Poeme : Napoléon 1Er
Napoléon 1Er
En ce radieux matin du 15 août 1769, vint au monde l’enfant roi,
À onze heures juste, il poussa son premier cri…
Bébé révolutionnaire, petit prince sans vergogne,
L’aristo du populo et bourgeois de bonne foi,
Nourri au sein de la grande bleue, bercé par les flots de Sainte Lucie,
Et d’Ajaccio, le cœur vibrant de son île, vint au monde : « The star is born ».
Imprégné des récits d’Homère et de Colomb,
Rêvant des légendes de Caesar, Barberousse et Toutânkhamon.
Des rôles taillés sur mesure, rien que pour lui, tel l’Ulysse des mers
Croisant au gré des vents vers les îles sanguinaires.
Une odyssée, de l’Imperator au héros.
Commandant voguant sur les eaux… Hissez haut !
Eprouvé par tant de ravages sur son île de beauté chérie.
Il synchronisa ses pas sur ceux de Paoli,
En se forgeant le caractère d’un conquérant.
Le petit caporal s’élèvera au rang des plus grands…
Prétendant faire de la Corse un état dans l’état,
Il lutta contre le Saint-Empire Romain Germanique, pour cela.
Au QG, fin stratège, il saisit le flambeau,
Gagna ses galons à la sueur de son front.
Il battait la campagne, dur comme fer, par tous les temps.
Du pont d’Arcole à Iéna, il fut promu en dix ans.
Napoléon tira de cet axiome son renom
« Ce qui est grand est toujours beau ! »
Du Premier Empire à L’Europe émergente,
Avec ses grognards, point de répit, l’âme vaillante,
En bivouac, de Paris à Moscou et du Rhin au Danube,
De bataille en bataille, l’Aigle impérieux se levait dès l’aube,
Guerroyant sans relâche, du matin jusqu’au soir,
Le siècle des lumières embrasait en lui ses rêves et ses espoirs.
Par une belle après-midi ensoleillée, il croisa son oiseau des îles à un banquet
Deux amoureux tout étourdis aimant les limbes des trois îlets…
Passionné à s’enivrer des douces saveurs de son corps d’albâtre.
Que ce serait un empereur sans sa Cléopâtre ?
Transi d’amour au parfum de la biguine,
Il n’hésita pas à oser, osez Joséphine.
La guerre des mondes continuait de faire rage, présage déjà d’un sombre exil.
Et d’aventures en aventures, jusque sur les berges du Nil,
Occupant la terre sacrée d’Egypte jusqu’aux portes de Gizeh,
Il combattait avec force le chef mamelouk, Mourad Bey.
En s’emparant de la pierre de Rosette, clé des mystères antiques.
Vous voyez, ce n’était pas qu’une simple une affaire géopolitique…
De retour en France, laissant derrière lui, nombre de ses soldats au tapis.
Acclamé par un peuple opprimé et suivant sa « bonne étoile », il se décida
À rallier la nation en se couronnant tel un roi, offrant à Joséphine un rôle aussi
Le 2 décembre 1804 sous la voûte de Notre-Dame, le bourdon sonna
Par la sanctification de Pie VII légitimant sa souveraineté, Bonaparte devint Napoléon 1er
Les cloches du destin résonnèrent dans Paname, annonçant le nouvel empire de leurs majestés
À chacun d’endosser l’habit du militaire,
Arborant confiant, les armes de la fille du ciel.
Le Code civil est né de la lutte pour ses droits.
Son désir était, donner à la France, un roi.
Et sur les côtes de sainte Hélène demeure une stèle,
Un soir sans lune, il expira face à la mer…
Napoléon Bonaparte 1er, empereur du royaume de France
À onze heures juste, il poussa son premier cri…
Bébé révolutionnaire, petit prince sans vergogne,
L’aristo du populo et bourgeois de bonne foi,
Nourri au sein de la grande bleue, bercé par les flots de Sainte Lucie,
Et d’Ajaccio, le cœur vibrant de son île, vint au monde : « The star is born ».
Imprégné des récits d’Homère et de Colomb,
Rêvant des légendes de Caesar, Barberousse et Toutânkhamon.
Des rôles taillés sur mesure, rien que pour lui, tel l’Ulysse des mers
Croisant au gré des vents vers les îles sanguinaires.
