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Poeme : Country Road



Country Road

Vers les montagnes ou j’ai grandit
Tout prés de ma compagne je reviens au pays
Tant d’aventures mon fatiguées,
J ’arrive prés de mon village Pour tout oublier
Je reviens au pays
Sur la route ou j’ai grandit
Parmi les monts et les torrents
Je reviens maintenant
Je sens au loin dans la vallée
Des fleurs, des fruits sauvages,
Les parfums de l’été
J’entends encore le soir venu
Quand l’herbe devient bleue
Le chant d’un inconnu
Je reviens au pays
Sur la route ou j’ai grandit
Parmi les monts et les torrents
Je reviens maintenant
Je vois rouler le blanc torrent
Au flanc de ma montagne
Je n’étais qu’un enfant
Avec mon père il y a longtemps
Fier que je l’accompagne
Il est loin à présent
Je reviens au pays
Sur la route ou j’ai grandit
Parmi les monts et les torrents
Je reviens maintenant
Je suis partit trop jeune m’en allant voir ailleurs,
La ville était plus tendre pour mes élans du cœur
Et Je pleure à présent ma jeunesse passée
Oh yesterday yesterday
Je reviens au pays
Sur la route ou j’ai grandit
Parmi les monts et les torrents
Je reviens maintenant
Poète30

PostScriptum

L’heure devient bleue bien connue des photographes c’est l’heure qui précédè la tombée de la nuit L’heure ou les Cow Boys se réunissent après avoir parqués le betail et tout en mangeant autour d’un feu de camp joue de la musique (Ce qui a donné naissance au style « Blue Grass » (herbe bleue) une variante de la country d’origine
irlandaise
John Denvers hélas disparut tragiquement en été un pionnier Perso je trouve mon adaptation plus romantique que celle d’un certain Dick Rivers et vous ?

COUNTRY ROAD. (Paroles française Michel Gatumel) (C Am G F)
· Adaptation française de Michel Gatumel

(D’après Country road) par John Denver
Et (Faire un pont) chantait par Dick Rivers


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Poème en Phonétique

vεʁ lε mɔ̃taɲəz- u ʒε ɡʁɑ̃di
tu pʁe də ma kɔ̃paɲə ʒə ʁəvjɛ̃z- o pεi
tɑ̃ davɑ̃tyʁə mɔ̃ fatiɡe,
ʒaʁivə pʁe də mɔ̃ vilaʒə puʁ tut- ublje
ʒə ʁəvjɛ̃z- o pεi
syʁ la ʁutə u ʒε ɡʁɑ̃di
paʁmi lε mɔ̃z- e lε tɔʁɑ̃
ʒə ʁəvjɛ̃ mɛ̃tənɑ̃
ʒə sɑ̃sz- o lwɛ̃ dɑ̃ la vale
dε flœʁ, dε fʁɥi sovaʒə,
lε paʁfœ̃ də lete
ʒɑ̃tɑ̃z- ɑ̃kɔʁə lə swaʁ vəny
kɑ̃ lεʁbə dəvjɛ̃ blø
lə ʃɑ̃ dœ̃n- ɛ̃kɔny
ʒə ʁəvjɛ̃z- o pεi
syʁ la ʁutə u ʒε ɡʁɑ̃di
paʁmi lε mɔ̃z- e lε tɔʁɑ̃
ʒə ʁəvjɛ̃ mɛ̃tənɑ̃
ʒə vwa ʁule lə blɑ̃ tɔʁe
o flɑ̃k də ma mɔ̃taɲə
ʒə netε kœ̃n- ɑ̃fɑ̃
avεk mɔ̃ pεʁə il i a lɔ̃tɑ̃
fje kə ʒə lakɔ̃paɲə
il ε lwɛ̃ a pʁezɑ̃
ʒə ʁəvjɛ̃z- o pεi
syʁ la ʁutə u ʒε ɡʁɑ̃di
paʁmi lε mɔ̃z- e lε tɔʁɑ̃
ʒə ʁəvjɛ̃ mɛ̃tənɑ̃
ʒə sɥi paʁti tʁo ʒənə mɑ̃n- alɑ̃ vwaʁ ajœʁ,
la vilə etε plys tɑ̃dʁə puʁ mεz- elɑ̃ dy kœʁ
e ʒə plœʁə a pʁezɑ̃ ma ʒənεsə pase
ɔ iεstεʁdε iεstεʁdε
ʒə ʁəvjɛ̃z- o pεi
syʁ la ʁutə u ʒε ɡʁɑ̃di
paʁmi lε mɔ̃z- e lε tɔʁɑ̃
ʒə ʁəvjɛ̃ mɛ̃tənɑ̃