Poeme : Ma Sorcière Bien-Aimée
A Propos
Ma Sorcière Bien-Aimée (Bewitched) est une série télévisée américaine culte des années 1960. Elle raconte l’histoire de Samantha Stephens, une sorcière au grand cœur, et de son mari Darrin, qui tentent de mener une vie ordinaire malgré les pouvoirs magiques de Samantha. Avec leur fille Tabatha, espiègle et pleine de malice, ils vivent des aventures pleines d’humour, de tendresse et de situations cocasses, tout en mêlant quotidien et magie.
Cette série, à la fois drôle et touchante, a marqué plusieurs générations et reste un symbole de fantaisie et de charme à l’écran.
Ma Sorcière Bien-Aimée
Sous le toit d’une maison ordinaire,
Vit Samantha, au sourire légendaire.
Ses doigts effleurent l’air, et sans bruit,
Le monde change, comme par magie.
Darrin, son mari, charmant et attentif,
Ne remarque pas toujours la magie autour de lui.
Et Tabatha, leur fille espiègle et curieuse,
Fait de petits enchantements, toujours joyeuse.
Les objets dansent, les lampes s’allument,
Les farces légères à chaque costume.
Mais derrière les sorts et les étincelles,
Bat un cœur pur, tendre et fidèle.
La vie et la magie, main dans la main,
Rient, s’emmêlent, au quotidien.
Et nous, spectateurs de leurs aventures,
Voyons l’amour, la tendresse et les rires.
Vit Samantha, au sourire légendaire.
Ses doigts effleurent l’air, et sans bruit,
Le monde change, comme par magie.
Darrin, son mari, charmant et attentif,
Ne remarque pas toujours la magie autour de lui.
Et Tabatha, leur fille espiègle et curieuse,
Fait de petits enchantements, toujours joyeuse.
Les objets dansent, les lampes s’allument,
Les farces légères à chaque costume.
Mais derrière les sorts et les étincelles,
Bat un cœur pur, tendre et fidèle.
La vie et la magie, main dans la main,
Rient, s’emmêlent, au quotidien.
Et nous, spectateurs de leurs aventures,
Voyons l’amour, la tendresse et les rires.
Kikiau
PostScriptum
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Poème en Phonétique
su lə twa dynə mεzɔ̃ ɔʁdinεʁə,
vit samɑ̃ta, o suʁiʁə leʒɑ̃dεʁə.
sε dwaz- efləʁe lεʁ, e sɑ̃ bʁɥi,
lə mɔ̃də ʃɑ̃ʒə, kɔmə paʁ maʒi.
daʁɛ̃, sɔ̃ maʁi, ʃaʁmɑ̃ e atɑ̃tif,
nə ʁəmaʁkə pa tuʒuʁ la maʒi otuʁ də lɥi.
e tabata, lœʁ fijə εspjεɡlə e kyʁjøzə,
fε də pətiz- ɑ̃ʃɑ̃təmɑ̃, tuʒuʁ ʒwajøzə.
lεz- ɔbʒε dɑ̃se, lε lɑ̃pə salymɑ̃,
lε faʁsə- leʒεʁəz- a ʃakə kɔstymə.
mε dəʁjεʁə lε sɔʁz- e lεz- etɛ̃sεllə,
ba œ̃ kœʁ pyʁ, tɑ̃dʁə e fidεlə.
la vi e la maʒi, mɛ̃ dɑ̃ la mɛ̃,
ʁje, sɑ̃mεle, o kɔtidjɛ̃.
e nu, spεktatœʁ də lœʁz- avɑ̃tyʁə,
vwajɔ̃ lamuʁ, la tɑ̃dʁεsə e lε ʁiʁə.
vit samɑ̃ta, o suʁiʁə leʒɑ̃dεʁə.
sε dwaz- efləʁe lεʁ, e sɑ̃ bʁɥi,
lə mɔ̃də ʃɑ̃ʒə, kɔmə paʁ maʒi.
daʁɛ̃, sɔ̃ maʁi, ʃaʁmɑ̃ e atɑ̃tif,
nə ʁəmaʁkə pa tuʒuʁ la maʒi otuʁ də lɥi.
e tabata, lœʁ fijə εspjεɡlə e kyʁjøzə,
fε də pətiz- ɑ̃ʃɑ̃təmɑ̃, tuʒuʁ ʒwajøzə.
lεz- ɔbʒε dɑ̃se, lε lɑ̃pə salymɑ̃,
lε faʁsə- leʒεʁəz- a ʃakə kɔstymə.
mε dəʁjεʁə lε sɔʁz- e lεz- etɛ̃sεllə,
ba œ̃ kœʁ pyʁ, tɑ̃dʁə e fidεlə.
la vi e la maʒi, mɛ̃ dɑ̃ la mɛ̃,
ʁje, sɑ̃mεle, o kɔtidjɛ̃.
e nu, spεktatœʁ də lœʁz- avɑ̃tyʁə,
vwajɔ̃ lamuʁ, la tɑ̃dʁεsə e lε ʁiʁə.