Poeme : Samurai 2
Samurai 2
N’arrête pas un samurai en quête de vérité,
La vérité C qu’ils ont peur de l’étranger,
Etrange d’être suspecté après les avoir protégés,
Défend le faible défonce le fort fais des efforts,
Efforce toi de rester vertueux et droit si tu tan sort,
A la sortie découpe ces porcs prouvent leurs torts,
A tort et à travers ils l’accusent goût amer,
Amertume fin d’une aire de justice arrive le vice,
Le samurai arrive en ville,
Juste pour un bon repos et quelques filles,
Ville puante ponctuée de crime,
Crime effarent officiés suspectant,
Les officiés le stop mains tremblantes,
Hey toi samurai… .
Personne ne cherche la mort ici,
Reste tranquille ne crée aucun souci,
Parfait ! ! Katana dans ton fourreau reste ainsi,
Ainsi nos vies resteront paisibles,
Mais…
On doit t’arrêter pour un interrogatoire hostile,
Nos supérieures te suspectent d’un crime…
Comment osez-vous ! ! !
J’ai tué 112 mercenaires pour vous,
J’ai vu les larmes du capitaine mort à mes genoux,
Je souhaite me reposer je suis a bout,
Ecartez vous de mon chemin,
Meute de policier bande de chien,
Le premier qui bouge n’a plus de main,
Mon katana-mizu n’épargne rien,
Indiqué moi une bonne maison ou je vous plaints…
Par ici mon seigneur,
Au bous de la rue c’est la meilleur,
Le samurai part rêve d’une nuit de bonheur,
Un bon bain pour enlever sa sueur,
Une geisha et du bonheur,
Alors que les policiers… ,
Dans son dos le méprises,
Complote disent et médisent,
Pour eux samurai imbibé de bêtise,
A la recherche d’une voie futile,
Dépassé par le temps qui lui fil,
N’arrête pas un samurai en quête de vérité,
La vérité C qu’ils ont peur de l’étranger,
Etrange d’être suspecté après les avoir protégés,
Défend le faible défonce le fort fais des efforts,
Efforce toi de rester vertueux et droit si tu tan sort,
A la sortie découpe ces porcs prouvent leurs torts,
A tort et à travers ils l’accusent goût amer,
Amertume fin d’une aire de justice arrive le vice,
Affalé sur ces coussins verre d’alcool à la main,
Les geishas dansent et jouent du tambourin,
Son cœur s’emballe atmosphère malsaine,
Pensé érotique il voudrait qu’elle soit sienne,
Ces anches ondules ces formes fabules l’érotisme,
Le saké descend l’empêche d’être triste,
Les geishas attendent l’heure fatidique,
Leurs regards se croisent scène critique,
Elles se ruent sur le samurai le contrat est strique,
Assassiner dépouiller et ramener sa tête,
Le samurai bourré se fait touché,
Ses opposantes harpies n’ont pas chaumées,
Le combat à peine commencer le samuraï est touché,
Pas le temps d’esquiver ses Geishas l’ont drogué,
Fin terrible pour un fanatique de l’honneur,
Mourir drogué par des filles de malheur,
Mourir piégé dans un monde empli de peur,
Mais la vie aime ce samouraï lui son fils sans peur,
A l’image d’une bête enragée piégé,
Il saute sur la plus proche,
L’égorge en un mouvement sans faire ses poches,
La boucherie fut courte,
Tout comme leur corps après se foutoire,
Contre poison au saké dans la gorge,
Il marche et titube s’accroche au porche,
Esprit toujours vif il conclue,
Les seuls à vouloir sa mort sont ses vendus,
En tête une idée la vengeance
Pas de pitié ne pas épargner ils l’ont bien cherchés,
Leur poison pour sentence,
Ses policier vont payer pour l’avoir sous estimé,
Un massacre de plus dans sa vie,
Des cries en plus pendant ses nuits,
La mort pour seul amie,
N’arrête pas un samurai en quête de vérité,
La vérité C qu’ils ont peur de l’étranger,
Etrange d’être suspecté après les avoir protégés,
Défend le faible défonce le fort fais des efforts,
Efforce toi de rester vertueux et droit si tu tan sort,
A la sortie découpe ces porcs prouvent leurs torts,
A tort et à travers ils l’accusent goût amer,
Amertume fin d’une aire de justice arrive le vice.
