Poeme : Ii_ Appel
Ii_ Appel
Les courants battus d’herbes ; ces deux mains au front pour prendre la plus belle hauteur. – Le chêne feuillu, ses cascades à côté, l’air est chargé d’effluves originels, impavides, étrangers – Souvenir – Grossière nécessité de la nature. Souvenir. Quinze années durant les courants battus d’herbes ont allumé mille émeraudes et le ciel souffle la dernière salive avant de monter se coucher. Déjà les framboises s’estompent à l’horizon.
Mais Où Marche Lâme
PostScriptum
Chez moi. . .
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Poème en Phonétique
lε kuʁɑ̃ batys dεʁbə, sε dø mɛ̃z- o fʁɔ̃ puʁ pʁɑ̃dʁə la plys bεllə-otœʁ. lə ʃεnə fœjy, sε kaskadəz- a kote, lεʁ ε ʃaʁʒe deflyvəz- ɔʁiʒinεl, ɛ̃pavidə, etʁɑ̃ʒe suvəniʁ ɡʁɔsjεʁə nesesite də la natyʁə. suvəniʁ. kɛ̃zə ane dyʁɑ̃ lε kuʁɑ̃ batys dεʁbəz- ɔ̃ alyme milə eməʁodəz- e lə sjεl suflə la dεʁnjεʁə salivə avɑ̃ də mɔ̃te sə kuʃe. deʒa lε fʁɑ̃bwazə sεstɔ̃pe a lɔʁizɔ̃.