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Poeme : Claire De Lune



Claire De Lune

J’étais allongé dans l’herbe dormante,
Autour de moi régnait un air mystérieux.
Les étoiles fuyaient le ciel silencieux
Qui restait figé comme la nature vivante.
Le vent frais venu du lac Léman,
Secouait gaiement les vertes feuilles immobiles ;
Puis, mon esprit, sur le grand voile du Temps,
Contemplait la scène qui s’élevait sur la ville.

By : Noumark Wilfried Kamenan
Noumarks.kams.7

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Poème en Phonétique

ʒetεz- alɔ̃ʒe dɑ̃ lεʁbə dɔʁmɑ̃tə,
otuʁ də mwa ʁeɲε œ̃n- εʁ misteʁjø.
lεz- etwalə fyiε lə sjεl silɑ̃sjø
ki ʁεstε fiʒe kɔmə la natyʁə vivɑ̃tə.
lə vɑ̃ fʁε vəny dy lak lemɑ̃,
səkuε ɡεmɑ̃ lε vεʁtə- fœjəz- imɔbilə,
pɥi, mɔ̃n- εspʁi, syʁ lə ɡʁɑ̃ vwalə dy tɑ̃,
kɔ̃tɑ̃plε la sεnə ki seləvε syʁ la vilə.

bi : numaʁk wilfʁjε kamənɑ̃