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Poeme : La Violence Du Pays…



La Violence Du Pays…

Tout le monde veut être et avoir existé
Et sur l’autre, prendre du pouvoir ; se positionner
Quand éclate l’abus, en dessous du doigt les pointer.
Ces foutus responsables, soit disant des entités
Qui n’assument leur rôle qu’en plein été
Qui disposent tout un arsenal pour fonctionner
Quand la violence éclate, ne savent plus où en référer.
Cette violence, si banalement exposée,
Où les victimes sont coupables d’exister
A qui l’on répond, tu n’es pas seul à le respirer ;
La Justice et les soins sont là pour t’aider.
Mais dans les faits, où que les regards soient posés,
La victime est toujours seule, face à y penser,
Dans l’espoir, que ce ne soit qu’un rêve, mal hanté,
Déshydratée, affamée,
Besoin urgent de tous se réoxygéner
Les méninges et libérer
Notre gaiété…
Car Dans cette société, modèle de civilité !
Plus aucune sécurité ! ! !
C’est a nous de faire revivre la sérénité…
Stephanie pontbriand
Stephythebee

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Poème en Phonétique

tu lə mɔ̃də vø εtʁə e avwaʁ εɡziste
e syʁ lotʁə, pʁɑ̃dʁə dy puvwaʁ, sə pozisjɔne
kɑ̃t- eklatə laby, ɑ̃ dəsu dy dwa lε pwɛ̃te.
sε futys ʁεspɔ̃sablə, swa dizɑ̃ dεz- ɑ̃tite
ki nasyme lœʁ ʁolə kɑ̃ plɛ̃ ete
ki dispoze tut- œ̃n- aʁsənal puʁ fɔ̃ksjɔne
kɑ̃ la vjɔlɑ̃sə eklatə, nə save plysz- u ɑ̃ ʁefeʁe.
sεtə vjɔlɑ̃sə, si banaləmɑ̃ εkspoze,
u lε viktimə sɔ̃ kupablə dεɡziste
a ki lɔ̃ ʁepɔ̃, ty nε pa səl a lə ʁεspiʁe,
la ʒystisə e lε swɛ̃ sɔ̃ la puʁ tεde.
mε dɑ̃ lε fε, u kə lε ʁəɡaʁd swae poze,
la viktimə ε tuʒuʁ sələ, fasə a i pɑ̃se,
dɑ̃ lεspwaʁ, kə sə nə swa kœ̃ ʁεvə, mal-ɑ̃te,
dezidʁate, afame,
bəzwɛ̃ yʁʒe də tus sə ʁeɔksiʒene
lε menɛ̃ʒəz- e libeʁe
nɔtʁə ɡεete…
kaʁ dɑ̃ sεtə sɔsjete, mɔdεlə də sivilite !
plysz- okynə sekyʁite ! ! !
sεt- a nu də fεʁə ʁəvivʁə la seʁenite…
stεfani pɔ̃tbʁjɑ̃d