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Poeme : La Mort M’appelle



La Mort M’appelle

La musique à tu-tête,
Cache mes cris de douleur.
Le diable est en fête.
Pour lui, c’est le bonheur !

Ces murs sont imbibé,
De mes peinnes incruster.
De ma peur elle se nourrit,
Et ma vie elle détruit.

La mort me serveille.
Je l’ait entendu hier soir.
Le soir de la veille,
Du jour de ma mort.

Elle m’appelait.
Je l’écoutais.
Puis j’ai sauter,
Dans le vide, hipnotiser.

Un ange m’a prononcer,
Juste avant d’y tomber.
La mort est partis,
Et a prit ma vie.

L’ange croyait en moi.
Même si j’ai abandoner.
Je ne sais pas pour lui mais moi,
Je vais toujours l’aimer.

Rappeller vous de moi,
De ce que j’ai fait pour vous.
Rappeller vous de ça,
Je suis morte pour nous.

-Copie interdite-
Wolf Demon

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Poème en Phonétique

la myzikə a ty tεtə,
kaʃə mε kʁi də dulœʁ.
lə djablə εt- ɑ̃ fεtə.
puʁ lɥi, sε lə bɔnœʁ !

sε myʁ sɔ̃t- ɛ̃bibe,
də mε pɛ̃nəz- ɛ̃kʁyste.
də ma pœʁ εllə sə nuʁʁi,
e ma vi εllə detʁɥi.

la mɔʁ mə sεʁvεjə.
ʒə lε ɑ̃tɑ̃dy jεʁ swaʁ.
lə swaʁ də la vεjə,
dy ʒuʁ də ma mɔʁ.

εllə mapəlε.
ʒə lekutε.
pɥi ʒε sote,
dɑ̃ lə vidə, ipnɔtize.

œ̃n- ɑ̃ʒə ma pʁonɔ̃se,
ʒystə avɑ̃ di tɔ̃be.
la mɔʁ ε paʁti,
e a pʁi ma vi.

lɑ̃ʒə kʁwajε ɑ̃ mwa.
mεmə si ʒε abɑ̃dɔne.
ʒə nə sε pa puʁ lɥi mε mwa,
ʒə vε tuʒuʁ lεme.

ʁapεlle vu də mwa,
də sə kə ʒε fε puʁ vu.
ʁapεlle vu də sa,
ʒə sɥi mɔʁtə puʁ nu.

asteʁiskə kɔpi ɛ̃tεʁditə asteʁiskə