Poeme : L’écureuil
A Propos
Nous plongeons dans l'univers magique et dynamique de la forêt, où l'écureuil, protagoniste espiègle et agile, devient le cœur battant de ce paysage vivant. À travers des métaphores poétiques, le texte peint un tableau vibrant de la nature, soulignant l'agilité et l'énergie de l'écureuil qui, tout en évoluant parmi les arbres, incarne une danse de liberté et de beauté. Le poème explore également la symbiose entre l'animal et son environnement, où la forêt devient une scène de découvertes, de mouvements gracieux, et de trésors cachés.
L’écureuil
Dans la forêt où le silence danse,
Un écureuil agile, une ombre qui avance.
Sur les branches, il trace sa voie légère,
Sa queue en panache, une plume éphémère.
Sous le doux manteau d’une canopée tendre,
L’écureuil espiègle, acrobate à suspendre,
Sautillant d’écorce en écorce,
Il égrène la musique, une symphonie qui force.
Ses yeux vifs pétillent d’une lueur malicieuse,
Explorateur des hauteurs, maître des cieux capricieux.
À l’aube, il s’éveille dans son nid de feuilles,
Un poème vivant au rythme des merveilles.
Les noisettes, trésors cachés sous la mousse,
Sont des joyaux qu’il amasse sans trêve, sans trousse.
Son pelage, une palette de tons automnaux,
Reflet du crépuscule, d’un amour animal.
Les rayons du soleil caressent son dos agile,
Une danse d’or parmi les feuilles dociles.
L’écureuil, acrobate du firmament vert,
Compose un poème, un hymne à la lumière.
Un écureuil agile, une ombre qui avance.
Sur les branches, il trace sa voie légère,
Sa queue en panache, une plume éphémère.
Sous le doux manteau d’une canopée tendre,
L’écureuil espiègle, acrobate à suspendre,
Sautillant d’écorce en écorce,
Il égrène la musique, une symphonie qui force.
Ses yeux vifs pétillent d’une lueur malicieuse,
Explorateur des hauteurs, maître des cieux capricieux.
À l’aube, il s’éveille dans son nid de feuilles,
Un poème vivant au rythme des merveilles.
Les noisettes, trésors cachés sous la mousse,
Sont des joyaux qu’il amasse sans trêve, sans trousse.
Son pelage, une palette de tons automnaux,
Reflet du crépuscule, d’un amour animal.
Les rayons du soleil caressent son dos agile,
Une danse d’or parmi les feuilles dociles.
L’écureuil, acrobate du firmament vert,
Compose un poème, un hymne à la lumière.
Albertb
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Poème en Phonétique
dɑ̃ la fɔʁε u lə silɑ̃sə dɑ̃sə,
œ̃n- ekyʁəj aʒilə, ynə ɔ̃bʁə ki avɑ̃sə.
syʁ lε bʁɑ̃ʃə, il tʁasə sa vwa leʒεʁə,
sa kø ɑ̃ panaʃə, ynə plymə efemεʁə.
su lə du mɑ̃to dynə kanɔpe tɑ̃dʁə,
lekyʁəj εspjεɡlə, akʁɔbatə a syspɑ̃dʁə,
sotijɑ̃ dekɔʁsə ɑ̃n- ekɔʁsə,
il eɡʁεnə la myzikə, ynə sɛ̃fɔni ki fɔʁsə.
sεz- iø vif petije dynə lɥœʁ malisjøzə,
εksplɔʁatœʁ dεz- otœʁ, mεtʁə dε sjø kapʁisjø.
a lobə, il sevεjə dɑ̃ sɔ̃ nid də fœjə,
œ̃ pɔεmə vivɑ̃ o ʁitmə dε mεʁvεjə.
lε nwazεtə, tʁezɔʁ kaʃe su la musə,
sɔ̃ dε ʒwajo kil amasə sɑ̃ tʁεvə, sɑ̃ tʁusə.
sɔ̃ pəlaʒə, ynə palεtə də tɔ̃z- otɔmno,
ʁəflε dy kʁepyskylə, dœ̃n- amuʁ animal.
lε ʁεjɔ̃ dy sɔlεj kaʁəse sɔ̃ doz- aʒilə,
ynə dɑ̃sə dɔʁ paʁmi lε fœjə dɔsilə.
lekyʁəj, akʁɔbatə dy fiʁmame vεʁ,
kɔ̃pozə œ̃ pɔεmə, œ̃n- imnə a la lymjεʁə.
œ̃n- ekyʁəj aʒilə, ynə ɔ̃bʁə ki avɑ̃sə.
syʁ lε bʁɑ̃ʃə, il tʁasə sa vwa leʒεʁə,
sa kø ɑ̃ panaʃə, ynə plymə efemεʁə.
su lə du mɑ̃to dynə kanɔpe tɑ̃dʁə,
lekyʁəj εspjεɡlə, akʁɔbatə a syspɑ̃dʁə,
sotijɑ̃ dekɔʁsə ɑ̃n- ekɔʁsə,
il eɡʁεnə la myzikə, ynə sɛ̃fɔni ki fɔʁsə.
sεz- iø vif petije dynə lɥœʁ malisjøzə,
εksplɔʁatœʁ dεz- otœʁ, mεtʁə dε sjø kapʁisjø.
a lobə, il sevεjə dɑ̃ sɔ̃ nid də fœjə,
œ̃ pɔεmə vivɑ̃ o ʁitmə dε mεʁvεjə.
lε nwazεtə, tʁezɔʁ kaʃe su la musə,
sɔ̃ dε ʒwajo kil amasə sɑ̃ tʁεvə, sɑ̃ tʁusə.
sɔ̃ pəlaʒə, ynə palεtə də tɔ̃z- otɔmno,
ʁəflε dy kʁepyskylə, dœ̃n- amuʁ animal.
lε ʁεjɔ̃ dy sɔlεj kaʁəse sɔ̃ doz- aʒilə,
ynə dɑ̃sə dɔʁ paʁmi lε fœjə dɔsilə.
lekyʁəj, akʁɔbatə dy fiʁmame vεʁ,
kɔ̃pozə œ̃ pɔεmə, œ̃n- imnə a la lymjεʁə.