La vérité C qu’ils ont peur de l’étranger,
Etrange d’être suspecté après les avoir protégés,
Défend le faible défonce le fort fais des efforts,
Efforce toi de rester vertueux et droit si tu tan sort,
A la sortie découpe ces porcs prouvent leurs torts,
A tort et à travers ils l’accusent goût amer,
Amertume fin d’une aire de justice arrive le vice,
Le samurai arrive en ville,
Juste pour un bon repos et quelques filles,
Ville puante ponctuée de crime,
Crime effarent officiés suspectant,
Les officiés le stop mains tremblantes,
Hey toi samurai… .
Personne ne cherche la mort ici,
Reste tranquille ne crée aucun souci,
Parfait ! ! Katana dans ton fourreau reste ainsi,
Ainsi nos vies resteront paisibles,
Mais…
On doit t’arrêter pour un interrogatoire hostile,
Nos supérieures te suspectent d’un crime…
Comment osez-vous ! ! !
J’ai tué 112 mercenaires pour vous,
J’ai vu les larmes du capitaine mort à mes genoux,
Je souhaite me reposer je suis a bout,
Ecartez vous de mon chemin,
Meute de policier bande de chien,
Le premier qui bouge n’a plus de main,
Mon katana-mizu n’épargne rien,
Indiqué moi une bonne maison ou je vous plaints…
Par ici mon seigneur,
Au bous de la rue c’est la meilleur,
Le samurai part rêve d’une nuit de bonheur,
Un bon bain pour enlever sa sueur,
Une geisha et du bonheur,
Alors que les policiers… ,
Dans son dos le méprises,
Complote disent et médisent,
Pour eux samurai imbibé de bêtise,
A la recherche d’une voie futile,
Dépassé par le temps qui lui fil,
N’arrête pas un samurai en quête de vérité,
La vérité C qu’ils ont peur de l’étranger,
Etrange d’être suspecté après les avoir protégés,
Défend le faible défonce le fort fais des efforts,
Efforce toi de rester vertueux et droit si tu tan sort,
A la sortie découpe ces porcs prouvent leurs torts,
A tort et à travers ils l’accusent goût amer,
Amertume fin d’une aire de justice arrive le vice,
Affalé sur ces coussins verre d’alcool à la main,
Les geishas dansent et jouent du tambourin,
Son cœur s’emballe atmosphère malsaine,
Pensé érotique il voudrait qu’elle soit sienne,
Ces anches ondules ces formes fabules l’érotisme,
Le saké descend l’empêche d’être triste,
Les geishas attendent l’heure fatidique,
Leurs regards se croisent scène critique,
Elles se ruent sur le samurai le contrat est strique,
Assassiner dépouiller et ramener sa tête,
Le samurai bourré se fait touché,
Ses opposantes harpies n’ont pas chaumées,
Le combat à peine commencer le samuraï est touché,
Pas le temps d’esquiver ses Geishas l’ont drogué,
Fin terrible pour un fanatique de l’honneur,
Mourir drogué par des filles de malheur,
Mourir piégé dans un monde empli de peur,
Mais la vie aime ce samouraï lui son fils sans peur,
A l’image d’une bête enragée piégé,
Il saute sur la plus proche,
L’égorge en un mouvement sans faire ses poches,
La boucherie fut courte,
Tout comme leur corps après se foutoire,
Contre poison au saké dans la gorge,
Il marche et titube s’accroche au porche,
Esprit toujours vif il conclue,
Les seuls à vouloir sa mort sont ses vendus,
En tête une idée la vengeance
Pas de pitié ne pas épargner ils l’ont bien cherchés,
Leur poison pour sentence,
Ses policier vont payer pour l’avoir sous estimé,
Un massacre de plus dans sa vie,
Des cries en plus pendant ses nuits,
La mort pour seul amie,
N’arrête pas un samurai en quête de vérité,
La vérité C qu’ils ont peur de l’étranger,
Etrange d’être suspecté après les avoir protégés,
Défend le faible défonce le fort fais des efforts,
Efforce toi de rester vertueux et droit si tu tan sort,
A la sortie découpe ces porcs prouvent leurs torts,
A tort et à travers ils l’accusent goût amer,
Amertume fin d’une aire de justice arrive le vice.
