Poeme : La Maitresse Dont Il Revait

Il la regardait,
Il l’appréciait,
Souvent l’effleurait,
C’est elle qu’il voulait…

Il aimait tout chez elle,
Des « pieds » aux « oreilles »,
Il n’avait qu’un rêve essentiel,
Vivre avec elle à l’éternel !

En l’admirant il comprenait,
Qu’à jamais elle resterait,
La maîtresse dont il rêvait…

Pour elle il se serai saigné, battu !
Il aurait accepté d’être le plus grand cocu,
Mais sa maîtresse, la mort, ne l’a jamais voulu…

il la ʁəɡaʁdε,
il lapʁesjε,
suvɑ̃ lefləʁε,
sεt- εllə kil vulε…

il εmε tu ʃez- εllə,
dəs « pjεds » oks « ɔʁεjs »,
il navε kœ̃ ʁεvə esɑ̃sjεl,
vivʁə avεk εllə a letεʁnεl !

ɑ̃ ladmiʁɑ̃ il kɔ̃pʁənε,
ka ʒamεz- εllə ʁεstəʁε,
la mεtʁεsə dɔ̃ il ʁεvε…

puʁ εllə il sə səʁε sεɲe, baty !
il oʁε aksεpte dεtʁə lə plys ɡʁɑ̃ kɔky,
mε sa mεtʁεsə, la mɔʁ, nə la ʒamε vuly…