Poeme : Les Beaux Jours Sont Arrives
Les Beaux Jours Sont Arrives
LES BEAUX JOURS SONT ARRIVES
Au premier regard,
Le soleil, scintillant,
Pointe son nez,
Et déjà ses premiers rayons,
Réchauffent, et éclairent
De bon matin,
Notre cabanon !
Les oiseaux quittent leur nid,
Sifflent, et sont enchantés,
Les colorés papillons, volent
À la brise légère,
Et les abeilles mégères,
Un temps pressées,
Butinent, les beaux et grimpants rosiers !
Ah ! Les beaux jours !
Où tout renaît !
La simplicité, la gaieté,
L’envie folle de frétiller,
Et le désir de fricoter,
Les jolies fleurs naissent et bourgeonnent,
Telle la rose éclose !
Les tulipes, qui s’agitent,
Et les coquelicots annonçant le renouveau !
Monsieur rouge gorge,
Tout content, et pimpant,
Nous nargue, de son beau plumage,
Multicolore,
Madame pie, qui fredonne,
Des petits sons doux !
Telle une madone !
Qu’affirmer d’autres encore ! !
Que les beaux jours sont arrivés !
Là, ou tout es permis,
Les rires, les petites folies et manies,
Nos ultimes plaisirs de la vie !
Ou chacun d’entre nous,
Prend goût, à rêvasser,
Sur un banc, près d’un étang,
Voire de s’embrasser sous l’oeil,
Fugace, des corbeaux volants,
Ou joyeusement !
Admirer, nos chers enfants,
S’amuser, près des balançoires,
Et toboggans.
Ah ! les beaux jours !
Me décrivent uniquement cela !
Pouvoir enfin revivre,
Et respirer l’air pur,
Qu’offre la coupe d’un ciel bleu,
Et soleil revigorant, telle la nature !
Juste profiter de tous ces attraits !
Qu’offriront à jamais,
Ces douces et belles
Journées.
Missréré
Au premier regard,
Le soleil, scintillant,
Pointe son nez,
Et déjà ses premiers rayons,
Réchauffent, et éclairent
De bon matin,
Notre cabanon !
Les oiseaux quittent leur nid,
Sifflent, et sont enchantés,
Les colorés papillons, volent
À la brise légère,
Et les abeilles mégères,
Un temps pressées,
Butinent, les beaux et grimpants rosiers !
Ah ! Les beaux jours !
Où tout renaît !
La simplicité, la gaieté,
L’envie folle de frétiller,
Et le désir de fricoter,
Les jolies fleurs naissent et bourgeonnent,
Telle la rose éclose !
Les tulipes, qui s’agitent,
Et les coquelicots annonçant le renouveau !
Monsieur rouge gorge,
Tout content, et pimpant,
Nous nargue, de son beau plumage,
Multicolore,
Madame pie, qui fredonne,
Des petits sons doux !
Telle une madone !
Qu’affirmer d’autres encore ! !
Que les beaux jours sont arrivés !
Là, ou tout es permis,
Les rires, les petites folies et manies,
Nos ultimes plaisirs de la vie !
Ou chacun d’entre nous,
Prend goût, à rêvasser,
Sur un banc, près d’un étang,
Voire de s’embrasser sous l’oeil,
Fugace, des corbeaux volants,
Ou joyeusement !
Admirer, nos chers enfants,
S’amuser, près des balançoires,
Et toboggans.
Ah ! les beaux jours !
Me décrivent uniquement cela !
Pouvoir enfin revivre,
Et respirer l’air pur,
Qu’offre la coupe d’un ciel bleu,
Et soleil revigorant, telle la nature !
Juste profiter de tous ces attraits !
Qu’offriront à jamais,
Ces douces et belles
Journées.
Missréré
Missréré
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Poème en Phonétique
lε bo ʒuʁ sɔ̃t- aʁivə
o pʁəmje ʁəɡaʁ,
lə sɔlεj, sɛ̃tijɑ̃,
pwɛ̃tə sɔ̃ ne,
e deʒa sε pʁəmje ʁεjɔ̃,
ʁeʃofe, e eklεʁe
də bɔ̃ matɛ̃,
nɔtʁə kabanɔ̃ !
lεz- wazo kite lœʁ nid,
sifle, e sɔ̃t- ɑ̃ʃɑ̃te,
lε kɔlɔʁe papijɔ̃, vɔle
a la bʁizə leʒεʁə,
e lεz- abεjə meʒεʁə,
œ̃ tɑ̃ pʁese,
bytine, lε boz- e ɡʁɛ̃pɑ̃ ʁozje !
a ! lε bo ʒuʁ !
u tu ʁənε !
la sɛ̃plisite, la ɡεəte,
lɑ̃vi fɔlə də fʁetije,
e lə deziʁ də fʁikɔte,
lε ʒɔli flœʁ nεse e buʁʒɔne,
tεllə la ʁozə eklozə !
