n- εmɑ̃ ki pɔsεdə œ̃ fɔʁ ʃɑ̃ maɲetikə,
puʁ lεz- otʁə, sε fʁɑ̃ʃəmɑ̃ də la kʁitikə.
dyʁɑ̃ lε pʁəmjεʁəz- œʁ də ma vi, ʒapʁɑ̃ ladisjɔ̃, ʒə mə sɥi ditbasε tʁo nazə sεt- osi dy pyʁ fʁiksjɔ̃, kaʁ sε lə dəɡʁe ki pɔsεdə pø pozisjɔ̃ dɑ̃ ma misjɔ̃.
dyʁɑ̃ lε dø pʁəmjεʁəz- œʁ ʒapʁɑ̃ la divizjɔ̃, sε mjø puʁ mwa, pɥiskə tɑ̃ dε pεnə tɑ̃ dε sufʁɑ̃sə, ʒsɥi-abitye ! e mwa ʒə nε plys də vizjɔ̃,
dizɔ̃, malɡʁe sε pεnəz- e sufʁɑ̃sə ʒə nə vø pa ʃɑ̃ʒe dɔʁizɔ̃.
dyʁɑ̃ lε tʁwa pʁəmjεʁəz- œʁ, sε lε plys peniblə, kaʁ la sustʁaksjɔ̃ ε la plys teʁiblə dɑ̃ ma vi. dε ʃozəz- atʁɔsə, dε ʁεvəz- inaʃəve, lε plysz- ɔʁiblə. mε lε ʁezylta sɔ̃ lε plys tɑ̃ʒiblə.
dyʁɑ̃ lε katʁə pʁəmjεʁəz- œʁ, ɡjmε bamwa ʒə diʁε kə sε la plys movεzə kaʁ ʒə nε kə dε pʁɔblεmə, dε myltitydə dε baʁjεʁə, ʒsɥi ɡʁije e ʒə sɥi syʁ kə ʒə ʁiskə də plje. mε ʒə nə ʃεʁʃə pa mɔ̃ bijε puʁ ale baje, e ʒə sypɔʁtə mεmə si ʒə sɥi ʁɥine. vu save kwa ?
sε la myltiplikasjɔ̃.
apʁε ləsɔ̃ daʁitmetikə ʒatakə lə pʁɔf danalizə,
ʒə kʁwajε kə ma vi, ʒoʁε la ʃɑ̃sə də lanalize, mε fʁɑ̃ʃəmɑ̃ ʒə ma vi, ʒə sɥiz- ɑ̃tʁɛ̃ də la banalize. paʁ dε ʃozəz- inytilə, okεl ʒə pɑ̃sə kεlk fwaz- ytilə, paʁ kɔ̃tʁə sε ʃozə mə mytilə.
ʒε sy kə lamuʁ ε lipεʁbɔlə də sɑ̃timɑ̃ dɔ̃ lε dø sɔmε ʁeεlz- ε la kɔ̃fjɑ̃sə e la fidelite.
mε mwa ʒε tuʒuʁ veky dɑ̃ lamuʁ u ʒε tuʒuʁ kʁedite.
mε sεtə fwa si ʒesεjəʁε tuʒuʁ dedite.
ʒε sy ɡʁasə sə kuʁ kə lamuʁ ε lazɛ̃ptɔtə də plεziʁ, mε nesesεʁəmɑ̃ puʁ sø ki lε deziʁ.
ʒε sy kə lamuʁ deʁivə dε pʁɔblεmə, kεlk swa lεz- ɑ̃blεmə kə ty amεnə, ty ʁεstəʁa tuʒuʁ lə mεmə.
ʒε sy osi kə lamuʁ ε lɛ̃teɡʁalə dε susi, məmə si ʒε lə sεʁvo faʁsi dε bɔ̃bə, mε ʒə fε tuʒuʁ lefɔʁ puʁ ma adusiʁ.
plys taʁ avεk mɔ̃ pʁɔf ʒε y lə kuʁ də ʒeɔmetʁi.
fʁɑ̃ʃəmɑ̃, ʒə mə sɥi sɑ̃ti bjɛ̃. ʒə kʁwa kə ʒə mə sɥi ɡeʁi.
lə kuʁz- u ʒε boku suʁi plys kœ̃ fus ʁiʁə.
