Poeme : 06 10 Plus
06 10 Plus
Quand.
Mailles du silence
Usent les heures
Lampe des nuits.
Épaules du vent
Oublie l ’ énergie
Étoiles de ville.
Chant du sourire
Lumière de joie.
Gaza.
La nature a disparu
Les dégâts environnementaux sont considérables et obèrent la possibilité de vivre dans une grande partie de l’enclave, y compris dans l’hypothèse d’un cessez-le-feu. « L’effondrement des infrastructures de traitement des eaux usées, la destruction des systèmes de canalisation et le recours aux fosses septiques pour l’assainissement ont probablement accru la contamination de la nappe phréatique qui alimente la majeure partie de l’eau de Gaza, tandis que les zones marines et côtières sont également soupçonnées d’être contaminées », a pointé O son dernier bilan, le 2 octobre.
Tout est à reconstruire, des immeubles aux réseaux d’eau ou d’assainissement. « La situation ne cesse d’empirer ; si cela continue, la destruction de l’environnement sera telle qu’elle affectera la santé des habitants de Gaza sur des générations », a prévenu le Programme des Nations unies pour l’environnement le 23 septembre. Après anéantissement, c’est l’autre mot qui vient à l’esprit en franchissant la frontière vers Israël : invivable.
Bien « trumpé ». (244)
Cancre diplomate
Double discours des États-Unis
Ont armé puissamment Israël
Pour liquider les Palestiniens
Etats-Unis, seul, souhaitent
Imposer vraie Paix bancale
Non confiance au génocide.
Pays arabes sont complices
Traumatismes de répression
Toujours affamer les espoirs
Des tentations belliqueuses.
Russie.
Un avenir hypothéqué
Le surrégime dans lequel l’économie est entrée depuis le début de la guerre avec l’explosion des dépenses de défense, qui représentent désormais 40 % de la dépense publique, s’est heurté à des contraintes qui ont déclenché une forte inflation. Les pénuries de main-d’œuvre, les sanctions occidentales et les capacités de production limitées ont provoqué une augmentation généralisée des prix et des salaires, que la banque centrale a tenté de contenir grâce à une augmentation vertigineuse des taux d’intérêt. Aujourd’hui l’inflation a reflué, mais le resserrement monétaire a asphyxié le crédit, au point que, en dehors de l’armement, l’économie est au point mort.
En Argentine,
Un triple « narcoféminicide » provoque l’indignation
Le meurtre particulièrement violent de deux jeunes femmes et une adolescente, fin septembre, a suscité dans le pays de nombreuses réactions et soulevé des questions liées à la définition du féminicide, mais aussi à la précarité et au narcotrafic.
267 féminicides en 2024.
Gouvernement.
Éphémère
Le gouvernement le plus éphémère depuis plus d’un siècle.
Durée du gouvernement Lecornu : 836 minutes.
Ce fiasco express en rappelle deux autres, bien plus anciens. Celui d’Alexandre Ribot, d’abord. Le 9 juin 1914, ce magistrat et conseiller d’Etat libéral et assez modéré constitue son nouveau gouvernement – on dit alors « cabinet » –, le troisième qu’il est amené à diriger sous la IIIe République. Trois jours plus tard, ce gouvernement est renversé par la gauche le jour même de sa présentation à l’Assemblée nationale.
Deuxième précédent de gouvernement fugace, celui de Frédéric François-Marsal. Le 8 juin 1924, cet homme d’affaires et homme politique de la droite républicaine est nommé président du Conseil, donc chef de l’exécutif. Le lendemain, il forme son gouvernement, en s’attribuant à lui-même le portefeuille des finances. Un jour encore, et le voici renversé par la Chambre des députés.
Trails.
Sources de rumeurs
Créent malversations
Facilité de découdre
Scléroser les temps.
Meurtri en actions
Vilaine compétition
Esprit d ’ ouverture
Arrêter affrontement.
Attendre le dictateur
Le roi sauveteur ! .
Mailles du silence
Usent les heures
Lampe des nuits.
Épaules du vent
Oublie l ’ énergie
Étoiles de ville.
Chant du sourire
Lumière de joie.
Gaza.
