Poeme : Un Cerf Volant
Un Cerf Volant
Quand tu souris, tu m’éblouis.
Et puis, y a la lune qui s’enfuit.
Un chant de printemps : y a du vent.
C’est Dieu dans le regard d’un enfant.
Et puis, y a la lune qui s’enfuit.
Un chant de printemps : y a du vent.
C’est Dieu dans le regard d’un enfant.
Delideal
Pour mettre un commentaire
Poème en Phonétique
kɑ̃ ty suʁi, ty meblui.
e pɥi, i a la lynə ki sɑ̃fɥi.
œ̃ ʃɑ̃ də pʁɛ̃tɑ̃ : i a dy vɑ̃.
sε djø dɑ̃ lə ʁəɡaʁ dœ̃n- ɑ̃fɑ̃.
e pɥi, i a la lynə ki sɑ̃fɥi.
œ̃ ʃɑ̃ də pʁɛ̃tɑ̃ : i a dy vɑ̃.
sε djø dɑ̃ lə ʁəɡaʁ dœ̃n- ɑ̃fɑ̃.