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Poeme : Guérison



Guérison

La tristesse révolue enfin passe.
Les angoisses désarmantes en trépas
De l’esprit grouillent, foisonnent d’airs fadasses,
Tant ces guerres à soi meme mettent à plat.

Et voilà q’une silhouette féminine,
Vous ravive l’énergie enterrée…
On converse, convertit, sa morne mine
En calin, en amour avéré…

On parcoure cette envie, ce désir,
En fantasmes endormis par dépit,
O surprise, ce cœur bat pour saisir,
Ce moment, ces soupirs ; Comme on vit !

Enlacées, électriques sont les corps !
Liquéfiés, en tempete sont les flots !
Rassemblés en une ame, tout est or
Dans l’instant où les cris sont échos.
Transvers

PostScriptum

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Poème en Phonétique

la tʁistεsə ʁevɔlɥ ɑ̃fɛ̃ pasə.
lεz- ɑ̃ɡwasə dezaʁmɑ̃təz- ɑ̃ tʁepa
də lεspʁi ɡʁuje, fwazɔne dεʁ fadasə,
tɑ̃ sε ɡeʁəz- a swa məmə mεte a pla.

e vwala kynə siluεtə femininə,
vu ʁavivə lenεʁʒi ɑ̃teʁe…
ɔ̃ kɔ̃vεʁsə, kɔ̃vεʁti, sa mɔʁnə minə
ɑ̃ kalɛ̃, ɑ̃n- amuʁ aveʁe…

ɔ̃ paʁkuʁə sεtə ɑ̃vi, sə deziʁ,
ɑ̃ fɑ̃tasməz- ɑ̃dɔʁmi paʁ depi,
o syʁpʁizə, sə kœʁ ba puʁ sεziʁ,
sə mɔmɑ̃, sε supiʁ, kɔmə ɔ̃ vit !

ɑ̃lase, elεktʁik sɔ̃ lε kɔʁ !
likefje, ɑ̃ tɑ̃pətə sɔ̃ lε flo !
ʁasɑ̃blez- ɑ̃n- ynə amə, tut- εt- ɔʁ
dɑ̃ lɛ̃stɑ̃ u lε kʁi sɔ̃t- eʃo.