La nature a disparu
Les dégâts environnementaux sont considérables et obèrent la possibilité de vivre dans une grande partie de l’enclave, y compris dans l’hypothèse d’un cessez-le-feu. « L’effondrement des infrastructures de traitement des eaux usées, la destruction des systèmes de canalisation et le recours aux fosses septiques pour l’assainissement ont probablement accru la contamination de la nappe phréatique qui alimente la majeure partie de l’eau de Gaza, tandis que les zones marines et côtières sont également soupçonnées d’être contaminées », a pointé O son dernier bilan, le 2 octobre.
Tout est à reconstruire, des immeubles aux réseaux d’eau ou d’assainissement. « La situation ne cesse d’empirer ; si cela continue, la destruction de l’environnement sera telle qu’elle affectera la santé des habitants de Gaza sur des générations », a prévenu le Programme des Nations unies pour l’environnement le 23 septembre. Après anéantissement, c’est l’autre mot qui vient à l’esprit en franchissant la frontière vers Israël : invivable.
Bien « trumpé ». (244)
Cancre diplomate
Double discours des États-Unis
Ont armé puissamment Israël
Pour liquider les Palestiniens
Etats-Unis, seul, souhaitent
Imposer vraie Paix bancale
Non confiance au génocide.
Pays arabes sont complices
Traumatismes de répression
Toujours affamer les espoirs
Des tentations belliqueuses.
Russie.
Un avenir hypothéqué
Le surrégime dans lequel l’économie est entrée depuis le début de la guerre avec l’explosion des dépenses de défense, qui représentent désormais 40 % de la dépense publique, s’est heurté à des contraintes qui ont déclenché une forte inflation. Les pénuries de main-d’œuvre, les sanctions occidentales et les capacités de production limitées ont provoqué une augmentation généralisée des prix et des salaires, que la banque centrale a tenté de contenir grâce à une augmentation vertigineuse des taux d’intérêt. Aujourd’hui l’inflation a reflué, mais le resserrement monétaire a asphyxié le crédit, au point que, en dehors de l’armement, l’économie est au point mort.
En Argentine,
Un triple « narcoféminicide » provoque l’indignation
Le meurtre particulièrement violent de deux jeunes femmes et une adolescente, fin septembre, a suscité dans le pays de nombreuses réactions et soulevé des questions liées à la définition du féminicide, mais aussi à la précarité et au narcotrafic.
267 féminicides en 2024.
Gouvernement.
Éphémère
Le gouvernement le plus éphémère depuis plus d’un siècle.
Durée du gouvernement Lecornu : 836 minutes.
Ce fiasco express en rappelle deux autres, bien plus anciens. Celui d’Alexandre Ribot, d’abord. Le 9 juin 1914, ce magistrat et conseiller d’Etat libéral et assez modéré constitue son nouveau gouvernement – on dit alors « cabinet » –, le troisième qu’il est amené à diriger sous la IIIe République. Trois jours plus tard, ce gouvernement est renversé par la gauche le jour même de sa présentation à l’Assemblée nationale.
Deuxième précédent de gouvernement fugace, celui de Frédéric François-Marsal. Le 8 juin 1924, cet homme d’affaires et homme politique de la droite républicaine est nommé président du Conseil, donc chef de l’exécutif. Le lendemain, il forme son gouvernement, en s’attribuant à lui-même le portefeuille des finances. Un jour encore, et le voici renversé par la Chambre des députés.
Trails.
Sources de rumeurs
Créent malversations
Facilité de découdre
Scléroser les temps.
Meurtri en actions
Vilaine compétition
Esprit d ’ ouverture
Arrêter affrontement.
Attendre le dictateur
Le roi sauveteur ! .
Svalbard
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Poème en Phonétique
kɑ̃.
majə dy silɑ̃sə
yze lεz- œʁ
lɑ̃pə dε nɥi.
epolə dy vɑ̃
ubli lenεʁʒi
etwalə də vilə.
ʃɑ̃ dy suʁiʁə
lymjεʁə də ʒwa.