Viivii666
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Poème en Phonétique
naʁεtə pa œ̃ samyʁε ɑ̃ kεtə də veʁite,
la veʁite se kilz- ɔ̃ pœʁ də letʁɑ̃ʒe,
εtʁɑ̃ʒə dεtʁə syspεkte apʁε lεz- avwaʁ pʁɔteʒe,
defɑ̃ lə fεblə defɔ̃sə lə fɔʁ fε dεz- efɔʁ,
efɔʁsə twa də ʁεste vεʁtɥøz- e dʁwa si ty tɑ̃ sɔʁ,
a la sɔʁti dekupə sε pɔʁk pʁuve lœʁ tɔʁ,
a tɔʁ e a tʁavεʁz- il lakyze ɡu ame,
amεʁtymə fɛ̃ dynə εʁə də ʒystisə aʁivə lə visə,
lə samyʁε aʁivə ɑ̃ vilə,
ʒystə puʁ œ̃ bɔ̃ ʁəpoz- e kεlk fijə,
vilə pɥɑ̃tə pɔ̃ktye də kʁimə,
kʁimə efaʁe ɔfisje syspεktɑ̃,
lεz- ɔfisje lə stɔp mɛ̃ tʁɑ̃blɑ̃tə,
e twa samyʁε…
pεʁsɔnə nə ʃεʁʃə la mɔʁ isi,
ʁεstə tʁɑ̃kjə nə kʁe okœ̃ susi,
paʁfε ! ! katana dɑ̃ tɔ̃ fuʁʁo ʁεstə ɛ̃si,
ɛ̃si no vi ʁεstəʁɔ̃ pεziblə,
mε…
ɔ̃ dwa taʁεte puʁ œ̃n- ɛ̃teʁɔɡatwaʁə ɔstilə,
no sypeʁjəʁə tə syspεkte dœ̃ kʁimə…
kɔmɑ̃ oze vu ! ! !
ʒε tye sɑ̃ duzə mεʁsənεʁə puʁ vu,
ʒε vy lε laʁmə- dy kapitεnə mɔʁ a mε ʒənu,
ʒə suεtə mə ʁəpoze ʒə sɥiz- a bu,
əkaʁte vu də mɔ̃ ʃəmɛ̃,
møtə də pɔlisje bɑ̃də də ʃjɛ̃,
lə pʁəmje ki buʒə na plys də mɛ̃,
mɔ̃ katana mizy nepaʁɲə ʁjɛ̃,
ɛ̃dike mwa ynə bɔnə mεzɔ̃ u ʒə vu plɛ̃…
paʁ isi mɔ̃ sεɲœʁ,
o bus də la ʁy sε la mεjœʁ,
lə samyʁε paʁ ʁεvə dynə nɥi də bɔnœʁ,
œ̃ bɔ̃ bɛ̃ puʁ ɑ̃ləve sa sɥœʁ,
ynə ʒεʃa e dy bɔnœʁ,
alɔʁ kə lε pɔlisje… ,
dɑ̃ sɔ̃ do lə mepʁizə,
kɔ̃plɔtə dize e medize,
puʁ ø samyʁε ɛ̃bibe də bεtizə,
a la ʁəʃεʁʃə dynə vwa fytilə,
depase paʁ lə tɑ̃ ki lɥi fil,
naʁεtə pa œ̃ samyʁε ɑ̃ kεtə də veʁite,
la veʁite se kilz- ɔ̃ pœʁ də letʁɑ̃ʒe,
εtʁɑ̃ʒə dεtʁə syspεkte apʁε lεz- avwaʁ pʁɔteʒe,
defɑ̃ lə fεblə defɔ̃sə lə fɔʁ fε dεz- efɔʁ,
efɔʁsə twa də ʁεste vεʁtɥøz- e dʁwa si ty tɑ̃ sɔʁ,