Une odyssée, de l’Imperator au héros.
Commandant voguant sur les eaux… Hissez haut !
Eprouvé par tant de ravages sur son île de beauté chérie.
Il synchronisa ses pas sur ceux de Paoli,
En se forgeant le caractère d’un conquérant.
Le petit caporal s’élèvera au rang des plus grands…
Prétendant faire de la Corse un état dans l’état,
Il lutta contre le Saint-Empire Romain Germanique, pour cela.
Au QG, fin stratège, il saisit le flambeau,
Gagna ses galons à la sueur de son front.
Il battait la campagne, dur comme fer, par tous les temps.
Du pont d’Arcole à Iéna, il fut promu en dix ans.
Napoléon tira de cet axiome son renom
« Ce qui est grand est toujours beau ! »
Du Premier Empire à L’Europe émergente,
Avec ses grognards, point de répit, l’âme vaillante,
En bivouac, de Paris à Moscou et du Rhin au Danube,
De bataille en bataille, l’Aigle impérieux se levait dès l’aube,
Guerroyant sans relâche, du matin jusqu’au soir,
Le siècle des lumières embrasait en lui ses rêves et ses espoirs.
Par une belle après-midi ensoleillée, il croisa son oiseau des îles à un banquet
Deux amoureux tout étourdis aimant les limbes des trois îlets…
Passionné à s’enivrer des douces saveurs de son corps d’albâtre.
Que ce serait un empereur sans sa Cléopâtre ?
Transi d’amour au parfum de la biguine,
Il n’hésita pas à oser, osez Joséphine.
La guerre des mondes continuait de faire rage, présage déjà d’un sombre exil.
Et d’aventures en aventures, jusque sur les berges du Nil,
Occupant la terre sacrée d’Egypte jusqu’aux portes de Gizeh,
Il combattait avec force le chef mamelouk, Mourad Bey.
En s’emparant de la pierre de Rosette, clé des mystères antiques.
Vous voyez, ce n’était pas qu’une simple une affaire géopolitique…
De retour en France, laissant derrière lui, nombre de ses soldats au tapis.
Acclamé par un peuple opprimé et suivant sa « bonne étoile », il se décida
À rallier la nation en se couronnant tel un roi, offrant à Joséphine un rôle aussi
Le 2 décembre 1804 sous la voûte de Notre-Dame, le bourdon sonna
Par la sanctification de Pie VII légitimant sa souveraineté, Bonaparte devint Napoléon 1er
Les cloches du destin résonnèrent dans Paname, annonçant le nouvel empire de leurs majestés
À chacun d’endosser l’habit du militaire,
Arborant confiant, les armes de la fille du ciel.
Le Code civil est né de la lutte pour ses droits.
Son désir était, donner à la France, un roi.
Et sur les côtes de sainte Hélène demeure une stèle,
Un soir sans lune, il expira face à la mer…
Napoléon Bonaparte 1er, empereur du royaume de France
Alix De Lao
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Poème en Phonétique
ɑ̃ sə ʁadjø matɛ̃ dy kɛ̃zə aut milə sεt sɑ̃ swasɑ̃tə nəf, vɛ̃ o mɔ̃də lɑ̃fɑ̃ ʁwa,
a ɔ̃zə œʁ ʒystə, il pusa sɔ̃ pʁəmje kʁi…
bebe ʁevɔlysjɔnεʁə, pəti pʁɛ̃sə sɑ̃ vεʁɡɔɲə,
laʁisto dy pɔpylo e buʁʒwa də bɔnə fwa,
nuʁʁi o sɛ̃ də la ɡʁɑ̃də blø, bεʁse paʁ lε flo də sɛ̃tə lysi,
e daʒaksjo, lə kœʁ vibʁɑ̃ də sɔ̃n- ilə, vɛ̃ o mɔ̃də : « tə staʁ is bɔʁn ».
ɛ̃pʁeɲe dε ʁesi dɔmεʁə e də kɔlɔ̃,
ʁεvɑ̃ dε leʒɑ̃də də kaezaʁ, baʁbəʁusə e tutankamɔ̃.
dε ʁolə taje syʁ məzyʁə, ʁjɛ̃ kə puʁ lɥi, tεl lylisə dε mεʁ
kʁwazɑ̃ o ɡʁe dε vɑ̃ vεʁ lεz- ilə sɑ̃ɡinεʁə.
ynə ɔdise, də lɛ̃pəʁatɔʁ o eʁo.
kɔmɑ̃dɑ̃ vɔɡɑ̃ syʁ lεz- o… isez- o !