ɡaza.
la natyʁə a dispaʁy
lε deɡaz- ɑ̃viʁɔnəmɑ̃to sɔ̃ kɔ̃sideʁabləz- e ɔbεʁe la pɔsibilite də vivʁə dɑ̃z- ynə ɡʁɑ̃də paʁti də lɑ̃klavə, i kɔ̃pʁi dɑ̃ lipɔtεzə dœ̃ sese lə fø. « lefɔ̃dʁəmɑ̃ dεz- ɛ̃fʁastʁyktyʁə də tʁεtəmɑ̃ dεz- oz- yze, la dεstʁyksjɔ̃ dε sistεmə də kanalizasjɔ̃ e lə ʁəkuʁz- o fɔsə sεptik puʁ lasεnisəmɑ̃ ɔ̃ pʁɔbabləmɑ̃ akʁy la kɔ̃taminasjɔ̃ də la napə fʁeatikə ki alimɑ̃tə la maʒəʁə paʁti də lo də ɡaza, tɑ̃di kə lε zonə maʁinəz- e kotjεʁə sɔ̃t- eɡaləmɑ̃ supsɔne dεtʁə kɔ̃tamineəs », a pwɛ̃te o sɔ̃ dεʁnje bilɑ̃, lə døz- ɔktɔbʁə.
tut- εt- a ʁəkɔ̃stʁɥiʁə, dεz- iməbləz- o ʁezo do u dasεnisəmɑ̃. « la sitɥasjɔ̃ nə sεsə dɑ̃piʁe, si səla kɔ̃tinɥ, la dεstʁyksjɔ̃ də lɑ̃viʁɔnəmɑ̃ səʁa tεllə kεllə afεktəʁa la sɑ̃te dεz- abitɑ̃ də ɡaza syʁ dε ʒeneʁasjɔ̃s », a pʁevəny lə pʁɔɡʁamə dε nasjɔ̃z- yni puʁ lɑ̃viʁɔnəmɑ̃ lə vɛ̃t- tʁwa sεptɑ̃bʁə. apʁεz- aneɑ̃tisəmɑ̃, sε lotʁə mo ki vjɛ̃ a lεspʁi ɑ̃ fʁɑ̃ʃisɑ̃ la fʁɔ̃tjεʁə vεʁz- isʁaεl : ɛ̃vivablə.
bjən « tʁœ̃pe ». (dø sɑ̃ kaʁɑ̃tə katʁə)
kɑ̃kʁə diplɔmatə
dublə diskuʁ dεz- etaz- yni
ɔ̃ aʁme pɥisamɑ̃ isʁaεl
puʁ likide lε palεstinjɛ̃
ətaz- yni, səl, suεte
ɛ̃poze vʁε pε bɑ̃kalə
nɔ̃ kɔ̃fjɑ̃sə o ʒenɔsidə.
pεiz- aʁabə sɔ̃ kɔ̃plisə
tʁomatismə də ʁepʁesjɔ̃
tuʒuʁz- afame lεz- εspwaʁ
dε tɑ̃tasjɔ̃ bεllikøzə.
ʁysi.
œ̃n- avəniʁ ipɔteke
lə syʁeʒimə dɑ̃ ləkεl lekɔnɔmi εt- ɑ̃tʁe dəpɥi lə deby də la ɡeʁə avεk lεksplozjɔ̃ dε depɑ̃sə də defɑ̃sə, ki ʁəpʁezɑ̃te dezɔʁmε kaʁɑ̃tə puʁ sɑ̃ də la depɑ̃sə pyblikə, sε œʁte a dε kɔ̃tʁɛ̃tə ki ɔ̃ deklɑ̃ʃe ynə fɔʁtə ɛ̃flasjɔ̃. lε penyʁi də mɛ̃ dœvʁə, lε sɑ̃ksjɔ̃z- ɔksidɑ̃taləz- e lε kapasite də pʁɔdyksjɔ̃ limitez- ɔ̃ pʁɔvɔke ynə oɡmɑ̃tasjɔ̃ ʒeneʁalize dε pʁi e dε salεʁə, kə la bɑ̃kə sɑ̃tʁalə a tɑ̃te də kɔ̃təniʁ ɡʁasə a ynə oɡmɑ̃tasjɔ̃ vεʁtiʒinøzə dε to dɛ̃teʁε. oʒuʁdɥi lɛ̃flasjɔ̃ a ʁəflye, mε lə ʁesεʁəmɑ̃ mɔnetεʁə a asfiksje lə kʁedi, o pwɛ̃ kə, ɑ̃ dəɔʁ də laʁməmɑ̃, lekɔnɔmi εt- o pwɛ̃ mɔʁ.
