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Poeme : Génépi 2



Génépi 2

Les pépites jaunes odorisent les poches,
Ces outres sont dès lors le refuge bénit,
Par les gerbes exhalant les senteurs d’un génie,
Se nommant génépi, fruit laborieux des roches.

Il s’agit à présent, dans un avenir proche,
De concocter une liqueur au teint jauni,
En prenant l’éthanol et le sucre candy,
Comme révélateurs finalisants l’accroche.

Suit pour la mixture, juste à l’état d’ébauche,
Une mise en quarantaine ou il est interdit,
Toute dégustation qui se terminent en débauche…

Laisser les phéromones agir à pas petit,
Car la fine s’obtient en soulevant la cloche,
Quand arrive l’hiver en ses jours les plus moches.
Transvers

PostScriptum

chose promise chose due ! !


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Poème en Phonétique

lε pepitə ʒonəz- ɔdɔʁize lε poʃə,
sεz- utʁə- sɔ̃ dε lɔʁ lə ʁəfyʒə beni,
paʁ lε ʒεʁbəz- εɡzalɑ̃ lε sɑ̃tœʁ dœ̃ ʒeni,
sə nɔmɑ̃ ʒenepi, fʁɥi labɔʁjø dε ʁoʃə.

il saʒi a pʁezɑ̃, dɑ̃z- œ̃n- avəniʁ pʁoʃə,
də kɔ̃kɔkte ynə likœʁ o tɛ̃ ʒoni,
ɑ̃ pʁənɑ̃ letanɔl e lə sykʁə kɑ̃di,
kɔmə ʁevelatœʁ finalizɑ̃ lakʁoʃə.

sɥi puʁ la mikstyʁə, ʒystə a leta deboʃə,
ynə mizə ɑ̃ kaʁɑ̃tεnə u il εt- ɛ̃tεʁdi,
tutə deɡystasjɔ̃ ki sə tεʁmine ɑ̃ deboʃə…

lεse lε feʁomonəz- aʒiʁ a pa pəti,
kaʁ la finə sɔptjɛ̃ ɑ̃ suləvɑ̃ la kloʃə,
kɑ̃t- aʁivə livεʁ ɑ̃ sε ʒuʁ lε plys moʃə.