Poème-France.com

Poeme : Vanille…



Vanille…

Sensuelle, dans sa gangue,
Elle dédicace la langue,
D’une suprême odeur délice…
Comme quand l’espoir supplice…

Vanille, toi qui n’étais rien,
Te sentant dans ses mains,
Sentent ton cœur en son cou,
Brille son cœur en ton sein…

Vanille, ta flagrance m’a atteint,
Ce matin, je rêvais alors d’amour et de rien,
Vanille, tu sublimais mon rêve, me rendent près du sien,
Mais cruelle ! Vanille ! Le réveille ne m’rendis que plus rien !
Aquhydro

PostScriptum

« Colchique mon amour, fleurissent, fleurissent,
Les aments d’aimer, périssent, périssent. . . »
Robert.
je n’en viendré pas à dir que je péris, je doi avouer endurer ton absence tel torture, vivement tes bras. . . je t’aime ma Perséphone. . . t


Pour mettre un commentaire

Poème en Phonétique

sɑ̃sɥεllə, dɑ̃ sa ɡɑ̃ɡ,
εllə dedikasə la lɑ̃ɡ,
dynə sypʁεmə ɔdœʁ delisə…
kɔmə kɑ̃ lεspwaʁ syplisə…

vanijə, twa ki netε ʁjɛ̃,
tə sɑ̃tɑ̃ dɑ̃ sε mɛ̃,
sɑ̃te tɔ̃ kœʁ ɑ̃ sɔ̃ ku,
bʁijə sɔ̃ kœʁ ɑ̃ tɔ̃ sɛ̃…

vanijə, ta flaɡʁɑ̃sə ma atɛ̃,
sə matɛ̃, ʒə ʁεvεz- alɔʁ damuʁ e də ʁjɛ̃,
vanijə, ty syblimε mɔ̃ ʁεvə, mə ʁɑ̃de pʁε dy sjɛ̃,
mε kʁyεllə ! vanijə ! lə ʁevεjə nə mʁɑ̃di kə plys ʁjɛ̃ !