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Texte : Il Y A Les Assurances.



A Propos

Un poème.

Il Y A Les Assurances.

L’argent ne sert à rien,
ou à vous donner du chagrin.
L’argent nous tue,
malgré les plus-values.

On l’économise, on le thésaurise,
on le dépense, on le crache,
et puis, oh surprise,
survient le krach.

Il ne conduit nulle part,
ou à du cafard.
On érige des palaces,
quand, soudain, l’ouragan tout efface.

Il y a bien les assurances,
qui donnent l’assurance
d’être dédommagés.
Et puis on meurt, très âgé.
Poldereaux

PostScriptum

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Poème en Phonétique

laʁʒe nə sεʁ a ʁjɛ̃,
u a vu dɔne dy ʃaɡʁɛ̃.
laʁʒe nu tɥ,
malɡʁe lε plys valɥ.

ɔ̃ lekɔnɔmizə, ɔ̃ lə tezoʁizə,
ɔ̃ lə depɑ̃sə, ɔ̃ lə kʁaʃə,
e pɥi, ɔ syʁpʁizə,
syʁvjɛ̃ lə kʁak.

il nə kɔ̃dɥi nylə paʁ,
u a dy kafaʁ.
ɔ̃n- eʁiʒə dε palasə,
kɑ̃, sudɛ̃, luʁaɡɑ̃ tut- efasə.

il i a bjɛ̃ lεz- asyʁɑ̃sə,
ki dɔne lasyʁɑ̃sə
dεtʁə dedɔmaʒe.
e pɥiz- ɔ̃ məʁ, tʁεz- aʒe.