Poeme : Impossible D’oublier
Impossible D’oublier
Une amitié comme celle,
Que j’ai voulu te consacrer,
Etait à mes yeux, éternelle.
Malgré tout ce qui s’est passé.
Je t’appréciais, je t’aimais.
Mais c’était insuffisant ;
Pour te montrer, te prouver
A quel point mon cœur était grand !
Aujourd’hui j’y repense,
Tout ces cris, ces pleurs,
Toutes ces jalousies, et ces rancœurs
N’ont eu aucun sens.
Toutes ces tentatives,
Échouées, sur l’autre rive
Nous ont peut-être rendu plus fort
Mais nous ont jeté de mauvais sorts.
De l’amour à l’amitié,
De l’amitié à l’amour…
Ces horribles douleurs d’un jour
Saigneront en moi pour toujours.
Je n’ai jamais su t’oublier,
Ce n’est pas avec le temps,
Qu’un jour je t’effacerais.
Des questions posées,
Sans réponses données.
La vie est horrible…
Les sentiments douloureux,
Pour des incorruptibles amoureux.
Que j’ai voulu te consacrer,
Etait à mes yeux, éternelle.
Malgré tout ce qui s’est passé.
Je t’appréciais, je t’aimais.
Mais c’était insuffisant ;
Pour te montrer, te prouver
A quel point mon cœur était grand !
Aujourd’hui j’y repense,
Tout ces cris, ces pleurs,
Toutes ces jalousies, et ces rancœurs
N’ont eu aucun sens.
Toutes ces tentatives,
Échouées, sur l’autre rive
Nous ont peut-être rendu plus fort
Mais nous ont jeté de mauvais sorts.
De l’amour à l’amitié,
De l’amitié à l’amour…
Ces horribles douleurs d’un jour
Saigneront en moi pour toujours.
Je n’ai jamais su t’oublier,
Ce n’est pas avec le temps,
Qu’un jour je t’effacerais.
Des questions posées,
Sans réponses données.
La vie est horrible…
Les sentiments douloureux,
Pour des incorruptibles amoureux.
Ange Du Diable
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Poème en Phonétique
ynə amitje kɔmə sεllə,
kə ʒε vuly tə kɔ̃sakʁe,
ətε a mεz- iø, etεʁnεllə.
malɡʁe tu sə ki sε pase.
ʒə tapʁesjε, ʒə tεmε.
mε setε ɛ̃syfizɑ̃,
puʁ tə mɔ̃tʁe, tə pʁuve
a kεl pwɛ̃ mɔ̃ kœʁ etε ɡʁɑ̃ !
oʒuʁdɥi ʒi ʁəpɑ̃sə,
tu sε kʁi, sε plœʁ,
tutə sε ʒaluzi, e sε ʁɑ̃kœʁ
nɔ̃ y okœ̃ sɑ̃s.
tutə sε tɑ̃tativə,
eʃue, syʁ lotʁə ʁivə
nuz- ɔ̃ pø tεtʁə ʁɑ̃dy plys fɔʁ
mε nuz- ɔ̃ ʒəte də movε sɔʁ.
də lamuʁ a lamitje,
də lamitje a lamuʁ…
sεz- ɔʁiblə dulœʁ dœ̃ ʒuʁ
sεɲəʁɔ̃ ɑ̃ mwa puʁ tuʒuʁ.
ʒə nε ʒamε sy tublje,
sə nε pa avεk lə tɑ̃,
kœ̃ ʒuʁ ʒə tefasəʁε.
dε kεstjɔ̃ poze,
sɑ̃ ʁepɔ̃sə dɔne.
la vi ε ɔʁiblə…
lε sɑ̃timɑ̃ duluʁø,
puʁ dεz- ɛ̃kɔʁyptibləz- amuʁø.
kə ʒε vuly tə kɔ̃sakʁe,
ətε a mεz- iø, etεʁnεllə.
malɡʁe tu sə ki sε pase.
ʒə tapʁesjε, ʒə tεmε.
mε setε ɛ̃syfizɑ̃,
puʁ tə mɔ̃tʁe, tə pʁuve
a kεl pwɛ̃ mɔ̃ kœʁ etε ɡʁɑ̃ !
oʒuʁdɥi ʒi ʁəpɑ̃sə,
tu sε kʁi, sε plœʁ,
tutə sε ʒaluzi, e sε ʁɑ̃kœʁ
nɔ̃ y okœ̃ sɑ̃s.
tutə sε tɑ̃tativə,
eʃue, syʁ lotʁə ʁivə
nuz- ɔ̃ pø tεtʁə ʁɑ̃dy plys fɔʁ
mε nuz- ɔ̃ ʒəte də movε sɔʁ.
də lamuʁ a lamitje,
də lamitje a lamuʁ…
sεz- ɔʁiblə dulœʁ dœ̃ ʒuʁ
sεɲəʁɔ̃ ɑ̃ mwa puʁ tuʒuʁ.
ʒə nε ʒamε sy tublje,
sə nε pa avεk lə tɑ̃,
kœ̃ ʒuʁ ʒə tefasəʁε.
dε kεstjɔ̃ poze,
sɑ̃ ʁepɔ̃sə dɔne.
la vi ε ɔʁiblə…
lε sɑ̃timɑ̃ duluʁø,
puʁ dεz- ɛ̃kɔʁyptibləz- amuʁø.