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Poeme : Le Radeau Gaïa



A Propos

Bonjour vous tous et toutes, je vous présente une certaine vision de notre Monde présent et à venir…

Le Radeau Gaïa

Le radeau Gaia flottait sur l’onde depuis Mathusalem
Vivaient dessus de « pauv’hères » cherchant le grand schelem
Vivre et puis revivre comme promit le Roi de Jérusalem !

Pour une pitance, ces pauvres pecnos devaient y souquer ferme
Les plus gênés visaient la terre des vaches cherchant une fourme
Les plus rupins s’étalaient sur transats au chaud soleil, au calme

Comme du bois flotté le radeau s’était toujours maintenu à flots
Mais Gaia surchauffait, étouffait, les pôles fondaient, c’était ballot
Le vent grondait, l’eau montait, les volcans crachaient des brûlots

Des sages nous avaient avertis, que la terre n’était pas sans fond ?
Le radeau s’enfonçait, trop alourdi par les bêtises de gros bouffons
L’air lui-même empoisonnait les tontons jusqu’aux bas-fonds

Les sabots des chevaux bibliques soulevaient de viraux miasmes
Ils galopaient enthousiastes dans un monde d’ectoplasmes
Ils rappelaient-aux humains qu’ils vivaient de fantasmes

Aussitôt connus, ils mutent en Variants encore plus furibonds
Ces redoutables virus pourraient anéantir notre monde
Paniqué, l’être humain courrait les vaccins aux antipodes

L’intelligence humaine saura-t-elle courser les cavaliers du Livre de la Révélation et redonner une chance aux naufragés du radeau Gaïa.

18 avril 2021
Gramo

PostScriptum

Le temps est un grand maître !
Prenons bien garde le variant Indou a pris pieds en Belgique venant d'Orly avec un groupe d'étudiants indous 21 avril). Plus grave le variant Brésilien est une véritable bombe puisque les dirigeants (Bolsonario) n'ont quasi rien fait pour protéger les habitants. Le virus s'est développé sans être combattu .


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Poème en Phonétique

lə ʁado ɡεa flɔtε syʁ lɔ̃də dəpɥi matyzalεm
vivε dəsy də « povεʁəs » ʃεʁʃɑ̃ lə ɡʁɑ̃ ʃəlεm
vivʁə e pɥi ʁəvivʁə kɔmə pʁɔmi lə ʁwa də ʒeʁyzalεm !

puʁ ynə pitɑ̃sə, sε povʁə- pεkno dəvε i suke fεʁmə
lε plys ʒεne vizε la teʁə dε vaʃə ʃεʁʃɑ̃ ynə fuʁmə
lε plys ʁypɛ̃ setalε syʁ tʁɑ̃zaz- o ʃo sɔlεj, o kalmə

kɔmə dy bwa flɔte lə ʁado setε tuʒuʁ mɛ̃təny a flo
mε ɡεa syʁʃofε, etufε, lε polə fɔ̃dε, setε balo
lə vɑ̃ ɡʁɔ̃dε, lo mɔ̃tε, lε vɔlkɑ̃ kʁaʃε dε bʁylo

dε saʒə nuz- avε avεʁti, kə la teʁə netε pa sɑ̃ fɔ̃ ?
lə ʁado sɑ̃fɔ̃sε, tʁo aluʁdi paʁ lε bεtizə də ɡʁo bufɔ̃
lεʁ lɥi mεmə ɑ̃pwazɔnε lε tɔ̃tɔ̃ ʒysko ba fɔ̃

lε sabo dε ʃəvo biblik suləvε də viʁo mjasmə
il ɡalɔpε ɑ̃tuzjastə dɑ̃z- œ̃ mɔ̃də dεktɔplasmə
il ʁapəlε to ymɛ̃ kil vivε də fɑ̃tasmə

osito kɔnys, il myte ɑ̃ vaʁjɑ̃z- ɑ̃kɔʁə plys fyʁibɔ̃
sε ʁədutablə viʁys puʁʁε aneɑ̃tiʁ nɔtʁə mɔ̃də
panike, lεtʁə ymɛ̃ kuʁʁε lε vaksɛ̃z- oz- ɑ̃tipɔdə

lɛ̃tεlliʒɑ̃sə ymεnə soʁa tεllə kuʁse lε kavalje dy livʁə də la ʁevelasjɔ̃ e ʁədɔne ynə ʃɑ̃sə o nofʁaʒe dy ʁado ɡaja.

diz- ɥit avʁil dø milə vɛ̃t- e œ̃