a la sɔʁti dekupə sε pɔʁk pʁuve lœʁ tɔʁ,
a tɔʁ e a tʁavεʁz- il lakyze ɡu ame,
amεʁtymə fɛ̃ dynə εʁə də ʒystisə aʁivə lə visə,
afale syʁ sε kusɛ̃ veʁə dalkɔl a la mɛ̃,
lε ʒεʃa dɑ̃se e ʒue dy tɑ̃buʁɛ̃,
sɔ̃ kœʁ sɑ̃balə atmɔsfεʁə malsεnə,
pɑ̃se eʁɔtikə il vudʁε kεllə swa sjεnə,
sεz- ɑ̃ʃəz- ɔ̃dylə sε fɔʁmə- fabylə leʁɔtismə,
lə sake desɑ̃ lɑ̃pεʃə dεtʁə tʁistə,
lε ʒεʃaz- atɑ̃de lœʁ fatidikə,
lœʁ ʁəɡaʁd sə kʁwaze sεnə kʁitikə,
εllə sə ʁye syʁ lə samyʁε lə kɔ̃tʁa ε stʁikə,
asasine depuje e ʁaməne sa tεtə,
lə samyʁε buʁʁe sə fε tuʃe,
sεz- ɔpozɑ̃tə-aʁpi nɔ̃ pa ʃome,
lə kɔ̃ba a pεnə kɔmɑ̃se lə samyʁaj ε tuʃe,
pa lə tɑ̃ dεskive sε ʒεʃa lɔ̃ dʁɔɡe,
fɛ̃ teʁiblə puʁ œ̃ fanatikə də lɔnœʁ,
muʁiʁ dʁɔɡe paʁ dε fijə də malœʁ,
muʁiʁ pjeʒe dɑ̃z- œ̃ mɔ̃də ɑ̃pli də pœʁ,
mε la vi εmə sə samuʁaj lɥi sɔ̃ fis sɑ̃ pœʁ,
a limaʒə dynə bεtə ɑ̃ʁaʒe pjeʒe,
il sotə syʁ la plys pʁoʃə,
leɡɔʁʒə ɑ̃n- œ̃ muvəmɑ̃ sɑ̃ fεʁə sε poʃə,
la buʃəʁi fy kuʁtə,
tu kɔmə lœʁ kɔʁz- apʁε sə futwaʁə,
kɔ̃tʁə pwazɔ̃ o sake dɑ̃ la ɡɔʁʒə,
il maʁʃə e titybə sakʁoʃə o pɔʁʃə,
εspʁi tuʒuʁ vif il kɔ̃klɥ,
lε səlz- a vulwaʁ sa mɔʁ sɔ̃ sε vɑ̃dys,
ɑ̃ tεtə ynə ide la vɑ̃ʒɑ̃sə
pa də pitje nə pa epaʁɲe il lɔ̃ bjɛ̃ ʃεʁʃe,
lœʁ pwazɔ̃ puʁ sɑ̃tɑ̃sə,
sε pɔlisje vɔ̃ pεje puʁ lavwaʁ suz- εstime,
œ̃ masakʁə də plys dɑ̃ sa vi,
dε kʁiz- ɑ̃ plys pɑ̃dɑ̃ sε nɥi,
la mɔʁ puʁ səl ami,
naʁεtə pa œ̃ samyʁε ɑ̃ kεtə də veʁite,
la veʁite se kilz- ɔ̃ pœʁ də letʁɑ̃ʒe,
εtʁɑ̃ʒə dεtʁə syspεkte apʁε lεz- avwaʁ pʁɔteʒe,
defɑ̃ lə fεblə defɔ̃sə lə fɔʁ fε dεz- efɔʁ,
efɔʁsə twa də ʁεste vεʁtɥøz- e dʁwa si ty tɑ̃ sɔʁ,
a la sɔʁti dekupə sε pɔʁk pʁuve lœʁ tɔʁ,
a tɔʁ e a tʁavεʁz- il lakyze ɡu ame,
amεʁtymə fɛ̃ dynə εʁə də ʒystisə aʁivə lə visə.