lε tylipə, ki saʒite,
e lε kɔkəlikoz- anɔ̃sɑ̃ lə ʁənuvo !
məsjø ʁuʒə ɡɔʁʒə,
tu kɔ̃tɑ̃, e pɛ̃pɑ̃,
nu naʁɡ, də sɔ̃ bo plymaʒə,
myltikɔlɔʁə,
madamə pi, ki fʁədɔnə,
dε pəti sɔ̃ du !
tεllə ynə madɔnə !
kafiʁme dotʁəz- ɑ̃kɔʁə ! !
kə lε bo ʒuʁ sɔ̃t- aʁive !
la, u tut- ε pεʁmi,
lε ʁiʁə, lε pətitə fɔliz- e mani,
noz- yltimə plεziʁ də la vi !
u ʃakœ̃ dɑ̃tʁə nu,
pʁɑ̃ ɡu, a ʁεvase,
syʁ œ̃ bɑ̃, pʁε dœ̃n- etɑ̃ɡ,
vwaʁə də sɑ̃bʁase su lɔεj,
fyɡasə, dε kɔʁbo vɔlɑ̃,
u ʒwajøzəmɑ̃ !
admiʁe, no ʃεʁz- ɑ̃fɑ̃,
samyze, pʁε dε balɑ̃swaʁə,
e tɔbɔɡɑ̃.
a ! lε bo ʒuʁ !
mə dekʁive ynikəmɑ̃ səla !
puvwaʁ ɑ̃fɛ̃ ʁəvivʁə,
e ʁεspiʁe lεʁ pyʁ,
kɔfʁə la kupə dœ̃ sjεl blø,
e sɔlεj ʁəviɡɔʁɑ̃, tεllə la natyʁə !
ʒystə pʁɔfite də tus sεz- atʁε !
kɔfʁiʁɔ̃ a ʒamε,
sε dusəz- e bεllə
ʒuʁne.
misʁeʁe
o pʁəmje ʁəɡaʁ,
lə sɔlεj, sɛ̃tijɑ̃,
pwɛ̃tə sɔ̃ ne,
e deʒa sε pʁəmje ʁεjɔ̃,
ʁeʃofe, e eklεʁe
də bɔ̃ matɛ̃,
nɔtʁə kabanɔ̃ !
lεz- wazo kite lœʁ nid,
sifle, e sɔ̃t- ɑ̃ʃɑ̃te,
lε kɔlɔʁe papijɔ̃, vɔle
a la bʁizə leʒεʁə,
e lεz- abεjə meʒεʁə,
œ̃ tɑ̃ pʁese,
bytine, lε boz- e ɡʁɛ̃pɑ̃ ʁozje !
a ! lε bo ʒuʁ !
u tu ʁənε !
la sɛ̃plisite, la ɡεəte,
lɑ̃vi fɔlə də fʁetije,
e lə deziʁ də fʁikɔte,
lε ʒɔli flœʁ nεse e buʁʒɔne,
tεllə la ʁozə eklozə !
lε tylipə, ki saʒite,
e lε kɔkəlikoz- anɔ̃sɑ̃ lə ʁənuvo !
məsjø ʁuʒə ɡɔʁʒə,
tu kɔ̃tɑ̃, e pɛ̃pɑ̃,
nu naʁɡ, də sɔ̃ bo plymaʒə,
myltikɔlɔʁə,
madamə pi, ki fʁədɔnə,
dε pəti sɔ̃ du !
tεllə ynə madɔnə !
kafiʁme dotʁəz- ɑ̃kɔʁə ! !
kə lε bo ʒuʁ sɔ̃t- aʁive !
la, u tut- ε pεʁmi,
lε ʁiʁə, lε pətitə fɔliz- e mani,
noz- yltimə plεziʁ də la vi !
u ʃakœ̃ dɑ̃tʁə nu,
pʁɑ̃ ɡu, a ʁεvase,
syʁ œ̃ bɑ̃, pʁε dœ̃n- etɑ̃ɡ,
vwaʁə də sɑ̃bʁase su lɔεj,
fyɡasə, dε kɔʁbo vɔlɑ̃,
u ʒwajøzəmɑ̃ !
admiʁe, no ʃεʁz- ɑ̃fɑ̃,
samyze, pʁε dε balɑ̃swaʁə,
e tɔbɔɡɑ̃.
a ! lε bo ʒuʁ !
mə dekʁive ynikəmɑ̃ səla !
puvwaʁ ɑ̃fɛ̃ ʁəvivʁə,
e ʁεspiʁe lεʁ pyʁ,
kɔfʁə la kupə dœ̃ sjεl blø,
e sɔlεj ʁəviɡɔʁɑ̃, tεllə la natyʁə !
ʒystə pʁɔfite də tus sεz- atʁε !
kɔfʁiʁɔ̃ a ʒamε,
sε dusəz- e bεllə
ʒuʁne.
misʁeʁe