ʒapʁɑ̃ kə lə sεʁklə sε lə buklə də ma vi.
ty mə diʁa kə ty nε pa ʁavi, mε ʒə mɑ̃ fiʃə fʁɑ̃ʃəmɑ̃ də tɔ̃n- avi.
e kə sɔ̃ djamεtʁə ε la sɛ̃tyʁə də la detʁεsə,
sɔ̃ ʁεjɔ̃ ki ε sa mwatje, sε la tɑ̃dʁεsə.
il ε vʁε kə ʒə lə sɥi mwɛ̃z- e ʒə vis dɑ̃ la tʁistεsə, e pa mwajɛ̃ kə ʒə pʁɔɡʁεsə.
sa syʁfasə ε la seʁenite, sa siʁkɔ̃feʁɑ̃sə ε la lysidite, ʒə sε kə tut- ε vanite.
œ̃ pø plys taʁ, ʒapʁɑ̃ la tʁiɡonometʁi
e ʒə kɔ̃fiʁmə ynə pɑ̃se kə sə ki mə tɥ pa mə ʁɑ̃ plys pɥisɑ̃.
ʒə lε kɔ̃pʁiz- ɑ̃n- ynisɑ̃ mεz- ide syʁ εllə.
εllə mə blεsə sɑ̃ lə savwaʁ e ʒə nə vwa pa mɔ̃ sɑ̃.
ʒε tuʒuʁ pa mal y dy mal dɑ̃ sə kuʁ kaʁ ʒə lefεktɥ tuʒuʁz- avεk mɔ̃sjɔ̃.
εllə ε lə teɔʁεmə ki amεnə la ʁezɔlysjɔ̃, ki mapɔʁtə osi la pynisjɔ̃, lə mjøz- εllə mapɔʁtə la pasjɔ̃.
plys lwɛ̃ dɑ̃ lə kuʁ ʒapʁɑ̃ la statistikə,
ʒε esεje də diʁə kə setε patetikə, mε ʒε kɔ̃pʁi kɔmə dɑ̃ lə kuʁ daʁitmetikə, sa mapɔʁtə lə fɔʁ ʃɑ̃ maɲetikə.
dε ʁevelasjɔ̃ devwale kεllə ɔkypə lə katʁə vɛ̃- diz- ɥi puʁ sɑ̃ də mɔ̃ kœʁ, mεz- εllə mə fε dε ʃozə dɔ̃ ʒɑ̃ mœʁ.
ʒε y a etydje plyzjœʁ ʃapitʁə, ʒε y plɛ̃ dε filtʁə, ʒε sy kə sεt- ynə kεstjɔ̃ də ʃwa u
kεstjɔ̃ də pwa, ʒə sɥiz- o bu də mε syʁpʁizə
mε ʒə nə laʃə pa pʁizə e
ʒə kʁwa ʁeεllmɑ̃ kə ma vi sɑ̃blə kɔmə ynə ləsɔ̃ də mat,
tɑ̃ dε pεnə tɑ̃ dε ʒwa, ʒə kʁwa kə ʒə vø pʁɑ̃dʁə dε patə,
mε si ʒə naʁivə pa a lε ʁezudʁə la ma vi, ʒə la ʁatə,
ʒə sɥi vʁεmɑ̃ sεʁtɛ̃ kə ma vi εt- ynə ləsɔ̃ də mat.
tɑ̃ dε pεnə tɑ̃ dε ʒwa, ʒə kʁwa kə ʒə vø pʁɑ̃dʁə dε patə,
mε lɔʁskə ʒə ni aʁivə pa a lε ʁezudʁə ʒə pʁɑ̃ ma natə,
ʒsɥi syʁ kə la vi ε dyʁ kɔmə ynə ləsɔ̃ də mat.