ɑ̃n- aʁʒɑ̃tinə,
œ̃ tʁiplə « naʁkɔfeminisidə » pʁɔvɔkə lɛ̃diɲasjɔ̃
lə məʁtʁə paʁtikyljεʁəmɑ̃ vjɔle də dø ʒənə faməz- e ynə adɔlesɑ̃tə, fɛ̃ sεptɑ̃bʁə, a sysite dɑ̃ lə pεi də nɔ̃bʁøzə ʁeaksjɔ̃z- e suləve dε kεstjɔ̃ ljez- a la definisjɔ̃ dy feminisidə, mεz- osi a la pʁekaʁite e o naʁkɔtʁafik.
dø sɑ̃ swasɑ̃tə sεt feminisidəz- ɑ̃ dø milə vɛ̃t- katʁə.
ɡuvεʁnəmɑ̃.
efemεʁə
lə ɡuvεʁnəmɑ̃ lə plysz- efemεʁə dəpɥi plys dœ̃ sjεklə.
dyʁe dy ɡuvεʁnəmɑ̃ ləkɔʁny : ɥi sɑ̃ tʁɑ̃tə si- minytə.
sə fjasko εkspʁεsz- ɑ̃ ʁapεllə døz- otʁə, bjɛ̃ plysz- ɑ̃sjɛ̃. səlɥi dalεksɑ̃dʁə ʁibo, dabɔʁ. lə nəf ʒɥɛ̃ milə nəf sɑ̃ katɔʁzə, sə maʒistʁa e kɔ̃sεje dəta libeʁal e ase mɔdeʁe kɔ̃stitɥ sɔ̃ nuvo ɡuvεʁnəmɑ̃ ɔ̃ di alɔʁs « kabinət », lə tʁwazjεmə kil εt- aməne a diʁiʒe su la jji ʁepyblikə. tʁwa ʒuʁ plys taʁ, sə ɡuvεʁnəmɑ̃ ε ʁɑ̃vεʁse paʁ la ɡoʃə lə ʒuʁ mεmə də sa pʁezɑ̃tasjɔ̃ a lasɑ̃ble nasjɔnalə.
døzjεmə pʁesedɑ̃ də ɡuvεʁnəmɑ̃ fyɡasə, səlɥi də fʁedeʁik fʁɑ̃swa maʁsal. lə ɥi ʒɥɛ̃ milə nəf sɑ̃ vɛ̃t- katʁə, sεt ɔmə dafεʁəz- e ɔmə pɔlitikə də la dʁwatə ʁepyblikεnə ε nɔme pʁezide dy kɔ̃sεj, dɔ̃k ʃεf də lεɡzekytif. lə lɑ̃dəmɛ̃, il fɔʁmə sɔ̃ ɡuvεʁnəmɑ̃, ɑ̃ satʁibɥɑ̃ a lɥi mεmə lə pɔʁtəfœjə dε finɑ̃sə. œ̃ ʒuʁ ɑ̃kɔʁə, e lə vwasi ʁɑ̃vεʁse paʁ la ʃɑ̃bʁə dε depyte.
tʁaj.
suʁsə- də ʁymœʁ
kʁee malvεʁsasjɔ̃
fasilite də dekudʁə
skleʁoze lε tɑ̃.
məʁtʁi ɑ̃n- aksjɔ̃
vilεnə kɔ̃petisjɔ̃
εspʁi duvεʁtyʁə
aʁεte afʁɔ̃təmɑ̃.
atɑ̃dʁə lə diktatœʁ
lə ʁwa sovətœʁ ! .
majə dy silɑ̃sə
yze lεz- œʁ
lɑ̃pə dε nɥi.
epolə dy vɑ̃
ubli lenεʁʒi
etwalə də vilə.
