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Poeme : Les Camps



Les Camps

Vous êtes patis dans les camps,
Certes je ne vous ai jamais connus,
Mais vous m’impressinnez tant,
En partants vers l’inconnu…
Vous ne pouvez pas savoir,
Si vous alliez vivre ou mourir,
On n e peut pas savoir,
Combien ils vous on fait souffrir,
C’était des bourreaux,
Qui n’avaient rien dans leurs cerveau,
Ils voulaient montrer leurs virilités
E vous faisant pleurer…
Je ne peux supporter un tel manque de respect,
En vers des gens si charmants,
Il ne faut pas se taire,
Si on vous oubliez se serait comme vous re tuer…
Les allemands, qui maintenant s’en veulent tant,
De vous avoir humilié, tué…
Ils n’avaient pas de cœur,
Pensant qu’il « sauvaient » le monde,
Ils l’ont rendu encore plus immonde…
Je vous admires tant,
Je vous aime tant,
Je ne pourrais vous oublier,
Vous serez a jamais dans mes pensées…
Tristesse..

PostScriptum

dans mon coeur. . .


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Poème en Phonétique

vuz- εtə pati dɑ̃ lε kɑ̃,
sεʁtə- ʒə nə vuz- ε ʒamε kɔnys,
mε vu mɛ̃pʁesine tɑ̃,
ɑ̃ paʁtɑ̃ vεʁ lɛ̃kɔny…
vu nə puve pa savwaʁ,
si vuz- alje vivʁə u muʁiʁ,
ɔ̃ εn ə pø pa savwaʁ,
kɔ̃bjɛ̃ il vuz- ɔ̃ fε sufʁiʁ,
setε dε buʁʁo,
ki navε ʁjɛ̃ dɑ̃ lœʁ sεʁvo,
il vulε mɔ̃tʁe lœʁ viʁilite
ə vu fəzɑ̃ pləʁe…
ʒə nə pø sypɔʁte œ̃ tεl mɑ̃kə də ʁεspε,
ɑ̃ vεʁ dε ʒɑ̃ si ʃaʁmɑ̃,
il nə fo pa sə tεʁə,
si ɔ̃ vuz- ublje sə səʁε kɔmə vu ʁə tɥe…
lεz- almɑ̃, ki mɛ̃tənɑ̃ sɑ̃ vəle tɑ̃,
də vuz- avwaʁ ymilje, tye…
il navε pa də kœʁ,
pɑ̃sɑ̃ kil « sovεɛ̃t » lə mɔ̃də,
il lɔ̃ ʁɑ̃dy ɑ̃kɔʁə plysz- imɔ̃də…
ʒə vuz- admiʁə tɑ̃,
ʒə vuz- εmə tɑ̃,
ʒə nə puʁʁε vuz- ublje,
vu səʁez- a ʒamε dɑ̃ mε pɑ̃se…