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Poeme : 85005 - Sans Titre



85005 - Sans Titre

Les coups se voient puis disparaissent,
Tandis que les mots blaissent.

Ils resteront gravés
Ne seront jamais oubliés.

Parfois, cette douleur grandit,
Cette fille reste pour toujours meurtrie.

Puis, un jour elle décide ainsi
Qu’elle n’a plus sa place ici.

Pas le temps pour les regrets,
Malheureusement elle est partie.

A cause d’imbéciles,
Elle s’en est allée, si fragile.

Leurs remarques l’ont blessée
Mais, elle n’a jamais cessé d’y penser.
Ninielafolle

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Poème en Phonétique

lε ku sə vwae pɥi dispaʁεse,
tɑ̃di kə lε mo blεse.

il ʁεstəʁɔ̃ ɡʁave
nə səʁɔ̃ ʒamεz- ublje.

paʁfwa, sεtə dulœʁ ɡʁɑ̃di,
sεtə fijə ʁεstə puʁ tuʒuʁ məʁtʁi.

pɥi, œ̃ ʒuʁ εllə desidə ɛ̃si
kεllə na plys sa plasə isi.

pa lə tɑ̃ puʁ lε ʁəɡʁε,
maləʁøzəmɑ̃ εllə ε paʁti.

a kozə dɛ̃besilə,
εllə sɑ̃n- εt- ale, si fʁaʒilə.

lœʁ ʁəmaʁk lɔ̃ blese
mε, εllə na ʒamε sese di pɑ̃se.