la veʁite se kilz- ɔ̃ pœʁ də letʁɑ̃ʒe,
εtʁɑ̃ʒə dεtʁə syspεkte apʁε lεz- avwaʁ pʁɔteʒe,
defɑ̃ lə fεblə defɔ̃sə lə fɔʁ fε dεz- efɔʁ,
efɔʁsə twa də ʁεste vεʁtɥøz- e dʁwa si ty tɑ̃ sɔʁ,
a la sɔʁti dekupə sε pɔʁk pʁuve lœʁ tɔʁ,
a tɔʁ e a tʁavεʁz- il lakyze ɡu ame,
amεʁtymə fɛ̃ dynə εʁə də ʒystisə aʁivə lə visə,
lə samyʁε aʁivə ɑ̃ vilə,
ʒystə puʁ œ̃ bɔ̃ ʁəpoz- e kεlk fijə,
vilə pɥɑ̃tə pɔ̃ktye də kʁimə,
kʁimə efaʁe ɔfisje syspεktɑ̃,
lεz- ɔfisje lə stɔp mɛ̃ tʁɑ̃blɑ̃tə,
e twa samyʁε…
pεʁsɔnə nə ʃεʁʃə la mɔʁ isi,
ʁεstə tʁɑ̃kjə nə kʁe okœ̃ susi,
paʁfε ! ! katana dɑ̃ tɔ̃ fuʁʁo ʁεstə ɛ̃si,
ɛ̃si no vi ʁεstəʁɔ̃ pεziblə,
mε…
ɔ̃ dwa taʁεte puʁ œ̃n- ɛ̃teʁɔɡatwaʁə ɔstilə,
no sypeʁjəʁə tə syspεkte dœ̃ kʁimə…
kɔmɑ̃ oze vu ! ! !
ʒε tye sɑ̃ duzə mεʁsənεʁə puʁ vu,
ʒε vy lε laʁmə- dy kapitεnə mɔʁ a mε ʒənu,
ʒə suεtə mə ʁəpoze ʒə sɥiz- a bu,
əkaʁte vu də mɔ̃ ʃəmɛ̃,
møtə də pɔlisje bɑ̃də də ʃjɛ̃,
lə pʁəmje ki buʒə na plys də mɛ̃,
mɔ̃ katana mizy nepaʁɲə ʁjɛ̃,
ɛ̃dike mwa ynə bɔnə mεzɔ̃ u ʒə vu plɛ̃…
paʁ isi mɔ̃ sεɲœʁ,
o bus də la ʁy sε la mεjœʁ,
lə samyʁε paʁ ʁεvə dynə nɥi də bɔnœʁ,
œ̃ bɔ̃ bɛ̃ puʁ ɑ̃ləve sa sɥœʁ,
ynə ʒεʃa e dy bɔnœʁ,
alɔʁ kə lε pɔlisje… ,
dɑ̃ sɔ̃ do lə mepʁizə,
kɔ̃plɔtə dize e medize,
puʁ ø samyʁε ɛ̃bibe də bεtizə,
a la ʁəʃεʁʃə dynə vwa fytilə,
depase paʁ lə tɑ̃ ki lɥi fil,
naʁεtə pa œ̃ samyʁε ɑ̃ kεtə də veʁite,
la veʁite se kilz- ɔ̃ pœʁ də letʁɑ̃ʒe,
εtʁɑ̃ʒə dεtʁə syspεkte apʁε lεz- avwaʁ pʁɔteʒe,
defɑ̃ lə fεblə defɔ̃sə lə fɔʁ fε dεz- efɔʁ,
efɔʁsə twa də ʁεste vεʁtɥøz- e dʁwa si ty tɑ̃ sɔʁ,
a la sɔʁti dekupə sε pɔʁk pʁuve lœʁ tɔʁ,
a tɔʁ e a tʁavεʁz- il lakyze ɡu ame,
