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Poeme : Le Rêve



Le Rêve

La mer Bleue en haut et la mer blanche en bas,
Pour nous qui planons dans le vide : le Nirvana.
Ces éclats de lumière viennent à mon regard,
L’astre solaire brille, mais en bas il s’égare.

L’Azur se confond dans mes yeux bleus assombris
Par ce grand oiseau d’acier qui, en retard, prit
Son envol sous une pluie d’eau salie et finit
Dans son vol, par partir dans les cimes de gris

Toutes ces montagnes blanches passent dans la mer blanches,
Soudain une apparition m’apparut : Des anches.
Une diablesse de l’air vint me réveiller.

« Monsieur reveillez-vous, nous allons ; nous cracher ! »
Mon cauchemard prit fin grâce à cet ange noire.
Ah, l’azur ! Au revoir ! Cauchemard ! Au revoir !
Noctaris

PostScriptum

Comme quoi même dans un avion nous pouvons encore rever de poésie ! ! !


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Poème en Phonétique

la mεʁ blø ɑ̃-o e la mεʁ blɑ̃ʃə ɑ̃ ba,
puʁ nu ki planɔ̃ dɑ̃ lə vidə : lə niʁvana.
sεz- ekla də lymjεʁə vjεne a mɔ̃ ʁəɡaʁ,
lastʁə sɔlεʁə bʁijə, mεz- ɑ̃ ba il seɡaʁə.

lazyʁ sə kɔ̃fɔ̃ dɑ̃ mεz- iø bløsz- asɔ̃bʁi
paʁ sə ɡʁɑ̃t- wazo dasje ki, ɑ̃ ʁətaʁ, pʁi
sɔ̃n- ɑ̃vɔl suz- ynə plɥi do sali e fini
dɑ̃ sɔ̃ vɔl, paʁ paʁtiʁ dɑ̃ lε simə də ɡʁi

tutə sε mɔ̃taɲə blɑ̃ʃə pase dɑ̃ la mεʁ blɑ̃ʃə,
sudɛ̃ ynə apaʁisjɔ̃ mapaʁy : dεz- ɑ̃ʃə.
ynə djablεsə də lεʁ vɛ̃ mə ʁevεje.

« məsjø ʁəvεje vu, nuz- alɔ̃, nu kʁaʃe ! »
mɔ̃ koʃəmaʁ pʁi fɛ̃ ɡʁasə a sεt ɑ̃ʒə nwaʁə.
a, lazyʁ ! o ʁəvwaʁ ! koʃəmaʁ ! o ʁəvwaʁ !