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Texte : L’espoir Est Toujours Permis.



A Propos

Un poème.

L’espoir Est Toujours Permis.

Si tous les malheurs arrivent en même temps,
ruine, désolation, terrible maladie,
ces médecins qui te crient,
que tu es bon pour l’enterrement.

Que tout espoir est bel et bien fini.
Dans le fond c’est quoi la vie ?
Quelque jours à passer dans la misère,
une vie de galère.

Et pourtant, il y a au loin,
comme une petite lumière.
En fait trois fois rien.
En la regardant tu espères.

Dieu n’est pas le complice des hommes.
Lui, il te laisse toujours un espoir.
Il te suffit d’y croire.
Et c’est la meilleure chose à faire, en somme.
Poldereaux

PostScriptum

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Poème en Phonétique

si tus lε malœʁz- aʁive ɑ̃ mεmə tɑ̃,
ʁɥinə, dezɔlasjɔ̃, teʁiblə maladi,
sε medəsɛ̃ ki tə kʁje,
kə ty ε bɔ̃ puʁ lɑ̃tεʁəmɑ̃.

kə tut- εspwaʁ ε bεl e bjɛ̃ fini.
dɑ̃ lə fɔ̃ sε kwa la vi ?
kεlkə ʒuʁz- a pase dɑ̃ la mizεʁə,
ynə vi də ɡalεʁə.

e puʁtɑ̃, il i a o lwɛ̃,
kɔmə ynə pətitə lymjεʁə.
ɑ̃ fε tʁwa fwa ʁjɛ̃.
ɑ̃ la ʁəɡaʁdɑ̃ ty εspεʁə.

djø nε pa lə kɔ̃plisə dεz- ɔmə.
lɥi, il tə lεsə tuʒuʁz- œ̃n- εspwaʁ.
il tə syfi di kʁwaʁə.
e sε la mεjəʁə ʃozə a fεʁə, ɑ̃ sɔmə.