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Poeme : Bilan De Guerre



Bilan De Guerre

Tout a commencé dans une grande joie,
De vouloir bouté l’ennemi hors de soi.
Les uns criaient « Vers Berlin ».
Les autres criaient « Nach Paris ».

Tous partaient avec l’esprit plein de haine.
Mais personne ne pensait à cette peine,
Engendrer par leur comportement
Et infliger à mille enfants.

Lorsque les maris partirent,
Se sacrifier pour la Mère Patrie.
Les femmes s’accrochaient à leurs fils et filles.
Et attendaient les nouvelles les plus pires.

Lorsque leurs fils partirent
Pour défendre corps et âme leur capitale.
Les femmes s’accrochaient à leurs prières.
Et devinrent pâle pour chaque lettre arrivé du ministère.

A la fin de la guerre,
Les maris étaient devenus brouillards,
Les fils revenus vieillards,
Et les femmes s’accrochaient à leurs larmes.
Amour

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Poème en Phonétique

tut- a kɔmɑ̃se dɑ̃z- ynə ɡʁɑ̃də ʒwa,
də vulwaʁ bute lεnəmi ɔʁ də swa.
lεz- œ̃ kʁjεɛ̃t « ve bεʁlin ».
lεz- otʁə- kʁjεɛ̃t « nak paʁis ».

tus paʁtε avεk lεspʁi plɛ̃ də-εnə.
mε pεʁsɔnə nə pɑ̃sε a sεtə pεnə,
ɑ̃ʒɑ̃dʁe paʁ lœʁ kɔ̃pɔʁtəmɑ̃
e ɛ̃fliʒe a milə ɑ̃fɑ̃.

lɔʁskə lε maʁi paʁtiʁe,
sə sakʁifje puʁ la mεʁə patʁi.
lε famə sakʁoʃε a lœʁ fisz- e fijə.
e atɑ̃dε lε nuvεllə lε plys piʁə.

lɔʁskə lœʁ fis paʁtiʁe
puʁ defɑ̃dʁə kɔʁz- e amə lœʁ kapitalə.
lε famə sakʁoʃε a lœʁ pʁjεʁə.
e dəvɛ̃ʁe palə puʁ ʃakə lεtʁə aʁive dy ministεʁə.

a la fɛ̃ də la ɡeʁə,
lε maʁiz- etε dəvənys bʁujaʁd,
lε fis ʁəvənys vjεjaʁd,
e lε famə sakʁoʃε a lœʁ laʁmə.