ʃɑ̃ dy suʁiʁə
lymjεʁə də ʒwa.
ɡaza.
la natyʁə a dispaʁy
lε deɡaz- ɑ̃viʁɔnəmɑ̃to sɔ̃ kɔ̃sideʁabləz- e ɔbεʁe la pɔsibilite də vivʁə dɑ̃z- ynə ɡʁɑ̃də paʁti də lɑ̃klavə, i kɔ̃pʁi dɑ̃ lipɔtεzə dœ̃ sese lə fø. « lefɔ̃dʁəmɑ̃ dεz- ɛ̃fʁastʁyktyʁə də tʁεtəmɑ̃ dεz- oz- yze, la dεstʁyksjɔ̃ dε sistεmə də kanalizasjɔ̃ e lə ʁəkuʁz- o fɔsə sεptik puʁ lasεnisəmɑ̃ ɔ̃ pʁɔbabləmɑ̃ akʁy la kɔ̃taminasjɔ̃ də la napə fʁeatikə ki alimɑ̃tə la maʒəʁə paʁti də lo də ɡaza, tɑ̃di kə lε zonə maʁinəz- e kotjεʁə sɔ̃t- eɡaləmɑ̃ supsɔne dεtʁə kɔ̃tamineəs », a pwɛ̃te o sɔ̃ dεʁnje bilɑ̃, lə døz- ɔktɔbʁə.
tut- εt- a ʁəkɔ̃stʁɥiʁə, dεz- iməbləz- o ʁezo do u dasεnisəmɑ̃. « la sitɥasjɔ̃ nə sεsə dɑ̃piʁe, si səla kɔ̃tinɥ, la dεstʁyksjɔ̃ də lɑ̃viʁɔnəmɑ̃ səʁa tεllə kεllə afεktəʁa la sɑ̃te dεz- abitɑ̃ də ɡaza syʁ dε ʒeneʁasjɔ̃s », a pʁevəny lə pʁɔɡʁamə dε nasjɔ̃z- yni puʁ lɑ̃viʁɔnəmɑ̃ lə vɛ̃t- tʁwa sεptɑ̃bʁə. apʁεz- aneɑ̃tisəmɑ̃, sε lotʁə mo ki vjɛ̃ a lεspʁi ɑ̃ fʁɑ̃ʃisɑ̃ la fʁɔ̃tjεʁə vεʁz- isʁaεl : ɛ̃vivablə.
bjən « tʁœ̃pe ». (dø sɑ̃ kaʁɑ̃tə katʁə)
kɑ̃kʁə diplɔmatə
dublə diskuʁ dεz- etaz- yni
ɔ̃ aʁme pɥisamɑ̃ isʁaεl
puʁ likide lε palεstinjɛ̃
ətaz- yni, səl, suεte
ɛ̃poze vʁε pε bɑ̃kalə
nɔ̃ kɔ̃fjɑ̃sə o ʒenɔsidə.
pεiz- aʁabə sɔ̃ kɔ̃plisə
tʁomatismə də ʁepʁesjɔ̃
tuʒuʁz- afame lεz- εspwaʁ
dε tɑ̃tasjɔ̃ bεllikøzə.
ʁysi.
œ̃n- avəniʁ ipɔteke
lə syʁeʒimə dɑ̃ ləkεl lekɔnɔmi εt- ɑ̃tʁe dəpɥi lə deby də la ɡeʁə avεk lεksplozjɔ̃ dε depɑ̃sə də defɑ̃sə, ki ʁəpʁezɑ̃te dezɔʁmε kaʁɑ̃tə puʁ sɑ̃ də la depɑ̃sə pyblikə, sε œʁte a dε kɔ̃tʁɛ̃tə ki ɔ̃ deklɑ̃ʃe ynə fɔʁtə ɛ̃flasjɔ̃. lε penyʁi də mɛ̃ dœvʁə, lε sɑ̃ksjɔ̃z- ɔksidɑ̃taləz- e lε kapasite də pʁɔdyksjɔ̃ limitez- ɔ̃ pʁɔvɔke ynə oɡmɑ̃tasjɔ̃ ʒeneʁalize dε pʁi e dε salεʁə, kə la bɑ̃kə sɑ̃tʁalə a tɑ̃te də kɔ̃təniʁ ɡʁasə a ynə oɡmɑ̃tasjɔ̃ vεʁtiʒinøzə dε to dɛ̃teʁε. oʒuʁdɥi lɛ̃flasjɔ̃ a ʁəflye, mε lə ʁesεʁəmɑ̃ mɔnetεʁə a asfiksje lə kʁedi, o pwɛ̃ kə, ɑ̃ dəɔʁ də laʁməmɑ̃, lekɔnɔmi εt- o pwɛ̃ mɔʁ.
