Texte : Philosophie : Le Paradoxe De L’œuf Et De La Poule.
A Propos
Comme d’habitude… ceci n’est qu’ un texte…
et, ici, la thématique est la RELIGION.
… Alors vous pouvez, si vous le voulez, arrêter de le lire.
Philosophie : Le Paradoxe De L’œuf Et De La Poule.
- Qui de l’œuf ou de la poule arriva en premier ?
- S’il n’y a pas de question idiote ; Allons-y raisonner,
Cette fois-ci, loin de notre professeure FOI
Dont belle Raison apprend toujours de ses lois.
Examinons les bonnes données que nous avons :
Le coq, comme sa femelle, peut pondre, seul, des œufs
Qui ne contiendront aucune vie ; pour qu’ils soient féconds,
Ils doivent provenir de la poule après le coït des deux.
L’œuf fécond ainsi obtenu était, jadis, couvé
Par un membre dévoué de la famille des Phasianidés
Avant que le poussin y sorte et vole de ses propres ailes.
Maintenant, ne restons pas, là, où nous sommes,
Avec notre tout petit entendement d’Hommes ;
Allons voir Pre Foi. Elle dira si nous avons été rationnels.
PostScriptum
À ceux qui diront : « si la poule est venue avant l’œuf, de quoi vient la poule ? », puisque c’est cette question qui me semble la plus intéressante.
Je demanderai d’oublier les pauvres petites poules et leurs œufs et de renvoyer la question à leur propre être. D’où viennent-ils ? De leurs parents, évidemment ! Mais d’où viennent ces derniers ? … … … Répétons à l’infini cette suite de questions réponses, nous arriverons, si nous osons nous y adonner, à ce que Professeur FOI nomme Dieu.
Certains de ceux qui surement étaient absents lors de la présentation de Dieu par le professeure FOI seront tentés, et c’est normal, de se demander : « Et Dieu, lui-même, d’où vient-il ? »
Cette question, venant généralement des enfants intelligents et sincères ne connaissant pas l’hypocrisie dans la foi, est loin d’être un anathème. La réponse à cette question se trouve notamment dans la définition de Dieu.
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Poème en Phonétique
sil ni a pa də kεstjɔ̃ idjɔtə, alɔ̃z- i ʁεzɔne,
sεtə fwa si, lwɛ̃ də nɔtʁə pʁɔfesəʁə fwa
dɔ̃ bεllə ʁεzɔ̃ apʁɑ̃ tuʒuʁ də sε lwa.
εɡzaminɔ̃ lε bɔnə dɔne kə nuz- avɔ̃ :
lə kɔk, kɔmə sa fəmεllə, pø pɔ̃dʁə, səl, dεz- ø
ki nə kɔ̃tjɛ̃dʁɔ̃ okynə vi, puʁ kil swae fekɔ̃,
il dwave pʁɔvəniʁ də la pulə apʁε lə kɔi dε dø.
lœf fekɔ̃t- ɛ̃si ɔptəny etε, ʒadi, kuve
paʁ œ̃ mɑ̃bʁə devue də la famijə dε fazjanide
avɑ̃ kə lə pusɛ̃ i sɔʁtə e vɔlə də sε pʁɔpʁəz- εlə.
mɛ̃tənɑ̃, nə ʁεstɔ̃ pa, la, u nu sɔmə,
avεk nɔtʁə tu pəti ɑ̃tɑ̃dəmɑ̃ dɔmə,
alɔ̃ vwaʁ pʁə fwa. εllə diʁa si nuz- avɔ̃z- ete ʁasjɔnεl.