Poeme : A La Télévision.

Ils créaient des séries,
Ou des films de fictions,
Mais est ce des faits de vie,
Ou de l’ imaginaire de sélections.

Ces choses qu’ils appellent,
Des rayonnants ou des ombres,
Qui sont elles ?
Apparaissent elles de la pénombre.

Ces monstres qu’ils informatisent,
Qui détruisent tout sur leurs passages,
Que leurs propriétaires paralysent,
En les envoyant dans des marécages.

Ces effets secondaires,
En faits perpendiculaires,
De notre vie réelle,
A hanter des sortes de chapelles.

il kʁeε dε seʁi,
u dε film də fiksjɔ̃,
mεz- ε sə dε fε də vi,
u də limaʒinεʁə də selεksjɔ̃.

sε ʃozə kilz- apεlle,
dε ʁεjɔnɑ̃z- u dεz- ɔ̃bʁə,
ki sɔ̃t- εllə ?
apaʁεse εllə də la penɔ̃bʁə.

sε mɔ̃stʁə- kilz- ɛ̃fɔʁmatize,
ki detʁɥize tu syʁ lœʁ pasaʒə,
kə lœʁ pʁɔpʁjetεʁə paʁalize,
ɑ̃ lεz- ɑ̃vwajɑ̃ dɑ̃ dε maʁekaʒə.

sεz- efε səɡɔ̃dεʁə,
ɑ̃ fε pεʁpɑ̃dikylεʁə,
də nɔtʁə vi ʁeεllə,
a-ɑ̃te dε sɔʁtə- də ʃapεllə.