Poeme : Les Yeux Mi-Clos
Les Yeux Mi-Clos
Les yeux mi-clos
Lorsque je regarde l’horizon,
Non loin d’une ville sous la nuit,
Avec toute la lumière qui luit,
Mes yeux s’émerveillent au balcon,
Des petites parties de ma vie,
Se nommant : voyages vagabonds.
Lorsque je me réveille épuisé,
Au matin des journées « marattons »,
Le soleil éblouissant mon front,
Je n’apprécie que les bons côtés,
Pour encore et toujours, vivre à fond,
Mes vacances jamais oubliées.
Lorsque à la fenêtre du camion,
Au coucher du soleil merveilleux,
Les ombres et les couleurs des lieux,
M’emportent dans l’imagination ;
Ils défilent, mais sont qu’un pour ceux,
Qui, les yeux mi-clos, s’enchanteront.
Lorsque je regarde l’horizon,
Non loin d’une ville sous la nuit,
Avec toute la lumière qui luit,
Mes yeux s’émerveillent au balcon,
Des petites parties de ma vie,
Se nommant : voyages vagabonds.
Lorsque je me réveille épuisé,
Au matin des journées « marattons »,
Le soleil éblouissant mon front,
Je n’apprécie que les bons côtés,
Pour encore et toujours, vivre à fond,
Mes vacances jamais oubliées.
Lorsque à la fenêtre du camion,
Au coucher du soleil merveilleux,
Les ombres et les couleurs des lieux,
M’emportent dans l’imagination ;
Ils défilent, mais sont qu’un pour ceux,
Qui, les yeux mi-clos, s’enchanteront.
Agame
PostScriptum
avant que je parte en voyage rapgirl360 et princesse amitié (que j’aime beaucoup toutes les deux) et d’autres m’avaient conseillés d’écrire des poèmes moins sombres. . . . j’ai donc essayé d’en écrire un plus optimiste. . . voilà ce que ca donne. . . j’és
Pour mettre un commentaire
Poème en Phonétique
lεz- iø mi klo
lɔʁskə ʒə ʁəɡaʁdə lɔʁizɔ̃,
nɔ̃ lwɛ̃ dynə vilə su la nɥi,
avεk tutə la lymjεʁə ki lɥi,
mεz- iø semεʁvεje o balkɔ̃,
dε pətitə paʁti də ma vi,
sə nɔmɑ̃ : vwajaʒə vaɡabɔ̃.
lɔʁskə ʒə mə ʁevεjə epɥize,
o matɛ̃ dε ʒuʁneəs « maʁatɔ̃s »,
lə sɔlεj ebluisɑ̃ mɔ̃ fʁɔ̃,
ʒə napʁesi kə lε bɔ̃ kote,
puʁ ɑ̃kɔʁə e tuʒuʁ, vivʁə a fɔ̃,
mε vakɑ̃sə ʒamεz- ublje.
lɔʁskə a la fənεtʁə dy kamjɔ̃,
o kuʃe dy sɔlεj mεʁvεjø,
lεz- ɔ̃bʁəz- e lε kulœʁ dε ljø,
mɑ̃pɔʁte dɑ̃ limaʒinasjɔ̃,
il defile, mε sɔ̃ kœ̃ puʁ sø,
ki, lεz- iø mi klo, sɑ̃ʃɑ̃təʁɔ̃.
lɔʁskə ʒə ʁəɡaʁdə lɔʁizɔ̃,
nɔ̃ lwɛ̃ dynə vilə su la nɥi,
avεk tutə la lymjεʁə ki lɥi,
mεz- iø semεʁvεje o balkɔ̃,
dε pətitə paʁti də ma vi,
sə nɔmɑ̃ : vwajaʒə vaɡabɔ̃.
lɔʁskə ʒə mə ʁevεjə epɥize,
o matɛ̃ dε ʒuʁneəs « maʁatɔ̃s »,
lə sɔlεj ebluisɑ̃ mɔ̃ fʁɔ̃,
ʒə napʁesi kə lε bɔ̃ kote,
puʁ ɑ̃kɔʁə e tuʒuʁ, vivʁə a fɔ̃,
mε vakɑ̃sə ʒamεz- ublje.
lɔʁskə a la fənεtʁə dy kamjɔ̃,
o kuʃe dy sɔlεj mεʁvεjø,
lεz- ɔ̃bʁəz- e lε kulœʁ dε ljø,
mɑ̃pɔʁte dɑ̃ limaʒinasjɔ̃,
il defile, mε sɔ̃ kœ̃ puʁ sø,
ki, lεz- iø mi klo, sɑ̃ʃɑ̃təʁɔ̃.