ɑ̃n- aʁʒɑ̃tinə,
œ̃ tʁiplə « naʁkɔfeminisidə » pʁɔvɔkə lɛ̃diɲasjɔ̃
lə məʁtʁə paʁtikyljεʁəmɑ̃ vjɔle də dø ʒənə faməz- e ynə adɔlesɑ̃tə, fɛ̃ sεptɑ̃bʁə, a sysite dɑ̃ lə pεi də nɔ̃bʁøzə ʁeaksjɔ̃z- e suləve dε kεstjɔ̃ ljez- a la definisjɔ̃ dy feminisidə, mεz- osi a la pʁekaʁite e o naʁkɔtʁafik.
dø sɑ̃ swasɑ̃tə sεt feminisidəz- ɑ̃ dø milə vɛ̃t- katʁə.
ɡuvεʁnəmɑ̃.
efemεʁə
lə ɡuvεʁnəmɑ̃ lə plysz- efemεʁə dəpɥi plys dœ̃ sjεklə.
dyʁe dy ɡuvεʁnəmɑ̃ ləkɔʁny : ɥi sɑ̃ tʁɑ̃tə si- minytə.
sə fjasko εkspʁεsz- ɑ̃ ʁapεllə døz- otʁə, bjɛ̃ plysz- ɑ̃sjɛ̃. səlɥi dalεksɑ̃dʁə ʁibo, dabɔʁ. lə nəf ʒɥɛ̃ milə nəf sɑ̃ katɔʁzə, sə maʒistʁa e kɔ̃sεje dəta libeʁal e ase mɔdeʁe kɔ̃stitɥ sɔ̃ nuvo ɡuvεʁnəmɑ̃ ɔ̃ di alɔʁs « kabinət », lə tʁwazjεmə kil εt- aməne a diʁiʒe su la jji ʁepyblikə. tʁwa ʒuʁ plys taʁ, sə ɡuvεʁnəmɑ̃ ε ʁɑ̃vεʁse paʁ la ɡoʃə lə ʒuʁ mεmə də sa pʁezɑ̃tasjɔ̃ a lasɑ̃ble nasjɔnalə.
døzjεmə pʁesedɑ̃ də ɡuvεʁnəmɑ̃ fyɡasə, səlɥi də fʁedeʁik fʁɑ̃swa maʁsal. lə ɥi ʒɥɛ̃ milə nəf sɑ̃ vɛ̃t- katʁə, sεt ɔmə dafεʁəz- e ɔmə pɔlitikə də la dʁwatə ʁepyblikεnə ε nɔme pʁezide dy kɔ̃sεj, dɔ̃k ʃεf də lεɡzekytif. lə lɑ̃dəmɛ̃, il fɔʁmə sɔ̃ ɡuvεʁnəmɑ̃, ɑ̃ satʁibɥɑ̃ a lɥi mεmə lə pɔʁtəfœjə dε finɑ̃sə. œ̃ ʒuʁ ɑ̃kɔʁə, e lə vwasi ʁɑ̃vεʁse paʁ la ʃɑ̃bʁə dε depyte.
tʁaj.
suʁsə- də ʁymœʁ
kʁee malvεʁsasjɔ̃
fasilite də dekudʁə
skleʁoze lε tɑ̃.
məʁtʁi ɑ̃n- aksjɔ̃
vilεnə kɔ̃petisjɔ̃
εspʁi duvεʁtyʁə
aʁεte afʁɔ̃təmɑ̃.
atɑ̃dʁə lə diktatœʁ
lə ʁwa sovətœʁ ! .