εpʁuve paʁ tɑ̃ də ʁavaʒə syʁ sɔ̃n- ilə də bote ʃeʁi.
il sɛ̃kʁɔniza sε pa syʁ sø də paɔli,
ɑ̃ sə fɔʁʒɑ̃ lə kaʁaktεʁə dœ̃ kɔ̃keʁɑ̃.
lə pəti kapɔʁal selεvəʁa o ʁɑ̃ dε plys ɡʁɑ̃…
pʁetɑ̃dɑ̃ fεʁə də la kɔʁsə œ̃n- eta dɑ̃ leta,
il lyta kɔ̃tʁə lə sɛ̃ tɑ̃piʁə ʁɔmɛ̃ ʒεʁmanikə, puʁ səla.
o ky ʒe, fɛ̃ stʁatεʒə, il sεzi lə flɑ̃bo,
ɡaɲa sε ɡalɔ̃z- a la sɥœʁ də sɔ̃ fʁɔ̃.
il batε la kɑ̃paɲə, dyʁ kɔmə fεʁ, paʁ tus lε tɑ̃.
dy pɔ̃ daʁkɔlə a jena, il fy pʁɔmy ɑ̃ diz- ɑ̃.
napɔleɔ̃ tiʁa də sεt aksjɔmə sɔ̃ ʁənɔ̃
« sə ki ε ɡʁɑ̃t- ε tuʒuʁ bo ! »
dy pʁəmje ɑ̃piʁə a ləʁɔpə emεʁʒɑ̃tə,
avεk sε ɡʁɔɲaʁd, pwɛ̃ də ʁepi, lamə vajɑ̃tə,
ɑ̃ bivuak, də paʁiz- a mɔsku e dy ʁɛ̃ o danybə,
də batajə ɑ̃ batajə, lεɡlə ɛ̃peʁjø sə ləvε dε lobə,
ɡeʁwajɑ̃ sɑ̃ ʁəlaʃə, dy matɛ̃ ʒysko swaʁ,
lə sjεklə dε lymjεʁəz- ɑ̃bʁazε ɑ̃ lɥi sε ʁεvəz- e sεz- εspwaʁ.
paʁ ynə bεllə apʁε midi ɑ̃sɔlεje, il kʁwaza sɔ̃n- wazo dεz- iləz- a œ̃ bɑ̃kε
døz- amuʁø tut- etuʁdiz- εmɑ̃ lε lɛ̃bə dε tʁwaz- ilε…
pasjɔne a sɑ̃nivʁe dε dusə savœʁ də sɔ̃ kɔʁ dalbatʁə.
kə sə səʁε œ̃n- ɑ̃pəʁœʁ sɑ̃ sa kleɔpatʁə ?
tʁɑ̃zi damuʁ o paʁfœ̃ də la biɡinə,
il nezita pa a oze, oze ʒozefinə.
la ɡeʁə dε mɔ̃də kɔ̃tinɥε də fεʁə ʁaʒə, pʁezaʒə deʒa dœ̃ sɔ̃bʁə εɡzil.
e davɑ̃tyʁəz- ɑ̃n- avɑ̃tyʁə, ʒyskə syʁ lε bεʁʒə- dy nil,
ɔkypɑ̃ la teʁə sakʁe dəʒiptə ʒysko pɔʁtə- də ʒizε,
il kɔ̃batε avεk fɔʁsə lə ʃεf maməluk, muʁad be.
