Texte : Le Journal De La Guerre De L’illusion (1)
A Propos
Vous le remarquerez, Ceci n’est pas un pantoum, ni un faux sonnet encore moins l’un de tous ces vieux noms sombrant dans l’oubli des grands poètes et poétesses…
Ceci est juste un texte, constitué de phrases libres se voulant simples et surtout compréhensibles par le commun des mortels.
En effet, le plus important, l’objectif, est de véhiculer un message saisissable à tous et non de faire son fou en se prenant pour l’insaisissable soleil (quitte à écrire un non-sens. )
Vous pouvez ne pas être d’accord, la vie est ainsi faite.
Mais sachez que, pour moi, Maître SILENCE est le plus grand des poètes.
Il n’a nul besoin de mot pour s’exprimer. Lui, il ignore tout royalement, même les simples mots. : )
« Qui vit sans folie n’est pas si sage qu’il croit. » – François de La Rochefoucauld
Le Journal De La Guerre De L’illusion (1)
Pour leur vil ego, étaient ivres de venimeuse folie.
VENUS, un peu rombière, se prenait pour le SOLEIL
Et pour l’imposer, à tous, devint une vipère cruelle.
JUPITER, véridique et sachant, ne sut se taire ;
Pour ça, il fut traité de con et de pute pervers.
Voulant laver son pacifique et légendaire honneur,
TERRE l’a compris, il fit fi de la bonne pudeur.
Devant cette sorte de vulgaire et sale cacophonie,
CLOWNIA (une planète qui sut qu’elle s’appelle ainsi)
Qui fut autrefois, le Fou qui soignait les psychiatres,
Fit le profilage de VENUS pour préserver le bien être.
Mais VENUS armée de maintes plumes n’arrêta guère,
Et ce, malgré les Folles menaces d’ILUZZION, leur repère.
Ayant encore du venin à cracher et avide de chair,
VENUS fit appeler l’un de ses vieux partenaires.
Celui – ci jura sur la tête de JUPITER que le PANTOUM
Est le fils unique qu’il eut avec VENUS, la poétesse
Écrivant ces beaux textes dans un cadre bassesse
Ou souvent dans un incompréhensible badaboum.
À vous l’antenne !
PostScriptum
« Qui vit sans folie n’est pas si sage qu’il croit. » – François de La Rochefoucauld
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Poème en Phonétique
puʁ lœʁ vil əɡo, etε ivʁə- də vənimøzə fɔli.
vənys, œ̃ pø ʁɔ̃bjεʁə, sə pʁənε puʁ lə sɔlεj
e puʁ lɛ̃poze, a tus, dəvɛ̃ ynə vipεʁə kʁyεllə.
ʒypite, veʁidikə e saʃɑ̃, nə syt sə tεʁə,
puʁ sa, il fy tʁεte də kɔ̃ e də pytə pεʁve.
vulɑ̃ lave sɔ̃ pasifikə e leʒɑ̃dεʁə ɔnœʁ,
teʁə la kɔ̃pʁi, il fi fi də la bɔnə pydœʁ.
dəvɑ̃ sεtə sɔʁtə də vylɡεʁə e salə kakɔfɔni,
klɔwnja (ynə planεtə ki syt kεllə sapεllə ɛ̃si)
ki fy otʁəfwa, lə fu ki swaɲε lε psiʃjatʁə,
fi lə pʁɔfilaʒə də vənys puʁ pʁezεʁve lə bjɛ̃ εtʁə.
mε vənysz- aʁme də mɛ̃tə plymə naʁεta ɡεʁə,
e sə, malɡʁe lε fɔlə mənasə dilyzjɔ̃, lœʁ ʁəpεʁə.
εjɑ̃ ɑ̃kɔʁə dy vənɛ̃ a kʁaʃe e avidə də ʃεʁ,
vənys fi apəle lœ̃ də sε vjø paʁtənεʁə.
səlɥi si ʒyʁa syʁ la tεtə də ʒypite kə lə pɑ̃tum
ε lə fisz- ynikə kil y avεk vənys, la pɔetεsə
ekʁivɑ̃ sε bo tεkstə dɑ̃z- œ̃ kadʁə basεsə
u suvɑ̃ dɑ̃z- œ̃n- ɛ̃kɔ̃pʁeɑ̃siblə badabum.
a vu lɑ̃tεnə !