Poeme : L’éphémère
L’éphémère
Dés les premiers jours
D’un baiser, il regrette
Ces larmes d’un poète,
Qui résonnait d’amour
Sous les tendres reflets
D’une caresse, il attire
Ces histoires de soupirs
Qui restaient en jouets.
Et, aux regards infinis
D’un sourire, pour elle
Il retient une mélodie,
Ces souvenirs du Ciel.
D’un baiser, il regrette
Ces larmes d’un poète,
Qui résonnait d’amour
Sous les tendres reflets
D’une caresse, il attire
Ces histoires de soupirs
Qui restaient en jouets.
Et, aux regards infinis
D’un sourire, pour elle
Il retient une mélodie,
Ces souvenirs du Ciel.
Fab, Kristell
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Poème en Phonétique
des lε pʁəmje ʒuʁ
dœ̃ bεze, il ʁəɡʁεtə
sε laʁmə- dœ̃ pɔεtə,
ki ʁezɔnε damuʁ
su lε tɑ̃dʁə- ʁəflε
dynə kaʁεsə, il atiʁə
sεz- istwaʁə də supiʁ
ki ʁεstε ɑ̃ ʒuε.
e, o ʁəɡaʁdz- ɛ̃fini
dœ̃ suʁiʁə, puʁ εllə
il ʁətjɛ̃ ynə melɔdi,
sε suvəniʁ dy sjεl.
dœ̃ bεze, il ʁəɡʁεtə
sε laʁmə- dœ̃ pɔεtə,
ki ʁezɔnε damuʁ
su lε tɑ̃dʁə- ʁəflε
dynə kaʁεsə, il atiʁə
sεz- istwaʁə də supiʁ
ki ʁεstε ɑ̃ ʒuε.
e, o ʁəɡaʁdz- ɛ̃fini
dœ̃ suʁiʁə, puʁ εllə
il ʁətjɛ̃ ynə melɔdi,
sε suvəniʁ dy sjεl.