Poeme : Toi Qui Comble Mes Jours De Mélancolie
Toi Qui Comble Mes Jours De Mélancolie
Qu’aimerai-je saisir ce scalpel
Et mutiler ta chair en lamelles,
Puis avec ma passion éternelle
Les expédier vers les abysses du Ciel.
Là où les astres luisants,
Comme des âmes nous épiant,
Dans un silence assourdissant,
Se trouvent proches du Néant.
La Vénusté en toi, ainsi révélée,
A ces illustres et nobles conseillers
Saurait commodément faire assimiler
De cette morne Humanité le bien fondé.
Et mutiler ta chair en lamelles,
Puis avec ma passion éternelle
Les expédier vers les abysses du Ciel.
Là où les astres luisants,
Comme des âmes nous épiant,
Dans un silence assourdissant,
Se trouvent proches du Néant.
La Vénusté en toi, ainsi révélée,
A ces illustres et nobles conseillers
Saurait commodément faire assimiler
De cette morne Humanité le bien fondé.
Newmad
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Poème en Phonétique
kεməʁε ʒə sεziʁ sə skalpεl
e mytile ta ʃεʁ ɑ̃ lamεllə,
pɥiz- avεk ma pasjɔ̃ etεʁnεllə
lεz- εkspedje vεʁ lεz- abisə dy sjεl.
la u lεz- astʁə- lɥizɑ̃,
kɔmə dεz- amə nuz- epjɑ̃,
dɑ̃z- œ̃ silɑ̃sə asuʁdisɑ̃,
sə tʁuve pʁoʃə dy neɑ̃.
la venyste ɑ̃ twa, ɛ̃si ʁevele,
a sεz- ilystʁəz- e nɔblə kɔ̃sεje
soʁε kɔmɔdemɑ̃ fεʁə asimile
də sεtə mɔʁnə ymanite lə bjɛ̃ fɔ̃de.
e mytile ta ʃεʁ ɑ̃ lamεllə,
pɥiz- avεk ma pasjɔ̃ etεʁnεllə
lεz- εkspedje vεʁ lεz- abisə dy sjεl.
la u lεz- astʁə- lɥizɑ̃,
kɔmə dεz- amə nuz- epjɑ̃,
dɑ̃z- œ̃ silɑ̃sə asuʁdisɑ̃,
sə tʁuve pʁoʃə dy neɑ̃.
la venyste ɑ̃ twa, ɛ̃si ʁevele,
a sεz- ilystʁəz- e nɔblə kɔ̃sεje
soʁε kɔmɔdemɑ̃ fεʁə asimile
də sεtə mɔʁnə ymanite lə bjɛ̃ fɔ̃de.