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Poeme : Violeurs… Violées…



Violeurs… Violées…

Cette soirée,
Vous vous étiez bien amusés, vous étiez tous bourés.
Et quand cette fille est apparue,
L’idée de faire une tournante vous est venue.
Elle qui passait par hazard dan cette rue,
Vous lui avaient sautée deçus.
Elle avait beau pleurer, crier, hurler,
Vous vous en foutiez, la seule chose qui comptait
C’était de s’amuser.
Ah ça, vous avez bien rigolé,
Elle qui sous vos coups pleurait,
Vous ne saviez mais pas comment elle s’appelait
Mais vous vous en fichiez, l’essentiel c’était de s’éclater.
Le lendemain vous vous demendiez
Qu’est ce qu’au poste vous foutiez.
Mais c’était pourtant pas compliqué,
Vous l’aviez violée.
Si cette femme dans la rue
N’était pas apparue,
Qu’auriez vous fait ?
Vous l’auriez tuée ?
Vous disiez que c’était sous l’effet de l’acool
Mais moi si j’aurais été juge je vous aurais fait castrer.
A cause de vous,
Cette pauvre fille a maintenant peur de tout,
En particulier des hommes.
Vous, tous ces enculés,
Que la seule chose qui vous plait c’est de violer,
Je vous pice à la raie.
Désolé pour cette vulgaritée,
Mais j’ai pas raison,
Tout ces violeur d’enfants qui mériteraient d’être en
Prison,
Tous ces gros obsédés qui n’ont envis que de baiser ?
C’est sûr, ils passent un moment agréable,
Mais pensent-ils à ceux qui subissent les conséquences ?
La seule chose a faire pour leur faire comprendre,
C’est d’à notre tour, les violer
Et pour finir en beautée, les castrer.
Peut-être qu’avec ça, ils comprendraient…
D.m.

PostScriptum

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Poème en Phonétique

sεtə swaʁe,
vu vuz- etje bjɛ̃ amyze, vuz- etje tus buʁe.
e kɑ̃ sεtə fijə εt- apaʁy,
lide də fεʁə ynə tuʁnɑ̃tə vuz- ε vənɥ.
εllə ki pasε paʁ-azaʁ dɑ̃ sεtə ʁy,
vu lɥi avε sote dəsys.
εllə avε bo pləʁe, kʁje, yʁle,
vu vuz- ɑ̃ futje, la sələ ʃozə ki kɔ̃tε
setε də samyze.
a sa, vuz- ave bjɛ̃ ʁiɡɔle,
εllə ki su vo ku pləʁε,
vu nə savje mε pa kɔmɑ̃ εllə sapəlε
mε vu vuz- ɑ̃ fiʃje, lesɑ̃sjεl setε də seklate.
lə lɑ̃dəmɛ̃ vu vu dəmɑ̃dje
kε sə ko pɔstə vu futje.
mε setε puʁtɑ̃ pa kɔ̃plike,
vu lavje vjɔle.
si sεtə famə dɑ̃ la ʁy
netε pa apaʁy,
koʁje vu fε ?
vu loʁje tye ?
vu dizje kə setε su lefε də lakul
mε mwa si ʒoʁεz- ete ʒyʒə ʒə vuz- oʁε fε kastʁe.
a kozə də vu,
sεtə povʁə fijə a mɛ̃tənɑ̃ pœʁ də tu,
ɑ̃ paʁtikylje dεz- ɔmə.
vu, tus sεz- ɑ̃kyle,
kə la sələ ʃozə ki vu plε sε də vjɔle,
ʒə vu pisə a la ʁε.
dezɔle puʁ sεtə vylɡaʁite,
mε ʒε pa ʁεzɔ̃,
tu sε vjɔlœʁ dɑ̃fɑ̃ ki meʁitəʁε dεtʁə ɑ̃
pʁizɔ̃,
tus sε ɡʁoz- ɔpsede ki nɔ̃ ɑ̃vi kə də bεze ?
sε syʁ, il pase œ̃ mɔmɑ̃ aɡʁeablə,
mε pɑ̃se tilz- a sø ki sybise lε kɔ̃sekɑ̃sə ?
la sələ ʃozə a fεʁə puʁ lœʁ fεʁə kɔ̃pʁɑ̃dʁə,
sε da nɔtʁə tuʁ, lε vjɔle
e puʁ finiʁ ɑ̃ bote, lε kastʁe.
pø tεtʁə kavεk sa, il kɔ̃pʁɑ̃dʁε…