amεʁtymə fɛ̃ dynə εʁə də ʒystisə aʁivə lə visə,
afale syʁ sε kusɛ̃ veʁə dalkɔl a la mɛ̃,
lε ʒεʃa dɑ̃se e ʒue dy tɑ̃buʁɛ̃,
sɔ̃ kœʁ sɑ̃balə atmɔsfεʁə malsεnə,
pɑ̃se eʁɔtikə il vudʁε kεllə swa sjεnə,
sεz- ɑ̃ʃəz- ɔ̃dylə sε fɔʁmə- fabylə leʁɔtismə,
lə sake desɑ̃ lɑ̃pεʃə dεtʁə tʁistə,
lε ʒεʃaz- atɑ̃de lœʁ fatidikə,
lœʁ ʁəɡaʁd sə kʁwaze sεnə kʁitikə,
εllə sə ʁye syʁ lə samyʁε lə kɔ̃tʁa ε stʁikə,
asasine depuje e ʁaməne sa tεtə,
lə samyʁε buʁʁe sə fε tuʃe,
sεz- ɔpozɑ̃tə-aʁpi nɔ̃ pa ʃome,
lə kɔ̃ba a pεnə kɔmɑ̃se lə samyʁaj ε tuʃe,
pa lə tɑ̃ dεskive sε ʒεʃa lɔ̃ dʁɔɡe,
fɛ̃ teʁiblə puʁ œ̃ fanatikə də lɔnœʁ,
muʁiʁ dʁɔɡe paʁ dε fijə də malœʁ,
muʁiʁ pjeʒe dɑ̃z- œ̃ mɔ̃də ɑ̃pli də pœʁ,
mε la vi εmə sə samuʁaj lɥi sɔ̃ fis sɑ̃ pœʁ,
a limaʒə dynə bεtə ɑ̃ʁaʒe pjeʒe,
il sotə syʁ la plys pʁoʃə,
leɡɔʁʒə ɑ̃n- œ̃ muvəmɑ̃ sɑ̃ fεʁə sε poʃə,
la buʃəʁi fy kuʁtə,
tu kɔmə lœʁ kɔʁz- apʁε sə futwaʁə,
kɔ̃tʁə pwazɔ̃ o sake dɑ̃ la ɡɔʁʒə,
il maʁʃə e titybə sakʁoʃə o pɔʁʃə,
εspʁi tuʒuʁ vif il kɔ̃klɥ,
lε səlz- a vulwaʁ sa mɔʁ sɔ̃ sε vɑ̃dys,
ɑ̃ tεtə ynə ide la vɑ̃ʒɑ̃sə
pa də pitje nə pa epaʁɲe il lɔ̃ bjɛ̃ ʃεʁʃe,
lœʁ pwazɔ̃ puʁ sɑ̃tɑ̃sə,
sε pɔlisje vɔ̃ pεje puʁ lavwaʁ suz- εstime,
œ̃ masakʁə də plys dɑ̃ sa vi,
dε kʁiz- ɑ̃ plys pɑ̃dɑ̃ sε nɥi,
la mɔʁ puʁ səl ami,
naʁεtə pa œ̃ samyʁε ɑ̃ kεtə də veʁite,
la veʁite se kilz- ɔ̃ pœʁ də letʁɑ̃ʒe,
εtʁɑ̃ʒə dεtʁə syspεkte apʁε lεz- avwaʁ pʁɔteʒe,
defɑ̃ lə fεblə defɔ̃sə lə fɔʁ fε dεz- efɔʁ,
efɔʁsə twa də ʁεste vεʁtɥøz- e dʁwa si ty tɑ̃ sɔʁ,
a la sɔʁti dekupə sε pɔʁk pʁuve lœʁ tɔʁ,
a tɔʁ e a tʁavεʁz- il lakyze ɡu ame,
amεʁtymə fɛ̃ dynə εʁə də ʒystisə aʁivə lə visə.