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Poeme : Tels Ces Corps Qui S’envalsent…



Tels Ces Corps Qui S’envalsent…

Et je m’vois,
Là, en toi,
Comme ces enfants,

Ils sont là,
Et s’envalsent,
Ils sont si grands,

Leur amour,
Est autour,
De leurs vingt ans,

Mais leurs yeux,
Montre que,
Ils sont récents,

Ces amours,
Ces beaux jours,
Qui dureront,

Mon amour,
Jusqu’au bout,
De nos vivants,

Ton cœur brille,
M’illumine,
Doux flamboiement…

Vien, mes bras,
Sont à toi,
Comme mon cœur Ô…

Vient à moi,
J’veux cette valse,
Songe démant…

Vien à moi,
Cette valse,
Sera un chant,

Nous seront,
Les étoiles,
Au firmament…

Alors viens,
Maintenant,
Viens, enlaçons,

De nos bras,
Le doux chant,
De ces amants…

Alors viens,
Dans mes bras,
Je veux etre toi,

Alors viens,
Maintenant,
Vien, et valsons…
Aquhydro

PostScriptum

J’aime beaucoup la valse comme dense, la sensualité des trois temps, la douceur et la hauteur hautaine de cette dense la rendent la plus poétique de toutes à mes yeux, le charnel du tango suis de près.


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Poème en Phonétique

e ʒə mvwa,
la, ɑ̃ twa,
kɔmə sεz- ɑ̃fɑ̃,

il sɔ̃ la,
e sɑ̃valse,
il sɔ̃ si ɡʁɑ̃,

lœʁ amuʁ,
εt- otuʁ,
də lœʁ vɛ̃t- ɑ̃,

mε lœʁz- iø,
mɔ̃tʁə kə,
il sɔ̃ ʁesɑ̃,

sεz- amuʁ,
sε bo ʒuʁ,
ki dyʁəʁɔ̃,

mɔ̃n- amuʁ,
ʒysko bu,
də no vivɑ̃,

tɔ̃ kœʁ bʁijə,
milyminə,
du flɑ̃bwaəmɑ̃…

vjɛ̃, mε bʁa,
sɔ̃t- a twa,
kɔmə mɔ̃ kœʁ o…

vjɛ̃ a mwa,
ʒvø sεtə valsə,
sɔ̃ʒə demɑ̃…

vjɛ̃ a mwa,
sεtə valsə,
səʁa œ̃ ʃɑ̃,

nu səʁɔ̃,
lεz- etwalə,
o fiʁmame…

alɔʁ vjɛ̃,
mɛ̃tənɑ̃,
vjɛ̃, ɑ̃lasɔ̃,

də no bʁa,
lə du ʃɑ̃,
də sεz- amɑ̃…

alɔʁ vjɛ̃,
dɑ̃ mε bʁa,
ʒə vøz- εtʁə twa,

alɔʁ vjɛ̃,
mɛ̃tənɑ̃,
vjɛ̃, e valsɔ̃…