lə kuʁ kɔmɑ̃sə tuʒuʁz- avεk lə pʁɔf daʁitmetikə,
lalyʁə dɔ̃ lə kuʁ debytə, ba mwa ʒə tʁuvə sa tʁo patetikə,
sε mjø pɥiska la fɛ̃ il i a kɔmə œ̃n- εmɑ̃ ki pɔsεdə œ̃ fɔʁ ʃɑ̃ maɲetikə,
puʁ lεz- otʁə, sε fʁɑ̃ʃəmɑ̃ də la kʁitikə.
dyʁɑ̃ lε pʁəmjεʁəz- œʁ də ma vi, ʒapʁɑ̃ ladisjɔ̃, ʒə mə sɥi ditbasε tʁo nazə sεt- osi dy pyʁ fʁiksjɔ̃, kaʁ sε lə dəɡʁe ki pɔsεdə pø pozisjɔ̃ dɑ̃ ma misjɔ̃.
dyʁɑ̃ lε dø pʁəmjεʁəz- œʁ ʒapʁɑ̃ la divizjɔ̃, sε mjø puʁ mwa, pɥiskə tɑ̃ dε pεnə tɑ̃ dε sufʁɑ̃sə, ʒsɥi-abitye ! e mwa ʒə nε plys də vizjɔ̃,
dizɔ̃, malɡʁe sε pεnəz- e sufʁɑ̃sə ʒə nə vø pa ʃɑ̃ʒe dɔʁizɔ̃.
dyʁɑ̃ lε tʁwa pʁəmjεʁəz- œʁ, sε lε plys peniblə, kaʁ la sustʁaksjɔ̃ ε la plys teʁiblə dɑ̃ ma vi. dε ʃozəz- atʁɔsə, dε ʁεvəz- inaʃəve, lε plysz- ɔʁiblə. mε lε ʁezylta sɔ̃ lε plys tɑ̃ʒiblə.
dyʁɑ̃ lε katʁə pʁəmjεʁəz- œʁ, ɡjmε bamwa ʒə diʁε kə sε la plys movεzə kaʁ ʒə nε kə dε pʁɔblεmə, dε myltitydə dε baʁjεʁə, ʒsɥi ɡʁije e ʒə sɥi syʁ kə ʒə ʁiskə də plje. mε ʒə nə ʃεʁʃə pa mɔ̃ bijε puʁ ale baje, e ʒə sypɔʁtə mεmə si ʒə sɥi ʁɥine. vu save kwa ?
sε la myltiplikasjɔ̃.
apʁε ləsɔ̃ daʁitmetikə ʒatakə lə pʁɔf danalizə,
ʒə kʁwajε kə ma vi, ʒoʁε la ʃɑ̃sə də lanalize, mε fʁɑ̃ʃəmɑ̃ ʒə ma vi, ʒə sɥiz- ɑ̃tʁɛ̃ də la banalize. paʁ dε ʃozəz- inytilə, okεl ʒə pɑ̃sə kεlk fwaz- ytilə, paʁ kɔ̃tʁə sε ʃozə mə mytilə.
ʒε sy kə lamuʁ ε lipεʁbɔlə də sɑ̃timɑ̃ dɔ̃ lε dø sɔmε ʁeεlz- ε la kɔ̃fjɑ̃sə e la fidelite.
mε mwa ʒε tuʒuʁ veky dɑ̃ lamuʁ u ʒε tuʒuʁ kʁedite.
mε sεtə fwa si ʒesεjəʁε tuʒuʁ dedite.
ʒε sy ɡʁasə sə kuʁ kə lamuʁ ε lazɛ̃ptɔtə də plεziʁ, mε nesesεʁəmɑ̃ puʁ sø ki lε deziʁ.
ʒε sy kə lamuʁ deʁivə dε pʁɔblεmə, kεlk swa lεz- ɑ̃blεmə kə ty amεnə, ty ʁεstəʁa tuʒuʁ lə mεmə.