ɑ̃ sɑ̃paʁɑ̃ də la pjeʁə də ʁozεtə, kle dε mistεʁəz- ɑ̃tik.
vu vwaje, sə netε pa kynə sɛ̃plə ynə afεʁə ʒeɔpɔlitikə…
də ʁətuʁ ɑ̃ fʁɑ̃sə, lεsɑ̃ dəʁjεʁə lɥi, nɔ̃bʁə də sε sɔldaz- o tapi.
aklame paʁ œ̃ pəplə ɔpʁime e sɥivɑ̃ sa « bɔnə etwalə », il sə desida
a ʁalje la nasjɔ̃ ɑ̃ sə kuʁɔnɑ̃ tεl œ̃ ʁwa, ɔfʁɑ̃ a ʒozefinə œ̃ ʁolə osi
lə dø desɑ̃bʁə milə ɥi sɑ̃ katʁə su la vutə də nɔtʁə damə, lə buʁdɔ̃ sɔna
paʁ la sɑ̃ktifikasjɔ̃ də pi vji leʒitimɑ̃ sa suvəʁεnəte, bɔnapaʁtə dəvɛ̃ napɔleɔ̃ œ̃n- e
lε kloʃə dy dεstɛ̃ ʁezɔnεʁe dɑ̃ panamə, anɔ̃sɑ̃ lə nuvεl ɑ̃piʁə də lœʁ maʒεste
a ʃakœ̃ dɑ̃dɔse labi dy militεʁə,
aʁbɔʁɑ̃ kɔ̃fjɑ̃, lεz- aʁmə- də la fijə dy sjεl.
lə kɔdə sivil ε ne də la lytə puʁ sε dʁwa.
sɔ̃ deziʁ etε, dɔne a la fʁɑ̃sə, œ̃ ʁwa.
e syʁ lε kotə də sɛ̃tə elεnə dəməʁə ynə stεlə,
œ̃ swaʁ sɑ̃ lynə, il εkspiʁa fasə a la mεʁ…
napɔleɔ̃ bɔnapaʁtə œ̃n- e, ɑ̃pəʁœʁ dy ʁwajomə də fʁɑ̃sə
a ɔ̃zə œʁ ʒystə, il pusa sɔ̃ pʁəmje kʁi…
bebe ʁevɔlysjɔnεʁə, pəti pʁɛ̃sə sɑ̃ vεʁɡɔɲə,
laʁisto dy pɔpylo e buʁʒwa də bɔnə fwa,
nuʁʁi o sɛ̃ də la ɡʁɑ̃də blø, bεʁse paʁ lε flo də sɛ̃tə lysi,
e daʒaksjo, lə kœʁ vibʁɑ̃ də sɔ̃n- ilə, vɛ̃ o mɔ̃də : « tə staʁ is bɔʁn ».
ɛ̃pʁeɲe dε ʁesi dɔmεʁə e də kɔlɔ̃,
ʁεvɑ̃ dε leʒɑ̃də də kaezaʁ, baʁbəʁusə e tutankamɔ̃.
dε ʁolə taje syʁ məzyʁə, ʁjɛ̃ kə puʁ lɥi, tεl lylisə dε mεʁ
kʁwazɑ̃ o ɡʁe dε vɑ̃ vεʁ lεz- ilə sɑ̃ɡinεʁə.
ynə ɔdise, də lɛ̃pəʁatɔʁ o eʁo.
kɔmɑ̃dɑ̃ vɔɡɑ̃ syʁ lεz- o… isez- o !
εpʁuve paʁ tɑ̃ də ʁavaʒə syʁ sɔ̃n- ilə də bote ʃeʁi.
il sɛ̃kʁɔniza sε pa syʁ sø də paɔli,
ɑ̃ sə fɔʁʒɑ̃ lə kaʁaktεʁə dœ̃ kɔ̃keʁɑ̃.
lə pəti kapɔʁal selεvəʁa o ʁɑ̃ dε plys ɡʁɑ̃…
pʁetɑ̃dɑ̃ fεʁə də la kɔʁsə œ̃n- eta dɑ̃ leta,
il lyta kɔ̃tʁə lə sɛ̃ tɑ̃piʁə ʁɔmɛ̃ ʒεʁmanikə, puʁ səla.
o ky ʒe, fɛ̃ stʁatεʒə, il sεzi lə flɑ̃bo,
ɡaɲa sε ɡalɔ̃z- a la sɥœʁ də sɔ̃ fʁɔ̃.
il batε la kɑ̃paɲə, dyʁ kɔmə fεʁ, paʁ tus lε tɑ̃.
dy pɔ̃ daʁkɔlə a jena, il fy pʁɔmy ɑ̃ diz- ɑ̃.
