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Poeme : D Day



D Day

Neuf mille tombes alignées à Colleville sur mer
Sur les plages normandes viennent se recueillir
En fauteuils roulants les anciens militaires
Qui virenr leur camarades hors des barges périr

Ils avaient 18 ans, tous portés volontaires
Sacrifiant leur jeunesse pour venir vous sauver
Sous le feu de l’ennemi grimpant sur les falaises
Là haut les batteries canardaient sans pitié

La guerre tue tant de jeunes, faisant fi des frontières
Civils, simples soldats, payant si lourd tribut
Américains, anglais, . . dormant cinq pieds sous terre
Ils connurent l’enfer, ne sont pas revenus.

Ils avaient 18 ans, l’avenir devant eux
Forts de leur idéal ils nous ont délivrés
D’un mal absolu, rendons grâce à ceux
Qui risquèrent leurs vies pour notre liberté

Il ne faudra jamais, jamais les oublier.
Anya

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Poème en Phonétique

nəf milə tɔ̃bəz- aliɲez- a kɔlvilə syʁ mεʁ
syʁ lε plaʒə nɔʁmɑ̃də vjεne sə ʁəkœjiʁ
ɑ̃ fotəj ʁulɑ̃ lεz- ɑ̃sjɛ̃ militεʁə
ki viʁεnʁ lœʁ kamaʁadəz- ɔʁ dε baʁʒə- peʁiʁ

ilz- avε diz- ɥit ɑ̃, tus pɔʁte vɔlɔ̃tεʁə
sakʁifjɑ̃ lœʁ ʒənεsə puʁ vəniʁ vu sove
su lə fø də lεnəmi ɡʁɛ̃pɑ̃ syʁ lε falεzə
la-o lε batəʁi kanaʁdε sɑ̃ pitje

la ɡeʁə tɥ tɑ̃ də ʒənə, fəzɑ̃ fi dε fʁɔ̃tjεʁə
sivil, sɛ̃plə sɔlda, pεjɑ̃ si luʁ tʁiby
ameʁikɛ̃, ɑ̃ɡlε, . dɔʁmɑ̃ sɛ̃k pje su teʁə
il kɔnyʁe lɑ̃fe, nə sɔ̃ pa ʁəvənys.

ilz- avε diz- ɥit ɑ̃, lavəniʁ dəvɑ̃ ø
fɔʁ də lœʁ ideal il nuz- ɔ̃ delivʁe
dœ̃ mal absɔly, ʁɑ̃dɔ̃ ɡʁasə a sø
ki ʁiskεʁe lœʁ vi puʁ nɔtʁə libεʁte

il nə fodʁa ʒamε, ʒamε lεz- ublje.