Poeme : L’ombre Sur Nos Plages
A Propos
Nos plages, autrefois si belles et accueillantes, sont aujourd’hui confrontées à un fléau discret
mais lourd de conséquences. Ce poème parle de ces algues brunes qui s’échouent, nées des
déchets que nous rejetons sans réfléchir dans l’eau. C’est un appel à prendre conscience de la
fragilité de notre environnement et à agir avant qu’il ne soit trop tard.
L’ombre Sur Nos Plages
Des algues brunes, lourdes et lentes,
S’échouent sur nos rivages,
Elles envahissent chaque coin,
Et ternissent nos paysages.
Leur odeur âcre emplit l’air,
Un poison doux, invisible,
Elles blessent nos yeux, nos corps,
Et rendent l’eau invivable.
Nées des déchets que l’homme verse,
Dans l’eau sans réfléchir,
Ces algues portent le poids lourd
D’un monde prêt à périr.
S’échouent sur nos rivages,
Elles envahissent chaque coin,
Et ternissent nos paysages.
Leur odeur âcre emplit l’air,
Un poison doux, invisible,
Elles blessent nos yeux, nos corps,
Et rendent l’eau invivable.
Nées des déchets que l’homme verse,
Dans l’eau sans réfléchir,
Ces algues portent le poids lourd
D’un monde prêt à périr.
Albertb
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Poème en Phonétique
dεz- alɡ bʁynə, luʁdəz- e lɑ̃tə,
seʃue syʁ no ʁivaʒə,
εlləz- ɑ̃vaise ʃakə kwɛ̃,
e tεʁnise no pεizaʒə.
lœʁ ɔdœʁ akʁə ɑ̃pli lεʁ,
œ̃ pwazɔ̃ du, ɛ̃viziblə,
εllə blese noz- iø, no kɔʁ,
e ʁɑ̃de lo ɛ̃vivablə.
ne dε deʃε kə lɔmə vεʁsə,
dɑ̃ lo sɑ̃ ʁefleʃiʁ,
sεz- alɡ pɔʁte lə pwa luʁ
dœ̃ mɔ̃də pʁε a peʁiʁ.
seʃue syʁ no ʁivaʒə,
εlləz- ɑ̃vaise ʃakə kwɛ̃,
e tεʁnise no pεizaʒə.
lœʁ ɔdœʁ akʁə ɑ̃pli lεʁ,
œ̃ pwazɔ̃ du, ɛ̃viziblə,
εllə blese noz- iø, no kɔʁ,
e ʁɑ̃de lo ɛ̃vivablə.
ne dε deʃε kə lɔmə vεʁsə,
dɑ̃ lo sɑ̃ ʁefleʃiʁ,
sεz- alɡ pɔʁte lə pwa luʁ
dœ̃ mɔ̃də pʁε a peʁiʁ.