ʒε sy osi kə lamuʁ ε lɛ̃teɡʁalə dε susi, məmə si ʒε lə sεʁvo faʁsi dε bɔ̃bə, mε ʒə fε tuʒuʁ lefɔʁ puʁ ma adusiʁ.
plys taʁ avεk mɔ̃ pʁɔf ʒε y lə kuʁ də ʒeɔmetʁi.
fʁɑ̃ʃəmɑ̃, ʒə mə sɥi sɑ̃ti bjɛ̃. ʒə kʁwa kə ʒə mə sɥi ɡeʁi.
lə kuʁz- u ʒε boku suʁi plys kœ̃ fus ʁiʁə.
ʒapʁɑ̃ kə lə sεʁklə sε lə buklə də ma vi.
ty mə diʁa kə ty nε pa ʁavi, mε ʒə mɑ̃ fiʃə fʁɑ̃ʃəmɑ̃ də tɔ̃n- avi.
e kə sɔ̃ djamεtʁə ε la sɛ̃tyʁə də la detʁεsə,
sɔ̃ ʁεjɔ̃ ki ε sa mwatje, sε la tɑ̃dʁεsə.
il ε vʁε kə ʒə lə sɥi mwɛ̃z- e ʒə vis dɑ̃ la tʁistεsə, e pa mwajɛ̃ kə ʒə pʁɔɡʁεsə.
sa syʁfasə ε la seʁenite, sa siʁkɔ̃feʁɑ̃sə ε la lysidite, ʒə sε kə tut- ε vanite.
œ̃ pø plys taʁ, ʒapʁɑ̃ la tʁiɡonometʁi
e ʒə kɔ̃fiʁmə ynə pɑ̃se kə sə ki mə tɥ pa mə ʁɑ̃ plys pɥisɑ̃.
ʒə lε kɔ̃pʁiz- ɑ̃n- ynisɑ̃ mεz- ide syʁ εllə.
εllə mə blεsə sɑ̃ lə savwaʁ e ʒə nə vwa pa mɔ̃ sɑ̃.
ʒε tuʒuʁ pa mal y dy mal dɑ̃ sə kuʁ kaʁ ʒə lefεktɥ tuʒuʁz- avεk mɔ̃sjɔ̃.
εllə ε lə teɔʁεmə ki amεnə la ʁezɔlysjɔ̃, ki mapɔʁtə osi la pynisjɔ̃, lə mjøz- εllə mapɔʁtə la pasjɔ̃.
plys lwɛ̃ dɑ̃ lə kuʁ ʒapʁɑ̃ la statistikə,
ʒε esεje də diʁə kə setε patetikə, mε ʒε kɔ̃pʁi kɔmə dɑ̃ lə kuʁ daʁitmetikə, sa mapɔʁtə lə fɔʁ ʃɑ̃ maɲetikə.
dε ʁevelasjɔ̃ devwale kεllə ɔkypə lə katʁə vɛ̃- diz- ɥi puʁ sɑ̃ də mɔ̃ kœʁ, mεz- εllə mə fε dε ʃozə dɔ̃ ʒɑ̃ mœʁ.
ʒε y a etydje plyzjœʁ ʃapitʁə, ʒε y plɛ̃ dε filtʁə, ʒε sy kə sεt- ynə kεstjɔ̃ də ʃwa u
kεstjɔ̃ də pwa, ʒə sɥiz- o bu də mε syʁpʁizə
mε ʒə nə laʃə pa pʁizə e
ʒə kʁwa ʁeεllmɑ̃ kə ma vi sɑ̃blə kɔmə ynə ləsɔ̃ də mat,
tɑ̃ dε pεnə tɑ̃ dε ʒwa, ʒə kʁwa kə ʒə vø pʁɑ̃dʁə dε patə,
mε si ʒə naʁivə pa a lε ʁezudʁə la ma vi, ʒə la ʁatə,
ʒə sɥi vʁεmɑ̃ sεʁtɛ̃ kə ma vi εt- ynə ləsɔ̃ də mat.