Poeme : L’ Hiver
L’ Hiver
L’ hiver,
Lorsque l’ hiver frappe à la porte,
Tous les arbres sont dépouillés.
Les forêts, les bois, les halliers
Sont tapissés de feuilles mortes.
La bise s’en va de porte en porte,
Soufflant son haleine glacée
Lorsque l’ hiver frappe à la porte.
Si la gelée devient plus forte,
Sur les fenêtres du grenier,
On peut voir finement gravées
Des fougères, telles des eaux fortes,
Lorsque l’ hiver frappe à la porte.
Lorsque l’ hiver frappe à la porte,
Tous les arbres sont dépouillés.
Les forêts, les bois, les halliers
Sont tapissés de feuilles mortes.
La bise s’en va de porte en porte,
Soufflant son haleine glacée
Lorsque l’ hiver frappe à la porte.
Si la gelée devient plus forte,
Sur les fenêtres du grenier,
On peut voir finement gravées
Des fougères, telles des eaux fortes,
Lorsque l’ hiver frappe à la porte.
Apo
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Poème en Phonétique
livεʁ,
lɔʁskə livεʁ fʁapə a la pɔʁtə,
tus lεz- aʁbʁə- sɔ̃ depuje.
lε fɔʁε, lε bwa, lεz- alje
sɔ̃ tapise də fœjə mɔʁtə.
la bizə sɑ̃ va də pɔʁtə ɑ̃ pɔʁtə,
suflɑ̃ sɔ̃-alεnə ɡlase
lɔʁskə livεʁ fʁapə a la pɔʁtə.
si la ʒəle dəvjɛ̃ plys fɔʁtə,
syʁ lε fənεtʁə- dy ɡʁənje,
ɔ̃ pø vwaʁ finəmɑ̃ ɡʁave
dε fuʒεʁə, tεllə dεz- o fɔʁtə,
lɔʁskə livεʁ fʁapə a la pɔʁtə.
lɔʁskə livεʁ fʁapə a la pɔʁtə,
tus lεz- aʁbʁə- sɔ̃ depuje.
lε fɔʁε, lε bwa, lεz- alje
sɔ̃ tapise də fœjə mɔʁtə.
la bizə sɑ̃ va də pɔʁtə ɑ̃ pɔʁtə,
suflɑ̃ sɔ̃-alεnə ɡlase
lɔʁskə livεʁ fʁapə a la pɔʁtə.
si la ʒəle dəvjɛ̃ plys fɔʁtə,
syʁ lε fənεtʁə- dy ɡʁənje,
ɔ̃ pø vwaʁ finəmɑ̃ ɡʁave
dε fuʒεʁə, tεllə dεz- o fɔʁtə,
lɔʁskə livεʁ fʁapə a la pɔʁtə.