napɔleɔ̃ tiʁa də sεt aksjɔmə sɔ̃ ʁənɔ̃
« sə ki ε ɡʁɑ̃t- ε tuʒuʁ bo ! »
dy pʁəmje ɑ̃piʁə a ləʁɔpə emεʁʒɑ̃tə,
avεk sε ɡʁɔɲaʁd, pwɛ̃ də ʁepi, lamə vajɑ̃tə,
ɑ̃ bivuak, də paʁiz- a mɔsku e dy ʁɛ̃ o danybə,
də batajə ɑ̃ batajə, lεɡlə ɛ̃peʁjø sə ləvε dε lobə,
ɡeʁwajɑ̃ sɑ̃ ʁəlaʃə, dy matɛ̃ ʒysko swaʁ,
lə sjεklə dε lymjεʁəz- ɑ̃bʁazε ɑ̃ lɥi sε ʁεvəz- e sεz- εspwaʁ.
paʁ ynə bεllə apʁε midi ɑ̃sɔlεje, il kʁwaza sɔ̃n- wazo dεz- iləz- a œ̃ bɑ̃kε
døz- amuʁø tut- etuʁdiz- εmɑ̃ lε lɛ̃bə dε tʁwaz- ilε…
pasjɔne a sɑ̃nivʁe dε dusə savœʁ də sɔ̃ kɔʁ dalbatʁə.
kə sə səʁε œ̃n- ɑ̃pəʁœʁ sɑ̃ sa kleɔpatʁə ?
tʁɑ̃zi damuʁ o paʁfœ̃ də la biɡinə,
il nezita pa a oze, oze ʒozefinə.
la ɡeʁə dε mɔ̃də kɔ̃tinɥε də fεʁə ʁaʒə, pʁezaʒə deʒa dœ̃ sɔ̃bʁə εɡzil.
e davɑ̃tyʁəz- ɑ̃n- avɑ̃tyʁə, ʒyskə syʁ lε bεʁʒə- dy nil,
ɔkypɑ̃ la teʁə sakʁe dəʒiptə ʒysko pɔʁtə- də ʒizε,
il kɔ̃batε avεk fɔʁsə lə ʃεf maməluk, muʁad be.
ɑ̃ sɑ̃paʁɑ̃ də la pjeʁə də ʁozεtə, kle dε mistεʁəz- ɑ̃tik.
vu vwaje, sə netε pa kynə sɛ̃plə ynə afεʁə ʒeɔpɔlitikə…
də ʁətuʁ ɑ̃ fʁɑ̃sə, lεsɑ̃ dəʁjεʁə lɥi, nɔ̃bʁə də sε sɔldaz- o tapi.
aklame paʁ œ̃ pəplə ɔpʁime e sɥivɑ̃ sa « bɔnə etwalə », il sə desida
a ʁalje la nasjɔ̃ ɑ̃ sə kuʁɔnɑ̃ tεl œ̃ ʁwa, ɔfʁɑ̃ a ʒozefinə œ̃ ʁolə osi
lə dø desɑ̃bʁə milə ɥi sɑ̃ katʁə su la vutə də nɔtʁə damə, lə buʁdɔ̃ sɔna
paʁ la sɑ̃ktifikasjɔ̃ də pi vji leʒitimɑ̃ sa suvəʁεnəte, bɔnapaʁtə dəvɛ̃ napɔleɔ̃ œ̃n- e
lε kloʃə dy dεstɛ̃ ʁezɔnεʁe dɑ̃ panamə, anɔ̃sɑ̃ lə nuvεl ɑ̃piʁə də lœʁ maʒεste
a ʃakœ̃ dɑ̃dɔse labi dy militεʁə,
aʁbɔʁɑ̃ kɔ̃fjɑ̃, lεz- aʁmə- də la fijə dy sjεl.
lə kɔdə sivil ε ne də la lytə puʁ sε dʁwa.
sɔ̃ deziʁ etε, dɔne a la fʁɑ̃sə, œ̃ ʁwa.
e syʁ lε kotə də sɛ̃tə elεnə dəməʁə ynə stεlə,
œ̃ swaʁ sɑ̃ lynə, il εkspiʁa fasə a la mεʁ…
napɔleɔ̃ bɔnapaʁtə œ̃n- e, ɑ̃pəʁœʁ dy ʁwajomə də fʁɑ̃sə